Damed Kamardine, un ex-chaouch d’Hassan Toibibou
Hassan Toibibou usait et abusait de son très cher Damed
Par ARM
Mahmoud Abdou Saïd de Moroni, qui connaît l’incompétence malsaine et la corruption indécente frappant Damed Kamardine, a écrit à votre site préféré pour lui demander par quel miracle extraterrestre venu de l’au-delà cet individu a atterri sur la scène publique, où il n’a pas sa place. La réponse étant bien connue des initiés, il suffirait à peine de rappeler que c’est Hassan Toibibou, de la même confrérie que lui (mais si, mais si…), qui l’y planta et implanta par esprit du corps et par reconnaissance du ventre. Il en avait fait l’exécuteur de ses basses œuvres en écriture à l’époque où il était Député (2009-2015). Il avait compris que Damed Kamardine se prenait pour une star de l’écriture, et en tirait profit, moyennant de l’argent sale. Déjà! Le Député Hassan Toibibou a été de ceux qui ont détruit la réputation de l’Assemblée de l’Union des Comores, et son très cher Damed Kamardine y avait joué un rôle très néfaste.
Damed Kamardine n’a jamais été associé à un acte positif et constructif. Chaque fois que son nom est prononcé quelque part, c’est qu’il est payé pour faire le mal, par une «compétence» imaginaire et une «expertise» inexistante. Il est au service des pires bandits.
Damed Kamardine est l’homme du vide, vit du vide, dans le vide, et profite du vide. Il vit du vide intellectuel et professionnel des nullissimes, et s’y accroche, car ses maîtres ne savent pas que son «talent» en matière de Droit et d’écriture est nul, inexistant, sauf pour eux.
Par une certaine tendance à l’exagération, Damed Kamardine se prend pour le reporter Tintin, le journaliste d’investigation Pierre Péan, l’Inspecteur Columbo et Zorro, et rappelle, pour le goût du vide, le terroriste Oussama Ben Laden: «Même si, pour l’instant, ce dernier a encore besoin – comme un bernard-l’hermite a besoin d’une coquille vide – d’un État vide (la Somalie hier, l’Afghanistan aujourd’hui) pour l’investir et le mettre tout entier au service de ses ambitions. La mondialisation favorise cela, comme elle encouragera demain l’apparition d’entreprises-État qui, à la manière de M. Ben Laden, investiront un État creux, vide, déstructuré, en proie au désordre endémique, pour l’utiliser à leur guise.»: Ignacio Ramonet: Le nouveau visage du monde, in Les États-Unis entre hyperpuissance et hyperhégémonie (Dossier), Le Monde diplomatique, Paris, décembre 2001, p. 11.
Damed Kamardine vit en plus de l’esprit de corps dans tous les sens du terme. Corps? Oui, corps. Le Tunisien Ibn Khaldoun (1332-1406) a écrit sur «l’esprit de corps», «esprit de clan» ou «Assabiya», qu’il voit en solidarité tribale: Abd Ar-Rahmân Ibn Mouhammad Ibn Khaldoun: Discours sur l’Histoire universelle (Al-Muqaddima), Tunis, 1382, Tome I, Traduction nouvelle, Préface et notes par Vincent Monteil, UNESCO et Commission internationale pour la traduction des chefs-d’œuvre, Beyrouth, 1967, pp. 254- 283.
Chez Damed Kamardine, l’esprit de corps est corporel. Chaque fois qu’il s’emberlificote dans l’obsession de l’argent sale par la corruption, l’esprit de corps vient à son secours. Cette solidarité corporelle au sein d’une confrérie est rare. Damed Kamardine se livre aux pires bêtises, insulte, injurie, accuse sans preuves, diffame, calomnie et dénigre haineusement, sur commande, mais sait que l’esprit de corps veillera au corps, au nom du corps. Mais, un jour, cet esprit de corps lui fera défaut, à l’image de ceux qui se lancent dans la filouterie alimentaire, en mangeant dans les restaurants tout en refusant de payer la consommation.
L’obsession de l’argent sale causera le trébuchement et la chute de Damed Kamardine. Ce jour-là, le corps fuira l’esprit, et l’esprit fuira le corps.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Jeudi 17 juin 2021.
