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Assoumani Azali, spécialiste mondial de coronavirus

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Assoumani Azali, spécialiste mondial de coronavirus

Sa maîtrise du sujet dépasse celle des grandes puissances

Par ARM

       La déclaration faite par le laborantin Assoumani Azali Boinaheri sur la reconnaissance du «1er cas de coronavirus» aux Comores est devenue un sujet de colère chez les Comoriens et ailleurs: «En ce jour du 30 avril 2020, le Gouvernement déclare le 1er cas de COVID-19 en Union des Comores». Tout de suite après, le laborantin Assoumani Azali Boinaheri avait perfidement claironné: «Il s’agit d’un compatriote âgé de 50 ans vivant aux Comores ayant côtoyé un ressortissant franco-comorien malade, qui a séjourné dans le pays à partir 18 mars 2020». L’allusion perfide du laborantin de la «Ripoux-blique» sur le «Franco-Comorien» avait un but, nécessairement perfide: dire que c’est un Franco-Comorien, vivant en France, qui a ramené la maladie aux Comores, en partant de France, et donc accuser la France d’avoir été à l’origine du «seul cas de coronavirus aux Comores». Le laborantin Assoumani Azali Boinaheri ne décolère pas contre la France depuis que des personnalités françaises d’une crédibilité mondiale définitivement assise avaient annoncé la présence du coronavirus aux Comores, alors qu’«il n’y a pas de coronavirus aux Comores».

L’arithmétique du laborantin est foireuse parce qu’elle ne retient qu’un seul cas alors qu’elle signifie que le «Franco-Comorien» est également malade, que cela devait faire deux cas, alors que ce «Franco-Comorien» n’est pas rentré en France, a contaminé d’autres Comoriens aux Comores. Dans l’affaire, le laborantin Assoumani Azali Boinaheri n’accuse pas que la République française, mais également les Comoriens vivant en France et toujours prompts à dénoncer dans la rue française son irrespirable dictature clanique.

Le laborantin Assoumani Azali Boinaheri ment, mais ne sait pas organiser ses mensonges pour un public instruit. Sinon, comment expliquer le fait qu’il prétend connaître le premier cas de coronavirus des Comores alors qu’aucune grande puissance mondiale n’est en mesure de désigner son premier cas? Et puis, mon frère le Grand Docteur Ibrahim, un expert compétent, s’interroge: «L’infectant et l’infecté viennent d’où? De quel village? Dans quelle ville française vit l’infectant? Il a vécu et circulé combien de temps aux Comores et a été en contact avec qui aux Comores? A-t-il été dépisté et placé en quarantaine? Comment y a-t-il échappé? Azali Assoumani a fermé les frontières des Comores, sauf pour les cas exceptionnels, le 16 mars 2020, alors qu’il parle d’un “franco-comorien malade, qui a séjourné dans le pays à partir 18 mars 2020ˮ. Il se contredit. Sa campagne mensongère prend eau de toutes parts».

Pour sa part, mon frère le Grand Docteur Abdoulhamid, un grand scientifique, celui-là, tempête en ces termes: «Moi, je trouve même que le décor du lieu du discours de RÉVÉLATION (1er cas aux Comores) ne témoigne pas d’une empathie vis-à-vis des victimes et des familles des victimes, et ne dégage pas non plus de la gravité de la situation. C’est un lieu et un discours cérémoniels. Un discours à la nation à partir de son bureau aurait eu plus de sens sur la gravité de la situation. CIRCULONS».

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Samedi 2 mai 2020.


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