La copine de Dafiné impliquée dans la mort de Djaza
Que faisait-elle avec le Président de la CÉNI à sa mort?
Par ARM
Avant d’annoncer la mort d’Ahmed Mohamed Djaza, Président de la Commission électorale nationale «indépendante» (CÉNI), le samedi 2 mai 2020, nous avions tenu à avoir une information complète sur les circonstances de cette mort étrange. Nos sources à la Gendarmerie avaient été claires: assassinat. Dès lors, nous n’avions pas parlé de mort, mais avions titré: «Le Criminel “Docteur 104%ˮ Ahmed Djaza est assassiné – Un grand malfaiteur est assassiné après avoir tué son peuple». Alors, quand apprenons, deux mois plus tard, que la Gendarmerie avait reconnu, dans un premier temps, la thèse de l’assassinat avant de devenir muette comme une carpe, nous sourions. Des gendarmes nous avaient dit la vérité dès la matinée du samedi 2 mai 2020: Ahmed Mohamed Djaza était assassiné. Le reste ne relève que de supputations et de blablas qui ne nous intéressent pas.
Par contre, nous nous intéressons depuis un certain temps à la copine de Saïd Mzé Dafiné. Saïd Mzé Dafiné est le secrétaire général et le n°2 de la très corrompue CÉNI. Sa haine mortelle envers son ancien chef Ahmed Mohamed Djaza était légendaire. Il voulait être Khalife à la place du Khalife. Cette fille est intéressante dans la mesure où elle est la copine du très corrompu Saïd Mzé Dafiné de la très corrompue CÉNI. Cette fille du Mbadjini était avec Ahmed Mohamed Djaza, Président de la Commission électorale de toutes les hontes et infamies, la nuit du samedi 2 mai 2020, celle de sa mort.
Qui avait pris ce rendez-vous galant qui implique que Saïd Mzé Dafiné a «sacrifié» sa propre copine pour faire tuer un Ahmed Mohamed Djaza dont il voulait la place? Monsieur Fils Loukman, rejeton du dictateur Assoumani Azali Boinaheri, s’était présenté sur le lieu de l’assassinat du Président de la CÉNI et avait demandé à la fille de déguerpir. Elle avait été internée quelques jours à l’Hôpital militaire, sous l’œil gourmand et possessif du bandit Saïd Mzé Dafiné, qui n’avait réagi à la mort de «son» Président que des jours et des jours plus tard, et ce, en versant larmes de crocodile sur un mort qu’il haïssait vivant. Saïd Mzé Dafiné est né sous le signe de la traîtrise.
Au fait, quand est-ce que le brigand Saïd Mzé Dafiné sera-t-il nommé Président de la CÉNI, lui le brigand prêt à tout, même à la complicité d’assassinat, pour de sales histoires d’argent sale? S’est-il déjà dit que depuis 2016, il en sait beaucoup sur les saletés de l’assassin Assoumani Azali Boinaheri et que ce qui est arrivé à d’autres traîtres comme lui pourrait lui arriver aussi? Eux aussi se croyaient à l’abri. Pourtant… Oui, pourtant…
Par ARM
Le copier-coller a définitivement tué la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.
© www.lemohelien.com – Jeudi 2 juillet 2020.
