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La «Ripoux-blique» de Mitsoudjé vient de sauter 7 fois

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La «Ripoux-blique» de Mitsoudjé vient de sauter 7 fois

Vols, rivalités internes et des moteurs qui ne démarrent pas

Par ARM

       Loin de nous toute idée d’acharnement et d’exagération. Or, point n’est besoin d’être grand clerc pour constater les excès du «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», lui qui, du haut de la tribune de l’Assemblée générale de l’ONU, s’est déculotté en disant qu’il a ramené de l’électricité aux Comores! Il fallait le faire. Pourtant. Pourtant. Oui, pourtant, les réalités inhérentes à sa propre médiocrité et à celle de son entourage rongé par le crime aurait dû l’inciter à plus de modestie parce que son affaire de groupes électrogènes est en train de tourner en eau de boudin.

Qu’on s’en rende compte! La nouvelle centrale thermique de Voidjou, inaugurée en grande pompe, et qui a prétendument coûté 5 milliards de francs comoriens (10 millions d’euros), vient de perdre 4 de ses 9 groupes électrogènes. Un de ces groupes n’a jamais fonctionné, et les autres ont tout simplement explosé. L’affaire est très triste parce que Bellou Magochi (il confond chaussure droite et chaussure gauche), Directeur du Cabinet à Bête-Salam, et Monsieur Neveu, Hamadi Idaroussi dit «Tonton-m’a-dit», secrétaire général du gouvernement, disent qu’ils n’ont pas reçu assez d’argent en termes de rétro-commissions. Ils sabotent donc un projet qui, de toute façon, était déjà voué à l’échec. Deux nouveaux groupes électrogènes sont arrivés à Voidjou, mais le problème reste entier et empire. Les deux groupes électrogènes en question ont atterri à Mohéli et refusent de démarrer.

Toujours est-il que pour avoir leurs gros parts du gâteau électrique, Bellou Magochi, Hamadi Idaroussi et leur maître Jean-Marc Heintz sont partis à l’étranger négocier de nouveaux moteurs d’occasion.

Cela n’a pas empêché Djaafar Saïd Ahmed Hassani (Ouf! Ouf!) et Idaroussi Hamadi de commander des faux compteurs électriques à cartes impossibles à utiliser aux Comores dans la mesure où ils ne sont pas aux normes. C’est le frère du Directeur de la MAMWÉ (Société d’eau et électricité) qui passe les commandes, Djaafar Saïd Ahmed Hassani (Au secours! Au secours!) se contentant de ramasser à la pelle les sommes faramineuses d’argent sale. Son frère Bahassane Blablas est à la manœuvre.

Pendant ce temps, Toilabia Soilih, la suppléante de Maoulana Charif, Vice-président de l’Assemblée de l’Union des Comores, est actuellement à la tête de l’Autorité portuaire des Comores (APC), qu’elle a mise en faillite par son incompétence criminelle. Le comptable de l’APC a le niveau d’un âne de Gnambo Ya Wa Mahorais, à Mohéli, et n’arrive pas à maîtriser les dépenses, qui ont dépassé de 150% le seuil normal, et cela, en violation des règles de l’OHADA et du bon sens. Nous savons que les dépenses d’une entreprise ne doivent pas dépasser de 30% les recettes. Or, Toilabia Soilih a le niveau d’un tire-bouchon.

Nous retrouvons 400 employés dans une société qui ne devait pas en compter plus de 120. L’APC est rejointe en la matière par la Société comorienne des Hydrocarbures (SCH) du sieur Mohamed Chatur Al Badaoui, l’ancien gardien des parkings à Paris, où il voulait faire nommer sa copine à la tête de l’Ambassade des Comores. Le pauvre chéri! Parlons du bandit Mohamed Chatur Al Badaoui, justement. Il vient d’ouvrir un service de vente de bitume et de gaz qui ne sont pas aux normes d’usage aux Comores, et dont les camions (spécialisés dans le transport du lait) ne sont pas aux normes non plus. Les dépôts de gaz étant placés 10 mètres sous les maisons de Moroni, une explosion risque de se produire et de faire tout voler en éclats, comme cela se passe dans d’autres pays.

La «Ripoux-blique» de Mitsoudjé a sauté une nouvelle fois, et cette fois-ci, quand le Directeur de l’Office national d’Importation et de Commercialisation du Riz (ONICOR), un bandit notoire qui finance le parti RIDJA de Saïd Larifou, a ouvert une société de transit en douane dont le but est de lui permettre d’accomplir toutes les formalités pour les conteneurs de riz pour qu’il encaisse lui-même tout cet argent volé aux Comoriens. Quelle grandeur d’âme! Le danseur Saïd Larifou en déjà salive à force de sentir ce que tout ce micmac peut lui apporter au nom de «l’émergence verbale et dansante», dont il est l’applaudisseur servile et le chantre le plus obséquieux.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Samedi 9 décembre 2017.


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