Un déséquilibré caresse les seins d’Ambari Darouèche
Après, il criait: «Je les ai caressés. J’ai bien tété son lait»
Par ARM
Faut-il plaindre la dictatrice Ambari Darouèche, la première épouse du fraudeur électoral divin Assoumani Azali Boinaheri? Naturellement, non! Et pourtant. Et pourtant. Oui, et pourtant. Oui, pourtant, dans son hameau de Mitsoudjé, on se plaint. Plus précisément, on la plaint. Mais, qu’a-t-elle encore fait? Des vétilles. Oui, des vétilles. Elle sortait d’une cérémonie à Mitsoudjé. Et là, sans crier gare, un déséquilibré mental s’est jeté sur elle et a commencé à caresser ses seins, que certains appellent avec mépris «Mabélé ya Mboudjou», «les mamelles du poisson corne». Les militaires qui assurent la protection de la dictatrice Ambari Darouèche voulaient tuer le déséquilibré mental, mais quand ils se rendirent compte de son état, ils étaient obligés de le laisser partir. L’adorateur de «Mabélé ya Mboudjou», nullement intimidé par les militaires assassins, criait: «Je les ai caressés. J’ai bien tété son lait».
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 31 janvier 2020.
