Très assourdissantes casseroles d’Azali Assoumani
Assassinat, corruptions de partis et petitesse de Caporal
Par ARM
Azali Assoumani est désespéré et désespérant. Il aime tellement le comportement mesquin du Caporal condamné à mourir en petit chef qu’on ne sait pas s’il s’aime ou s’il ne s’aime pas. Et, malheureusement pour lui, avant sa défaite au deuxième tour de l’élection présidentielle, le dimanche 10 avril 2016, il n’aura pas le temps de le dire, et les Comoriens s’en moquent bien. Au moment où il faisait tout pour avoir fière allure et faire le beau lors de la signature de son pacte du sang et de la honte avec les renégats du Parti Bidoche d’Ahmed Sambi, parti aujourd’hui mort et presque enterré, il n’avait pas eu le temps de prévoir la réaction du Bureau exécutif national de la chose. Or, aujourd’hui, ce Bureau exécutif national a lancé une grande enquête interne sur la corruption dans laquelle ont baigné Mahmoud Mohamed Elanrif, Salami Abdou, Mohamed Bacar Dossar et le Grandissime Docteur Sounhadj Attoumane, suite aux millions de francs comoriens avec lesquels Azali Assoumani a rempli leurs poches pour leur faire signer un chiffon sans valeur politique, ni juridique au Stade de Missiri, à Mutsamudu le dimanche 27 mars 2016.
Et comme un malheur arrive rarement seul, le même Azali Assoumani a des soucis à se faire parce que, côté Mohamed Ali Soilihi, la campagne électorale bat son plein, et les points sont engrangés matin, midi et soir. C’est ainsi que la grande rencontre de Domoni s’est révélée très positive pour le candidat Mohamed Ali Soilihi, notamment avec le ralliement spectaculaire du Député du Parti Bidoche dans la région. Ceci, d’une part. D’autre part, au cours de la même rencontre de Domoni, Saïd Larifou, Président du Parti RIDJA, aujourd’hui rallié à Mohamed Ali Soilihi, a fait fort et bien, en balançant des bombes au plutonium enrichi sur Azali Assoumani. La première concerne l’exécution d’un sous-officier de l’Armée française d’origine comorienne et plus précisément originaire de Foumbouni qui avait rejoint la rébellion militaire contre le pouvoir de Saïd Mohamed Djohar le 26 septembre 1992. À l’époque, Azali Assoumani était impliqué dans la tentative de putsch jusqu’au cou, mais quand il vit le vent tourner, il tourna casaque et s’en prit aux autres putschistes. Ce fut le temps de la lâcheté et des assassinats. La deuxième bombe concerne une froide et honteuse tentative de corruption à hauteur de 20 millions francs comorien pour «acheter» le Parti RIDJA, à l’époque, principale organisation politique contre la junte militaire du Colonel Azali Assoumani. Ce qui éclaire le monde entier sur la nature réelle du pacte souillé de corruption, de saleté et de fange à l’argent sale par laquelle Azali Assoumani a fait main basse sur Mahmoud Mohamed Elanrif, Salami Abdou, Mohamed Bacar Dossar et le Grandissime Docteur Sounhadj Attoumane pour leur faire signer un bout de papier qui n’engage qu’eux-mêmes et eux seuls.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mercredi 30 mars 2016.