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Le fugitif international Boléro est sorti de l’emploi fictif

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Le fugitif international Boléro est sorti de l’emploi fictif

Il a confirmé sa mendicité et sa pérennisation dans le Mal

Par ARM

     Les jeunes et sincères militants de Poteau-central, haut lieu des intrigues sociales et politiques à Djoiezi, dans leur tract anthologique, historique et patriotique «Kala Wa Dala» du 1er mai 2014, avaient écrit: «Boléro, Directeur de Cabinet à la Défense, surnommé Dracula. C’est un fantôme, un caméléon, un escroc, un menteur. Il n’a pas d’identité fixe, il change en fonction du pouvoir. Ses alliés (Moishikundi wayi conteneri ya banatacha) Le petit groupuscule qui se réunit devant le conteneur du père de Natacha» (Youssoufa Madi, de Djoiezi)] ne le soutiennent plus, ils le haïssent. Ce Monsieur n’est ni un Mohélien, ni un Grand-Comorien vu ses mentalités (moyenne: 0,5/20). Mention: Traître». Rien n’a changé pour le malfaiteur multirécidiviste, «apatrîle», et pathologique qui ment plus vite que son ombre et ne fait que du mal autour de lui.

Une nomination infâme et satanique

Ce lundi 20 juin 2022, le fugitif international Hamada Madi Boléro dit Ébola ou Makridine, «le Religieux de la Magouille», a été nommé Conseiller diplomatique auprès de lui par le dictateur et «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri Ben Tartuffe dit «Bakapihi», «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Cette nomination concerne avant tout un filou notoire doublé d’un menteur dénué de toute forme d’honnêteté et de fierté. Et s’il commençait par nous dire un mot sur la nature de ses études supérieures et de ses diplômes en URSS?

Ce voleur se dit «Docteur» devant ceux qui ne savent rien sur les diplômes. Sur la 4ème de couverture du Tome I de ses prétendus «Mémoires», il écrit: «Hamada Madi Boléro est né en 1965 à Boingoma (Mohéli, Comores). Il a effectué ses études en URSS (Kiev), où il a obtenu un “Master of Law” (DÉA)». Alors, parfois, il parle de MBA et de Doctorat, comme si en URSS, on préparait des diplômes anglo-saxons et capitalistes («Master of Law» et MBA). À la page 38 du Tome 1 de ses prétendus «Mémoires», il se dit Docteur: «Lorsqu’en avril 1992, je présentais ma thèse à l’université d’État de Kiev (capitale de l’Ukraine soviétique), un de mes très proches amis, Mirhane Bourhane, docteur en relations internationales, s’était étonné du choix du sujet: “Le système fédéral et les relations internationales entre les États en cas de dislocation d’un État fédéral et la mise en place d’un nouvel État”». Ouf! Ouf! Au feu! Au feu! Au secours! Au secours! Il aurait pu intituler son machin infernal: «Fédéralisme et succession d’États» ou «La succession d’États dans les systèmes fédéraux». Et ce mot «Thèse»? Quand on dit «Thèse», c’est toujours «Thèse de Doctorat» ou «Thèse de Doctorat de Troisième Cycle», parfois. Il n’y a pas de «Thèse de DÉA».

En tout état de cause, sa nomination le fait sortir de l’emploi fictif de «Conseiller spécial» depuis son retour honteux du secrétariat général de la Commission de l’océan Indien (COI). Cette nomination représente les Trente Deniers de Judas. Il est l’homme qui a trahi dans la chair dans une suite d’hôtel de Dubaï celui qui l’a nommé. Mais, il avait été l’organisateur en sa faveur de la mascarade électorale de 2002 et 2016. C’est avant tout un prédateur sexuel qui couchait avec ses élèves mineures au Lycée de Moroni, dont certaines l’ont photographié nu comme un ver. C’est seulement par respect pour les lectrices et lecteurs que nous ne publions pas ces photos dégueulasses. Elles sont dégueulasses et représentent un type dégueulasse. Ce type dégueulasse a été le premier Directeur général de «l’odieux-visuel» public comorien, et a détourné des millions de francs comoriens offerts par l’Arabie Saoudite. Il a volé des millions de francs comoriens offerts par le Sultanat d’Oman pour la création d’une unité de garde-côtes aux Comores. Il a plongé ses sales pattes dans l’argent de «la citoyenneté économique». Il aurait dû avoir honte, mais ne connaît pas la signification de ce mot.

Voilà un ignorant qui prétend être «le plus grand juriste des Comores», mais en employant les méthodes «juridiques» de son voleur de cousin Nourdine Abodo, le trafiquant de lingots d’or malgaches, le serpent venimeux à la langue fourchue, la vipère infâme, le mercenaire dégénéré, l’ignoble Procureur général de l’ignoble Cour suprême, surnommé Satan par les magistrats, l’Intrigant par les avocats, l’Infâme par le peuple, le Serpent à lunettes à Bête-Salam du temps des Mohéliens de Bête-Salam. Tel cousin, tel cousin… Pouah!

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mardi 21 juin 2022.


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