Selon les Mohéliens, Boléro complote contre lui-même
Ils accusent le voyou d’avoir monté son énième faux coup
Par ARM
Les jeunes de Djoiezi sont de nouveau très en colère contre le fugitif international Hamada Madi Boléro. À Poteau Central, haut lieu des intrigues sociales et politiques, ces bons pères de famille, dès qu’ils ont appris que le fugitif international Hamada Madi Boléro, serait l’auteur d’une prétendue «tentative de coup d’État» contre la dictature qu’il a lui-même instaurée par la fraude électorale incestueuse, immonde et obscène de 2016, ont déterré le fameux mot de feu le Grand Maître Abdou Bacar Soilihi: «Tsizo, Tsizo», c’est-à-dire, «Les revoilà, les revoilà» ou encore «Voilà encore les mêmes conneries»… À Poteau Central, après avoir craché par terre, les jeunes pères de famille qui y animent les intrigues sociales et politiques avec brio et maestria évoquent avec nostalgie le tract historique, anthologique et épique «Kala Wa Dala» de mai 2014.
En effet, sur document désormais entré dans l’Histoire, les mêmes admirables jeunes avaient écrit: «Boléro, Directeur de Cabinet à la Défense, surnommé Dracula. C’est un fantôme, un caméléon, un escroc, un menteur. Il n’a pas d’identité fixe, il change en fonction du pouvoir. Ses alliés (Moishikundi wayi conteneri ya banatacha) [«Le petit groupuscule qui se réunit devant le conteneur du père de Natacha» (Youssoufa Madi, de Djoiezi)] ne le soutiennent plus, ils le haïssent. Ce Monsieur n’est ni un Mohélien, ni un Grand-Comorien vu ses mentalités (moyenne: 0,5/20). Mention: Traître».
Quand les jeunes de Djoiezi ont donc appris que le fugitif international Hamada Madi Boléro complotait contre le dictateur fou Assoumani Azali Boinaheri, pour qui il a truqué atrocement et violemment les élections en 2002 et 2016, ils ont mené une enquête très serrée. Résultats: c’est le fugitif international Hamada Madi Boléro qui a monté le coup contre lui-même, avec la bénédiction du dictateur fou Assoumani Azali Boinaheri.
Explication: comme le fugitif international Hamada Madi Boléro doit être classé dans les rangs de l’opposition, la vraie fausse accusation en fera «un martyr», et l’opposition mohélienne devra le récupérer. Dès que l’entrée de «l’opposant» dans l’opposition de Mohéli sera effective, c’est cette opposition qui «imposera» à la dictature le fugitif international Hamada Madi Boléro comme ministre dans un «gouvernement d’ouverture».
De la sorte, le «ministre premier» Bianrifi Tarmidhi et Mohamed Saïd Fazul, le semblant de «Gouverneur» de Mohéli, qui s’étaient farouchement opposés à l’entrée dans le gouvernement du fugitif international Hamada Madi Boléro, n’y verront que du feu. D’ailleurs, les jeunes de Djoiezi récusent la thèse tirée par les cheveux selon ce sont Bianrifi Tarmidhi et Mohamed Saïd Fazul qui ont monté le coup contre leur ennemi intime qu’est le fugitif international Hamada Madi Boléro.
Pour rappel, le fugitif international Hamada Madi Boléro est surnommé Makridine, «Le Religieux de la Magouille». Il est un mélange du hérisson par sa vie souterraine, du hibou par sa vie nocturne, et de la chauve-souris par sa vie la tête en bas. Lors de la prochaine élection démocratique, il me trouvera sur son passage, sauf s’il limitera sa candidature à son village d’origine de Chouani, chez lui, en Grande-Comore.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mardi 3 novembre 2020.
