Médiocre, Assoumani Azali interdit la langue française
Les journalistes, sommés d’éviter cette langue devant lui
Par ARM
De nouveau, c’est l’horreur chez les Comoriens. Ces derniers n’en peuvent plus. Ils sont vraiment dégoûtés et vomissent, horrifiés et étranglés par la colère. Deux épouvantes les mettent dans cet état. Il s’agit, d’une part, du physique du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», et d’autre part, de sa nouvelle phobie: la langue française, qu’il parle très mal et qui lui vaut les quolibets et les lazzis les plus sarcastiques et méprisants de ses milliers d’ennemis.
S’agissant de son physique, c’est le sommet du mauvais goût. Le dictateur fou de Mitsoudjé était au Stade de Malouzini. Il aurait pu porter un de ses costumes taillés dans la mauvaise étoffe, mal repassés et portant des traces du fer à repasser ressemblant à celles de l’escargot sur le sol. Mais, non! Il porte une tenue sportive qui fait ressortir son ventre de femme enceinte de 6 mois et ses fesses de baobab. Mais, qu’est-ci l’a encore poussé à cet accoutrement diabolique et pathétique? Il ressemble au monstre né de l’accouplement d’un éléphant et d’un rhinocéros sous les poussées d’une baleine et les applaudissements d’un phacochère. Ce n’est pas beau. Ce n’est pas bien.
Pour ce qui est de la langue française, le Tout-Moroni est en plein génocide du rire. Le Tout-Moroni ricane parce que la fine équipe du dictateur fou de Mitsoudjé chargée de sa prétendue communication suppliait les journalistes présents au Stade de Malouzini de ne pas poser au satrape des questions en français! L’ordre doit venir du dictateur lui-même. Cette situation est inédite. À quelques exceptions près, les autorités comoriennes n’ont jamais été des lumières dans la pratique de la langue française. Mais, quand il s’agit du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri, on touche le fond de l’horreur. Pourtant, il a fait ses études primaires et une partie notable de ses études secondaires lors de la période française, l’âge d’or de la langue de Molière aux Comores, quand, même les cancres les plus désespérants en faisaient un bon usage. Ses faiblesses structurelles et génétiques en matière de langue française font honte partout. Lors de son récent passage à Paris pour assister au Forum de la Paix, il en a fait de très belles, de vertes et de pas mûres, notamment sur le plateau de France 24. D’autres «brutes galonnées» africaines comme lui étaient dans le même état d’ignorance que lui, mais ont pu s’améliorer. Lui, non.
Il est resté médiocre en français et dans les autres domaines de compétence. D’ailleurs, il est édifiant de constater qu’Ahmed Sambi, qui est un arabophone, pourrait donner des cours de français au «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri. En effet, Ahmed Sambi parle un français très simple, mais plus correct que celui du «saigneur saignant» Assoumani Azali Boinaheri. Le satrape de Mitsoudjé ne se rend même pas compte que sa médiocrité en français le ridiculise devant tous les dignitaires francophones étrangers qui ont le malheur de discuter avec lui. Dans un geste humanitaire, un Comorien pratiquant «un français bon père de famille» doit le prendre en main pour lui apprendre les rudiments de la langue français. Ce Comorien ne saurait être le faussaire Saïd Ahmed Saïd Abdillah, prétendu Président du prétendu Parti Comores Alternatives (PCA), le rigolo qui s’attribue un «Doctorat en Médecine» imaginaire de Madagascar, et qui a réussi la prouesse mondiale de faire sortir tous les mots de son langage décousu du masculin, du neutre et du féminin pour un genre qui n’est connu que de lui. On comprend pourquoi il est le défenseur acharné du bambochard Assoumani Azali Boinaheri et de ses lubies criminelles et de ses chimères et utopies de fou.
Par ARM
Le copier-coller tue la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.
© www.lemohelien.com – Dimanche 17 novembre 2019.
