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Mahmoud Salim Hafi a pris la fuite et se cache à Paris

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Mahmoud Salim Hafi a pris la fuite et se cache à Paris

Bellou Magochi enchaîne les réunions de crise de folie aiguë

Par ARM

     C’est la folie chez les fous. Mahmoud Salim Hafi, ministre de la Jeunesse, des Sports, des Injures publiques et des Dérapages verbaux juvéniles, natif de Mutsamudu, a déserté. Il est parti se cacher en France, et refuse de rentrer aux Comores. Il soutient, en privé, que son chef, le «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», est «un dictateur fini», et qu’il ne veut pas sombrer avec le navire en plein naufrage de ce bambochard. En même temps, il dit qu’il ne peut pas être complice de ceux qui emprisonnent injustement l’enfant de Mutsamudu comme lui, à savoir: l’ancien et inévitable prochain Président Ahmed Sambi. Naturellement, C’est un nouveau coup très dur contre le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri. C’est un immense scandale. Si un ministre en exercice fuit son gouvernement, c’est que la situation est explosive.

Complètement devenu fou, plus fou que d’habitude, Bellou Magochi, incapable de passer une brosse à dents dans sa bouche pâteuse qui indispose tout le monde par sa très mauvaise haleine, organise toutes les heures des réunions de crise de folie aiguë, suite à la déclaration explosive de Djaffar Ahmed Saïd Hassani du samedi 16 juin 2018 dénonçant la dérive anticonstitutionnelle et dictatoriale du fou de Mitsoudjé.

Pour sa part, le dictateur fou de Mitsoudjé, encore sous l’avalanche des mauvaises nouvelles, dont celle de la banderole d’Itsandra annonçant sa mort prochaine à Sankoulé, a décidé de réagir par son sempiternel mélange des genres, à Diboini, sur les hauteurs de l’Itsandra-Hamanvou, le mercredi 20 juin 2018, lors de la cérémonie sur… la vanille. C’est un nouvel acte de folie furieuse en perspective. Il va déclarer que, nolens volens, il organisera son référendum anticonstitutionnel car il fait suite aux recommandations des «Assises “nationalesˮ, voulues par le peuple comorien dans son ensemble». Ce n’est pas Madame Saïd Larifou qui va le contredire.

Quand un âne cherche à sodomiser de force une ânesse, les coups de pieds et les ruades de celle-ci ne le font jamais reculer. Le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri est devenu un âne rouge qui veut sodomiser une ânesse.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 18 juin 2018.


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