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Mzé Ali Azhar Ahmed, menteur, corrompu, incompétent

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Mzé Ali Azhar Ahmed, menteur, corrompu, incompétent

Le Directeur de l’ONICOR prend les Comoriens pour des gagas

Par ARM

  Si l’on devait faire le calcul des décisions malheureuses portant sur des nominations malheureuses auxquelles a procédé l’usurpateur Azali Assoumani, il est certain que l’on a dépassé le millier ou qu’on y est tout près. Qu’il s’agisse d’autorités gouvernementales, de Directeurs de sociétés d’État ou de ses dizaines de Conseillers inutiles et alimentaires, on n’a assisté à aucune décision intelligente et utile. Les futilités s’enchaînent de manière à faire honte au monstre qui naîtrait de l’accouplement d’un chacal avec une guenon. Certaines décisions de nomination ont provoqué de vrais séismes et de véritables scandales chez les Comoriens, les plus optimistes ayant enfin décidé de reconnaître que l’usurpateur Azali Assoumani restera dans la médiocrité qui le caractérise depuis son apparition sur la scène publique, pendant que les Comoriens ont faim, ont soif et sont fatigués de vivre dans l’obscurité. Pour tout dire, les décisions de nomination des Oumara Mgomri et Mzé Ali Azhar Ahmed sont considérées comme relevant de la provocation et de l’injure envers l’intelligence de tous les Comoriens. Même les journalistes payés au mois par l’usurpateur Azali Assoumani depuis la période électorale pour le «laver» ont émis des doutes sur ces choix malheureux. Même l’idéologue Idriss Mohamed Chanfi, qui prenait l’usurpateur Azali Assoumani pour l’ombre de Dieu sur Terre, émet des doutes sur les options de l’ingrat de Mitsoudjé.

  La recherche de la vérité incite à dire que Mzé Ali Azhar Ahmed (Photo) est un désastre national. Il pourrit tout ce qu’il touche. Sa gestion passée à l’Office national d’Importation et de Commercialisation du Riz (ONICOR) est un désastre, et l’ignorant de Beït-Salam l’a reconduit au poste où il avait causé des dégâts incommensurables. Et voilà aujourd’hui que, toute honte bue, Mzé Ali Azhar Ahmed se dit innocent de toutes les accusations unanimement portées sur lui. Le pauvre chéri injustement accusé! Notre pauvre chéri national! Comme on a envie de lui donner le sein et le biberon, de le border et de le materner!

  Voici ce que dit le bandit de l’ONICOR, qui qualifie bêtement les journalistes de «journaleux», par mépris: «Je n’aurais pas été surpris si ces commentaires s’appuyaient sur des faits réels; malheureusement, ce n’est pas le cas. En continuant à assener des contrevérités sur ma gestion passée à la tête de l’ONICOR, ces journaleux ont perdu toute crédibilité. Dois-je vous dire qu’après mon remplacement en 2005, quatre Directeurs généraux sont passés à l’ONICOR. M. Aladine Daroumi, nommé en 2008, n’a été que le quatrième de cette longue liste. Pourtant, à écouter et à lire certains commentaires, on a la fausse impression que la société n’a jamais connu, par le passé, un autre Directeur que moi. Je comprends d’autant moins cet acharnement que si ces gens prenaient la peine de s’informer sur mon premier passage à l’ONICOR, ils apprendraient qu’il n’y a strictement rien à me reprocher. J’ai la conscience tranquille et je défie quiconque de trouver la moindre malversation durant mes trois ans à l’ONICOR. Ceux qui véhiculent ces ragots travaillent pour des officines politiques dont je préfère taire le nom».

  Le crâneur de l’ONICOR crâne. Et ment. Au moins, Aladine Daroumi a fait des réalisations et a laissé de l’argent dans les caisses avant d’être injustement chassé de l’ONICOR. Avant lui, aucun Directeur ne l’avait fait.

  Relevons un autre tissu de mensonges du menteur de l’ONICOR: «Quand j’ai été nommé à l’ONICOR, l’Office était en faillite. Le Conseil d’État qui faisait office d’Assemblée de l’époque l’avait cadenassé. Il y avait trois mois d’arriérés de salaires et des dettes énormes. L’ONICOR n’était pas en mesure de commander du riz. Ce qui était sa mission première. Dans un premier temps, nous avons restauré la confiance auprès de nos partenaires. Puis, nous avons entamé un travail de redressement. Ce travail a été mené avec succès. Lorsque je quittais l’office, appelé à d’autres fonctions, j’ai laissé une situation assainie. Les chiffres parlent d’eux-mêmes: Nous avons payé la dette de l’ONICOR, qui s’élevait à 274.662.843 francs comoriens (des dettes envers l’État, la BIC, les fournisseurs étrangers et locaux). Nous avons contribué au budget de l’État à hauteur de plus de 6 milliards de francs comoriens et contribué à la construction de l’Université (un investissement public) à hauteur de 1,2 milliard de francs comoriens. J’ai laissé à mon successeur Abdourahmane Cheihk Ali une trésorerie de 243.119.762 francs comoriens, des dettes de 18.442.958 francs et des créances mobilisables de 30.705.439 de francs comoriens. Tout cela en trois ans. Toutes ces données sont consultables aux archives de l’ONICOR. Voyez-vous, on raconte tout et n’importe quoi. Comme cette autre rumeur selon laquelle je serais parti en 2008 des Comores vêtu d’un tissu noir et couvert de la tête aux pieds. Je laisse cette question aux autorités de l’époque, notamment celles qui assuraient la sécurité de l’aéroport répondre à cette question. J’avais toutes les autorisations, n’ayant rien à me reprocher».

  Et comme il veut dénigrer le bilan d’Aladine Daroumi, le voilà lancé dans des nouveaux mensonges dictés par la haine et l’irresponsabilité: «Le jour de la passation, j’ai hérité d’une trésorerie de 700 millions et des dettes envers les fournisseurs étrangers et locaux de près de 800 millions ainsi qu’un important parc automobile dont les voitures ont un moyen d’âge de plus de 5 ans. Il y a aussi des investissements de constructions pour le siège à Moroni et les bureaux régionaux à hauteur de 280 millions. Le portefeuille de créances clients est de plus de 1 milliard, dont plus de 800 millions datent de plus de quatre ans et qui n’ont pas fait l’objet de réclamations. Un important travail vient d’être lancé avec l’appui des autorités pour recouvrer des montants abyssaux dont l’État et l’ONICOR ont bien besoin. Avec cet argent, nous aurions une capacité de financement propre qui nous permettrait de financer nos achats sans faire appel à un crédit fournisseur ni à un financement bancaire qui, vous le savez, n’est pas gratuit».

  Voleur une fois, voleur pour toujours. Ce type ment uniquement pour essayer de faire croire aux gens que toutes les accusations de vol portées sur lui sont infondées. Pourtant, point n’est besoin de consulter des statistiques truquées pour voir la réalité. L’usurpateur Azali Assoumani avait fait de l’ONICOR, des Hydrocarbures, de Comores Télécom et de la Direction des Impôts des secteurs d’activités qui étaient gérés dans sa basse-cour familiale. Il reprend les mêmes et recommence le vol massif d’argent public, en croyant qu’il suffit de dire des bêtises pour être lavé de tout soupçon de malversations. En tout état de cause, l’Histoire mouvementée des Comores retient déjà que Mzé Ali Azhar Ahmed est un voleur d’argent public bénéficiant de la magnanimité lugubre de l’usurpateur Azali Assoumani. Le pacte liant les deux individus finira un jour par atterrir sur l’espace public. Aux Comores, ces choses-là finissent toujours par arriver…

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 8 août 2016.


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