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Azali Assoumani et Hamada Madi Boléro en accusation

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Azali Assoumani et Hamada Madi Boléro en accusation

Le blog Mbadakome accuse les 2 lascars de certaines choses

Par ARM

     Les spécialistes disent que là où apparaît le fugitif international Hamada Madi Boléro, les complots fleurissent comme jardin au printemps. Quand il n’y a rien en vue, le chef comploteur et chantre de la complotite aiguë invente des complots et les ourdit. Génétique. C’est plus fort que lui. Et, il a suffi que le fugitif international Hamada Madi Boléro soit vu sur les rivages des Comores pour qu’on parle de mercenaires et de mercenariat. Le même jour. Comme par hasard. À Anjouan. Il avait suffi qu’on parle de cette affaire pour que les relations entre les Comores et la France plongent dans les bas-fonds de la confusion confondante. À ce jour, il est difficile de savoir ce qui se passe. En tout état de cause, le blog Mbadakome, qui n’est pas hostile à un certain courant politique proche d’Ahmed Sambi, a été le premier à parler de bruits de bottes et de mercenaires à Mutsamudu. Après les couacs de la communication gouvernementale, le blog en question revient sur cette affaire et allume les deux lascars que sont l’usurpateur «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani et son âme damnée, le fugitif international Hamada Madi Boléro.

     Voici ce qu’il nous apprend: «Dans la nuit du 29/07/2016 à la veille de l’ouverture du conseil de ministre, la capitale d’Anjouan, Mutsamudu, était le théâtre d’un événement pour le moins curieux: Il était 23h lorsque nous avons appris que la population et les forces de l’ordre ont encerclé hôtel la pension Makana, situé non loin de la plage et pour cause des mercenaires d’origine occidentale et africaine ont été découverts sur les lieux. Certains qui, naturellement, ont tendance d’aller vite en besogne diront que c’est une coïncidence et en revanche d’autres concluront que cet événement a un lien avec le conseil de ministres qui se tenait au lendemain sur l’île. Mais qu’importe, les sentiments des uns et des autres!

     Le soir même nous avons appris que lesdits mercenaires étaient aux mains des gendarmes, mais bloqués à l’intérieur de l’hôtel par une population remontée et possédée par l’envie de lyncher ces barbouzes. Vers 3h du matin les forces de l’ordre ont réussi à se frayer un chemin pour évacuer ces prévenus. Mais chose curieuse, au lendemain, aucune information n’a filtré sur ces arrestations, le pouvoir en place a maintenu son conseil de ministres comme si de rien n’était. Le mutisme total. De là, nous avons cherché à comprendre ce qui s’est passé et le 31 juillet, nous avons appris de sources officieuses que là, il s’agissait d’un kidnapping d’enfants et non d’un complot de coup d’État. Curieux, curieux, mon cher Watson!

     Comment une affaire de kidnapping a pu devenir une affaire d’État, au point d’être occultée sciemment comme un secret d’État? Étant dans l’opacité totale, la seule option qui nous reste c’est de poser des questions: pourquoi le gouvernement AZALI a exfiltré ces hommes à Mayotte et que cache-t-il? Pourquoi deux jours après, le Quai d’Orsay a publié une note sur le site du ministère des Affaires étrangères appelant les Français à sursoir tout voyage sur Anjouan sous prétexte que des Occidentaux seraient agressés à Anjouan? S’agirait-il d’un complot ourdi par la France pour déstabiliser AZALI ou un complot d’AZALI et BOLÉRO qui a été éventré dans l’œuf? Et pourquoi la note du Quai d’Orsay a été retirée du site 2h heures après, sous pression du ministère des Affaires extérieures des Comores? Cette note avait-elle comme objectif de faire pression sur le gouvernement comorien pour relâcher les deux barbouzes? Pourquoi l’hôtel a été fermé et les employés arrêtés? En tout ce qu’on retient ici, les relations entre ces deux pays ne sont pas au beau fixe depuis longtemps à cause du contentieux territorial de Mayotte. À suivre, Mbadakome s’engage à aller jusqu’au bout pour faire la lumière sur cette affaire».

     Voilà des questions auxquelles il aurait été sage d’apporter des réponses appropriées aux Comoriens. Mais, il n’est pas certain que les Comoriens auront les réponses qu’ils attendent quand on connaît l’obsession maladive, pathologique et pavlovienne du fugitif international Hamada Madi Boléro pour les complots, lui qui les invente uniquement pour se rendre «utile», n’hésitant pas à demander à un complice de l’appeler quand il sera avec des gogos à une heure bien précise, pour dire après, même s’il est dans une zone sans couverture du réseau de téléphone portable: «Là, c’était le Président d’Ukraine qui vient de m’appeler pour me dire que nous sommes visés par un coup d’État. Nous nous connaissons depuis que nous étions ensemble à l’Université de Kiev, en Ukraine». Naturellement, les gogos disent entre eux: «Il est très fort, le mec. Il connaît du beau linge à l’étranger».

     Il a construit tout un système d’enfumage sur des salades pareilles, et malheur à ceux qui ont la faiblesse de le prendre au sérieux! Et c’est ainsi que les bonnes âmes ont fini par le surnommer Makridine, «le religieux de la magouille», abondant dans le sens des jeunes de Djoiezi qui, en mai 2014, avaient écrit ceci sur lui, sur le tract historique «Kala Wa Dala»: «Boléro, Directeur de Cabinet à la Défense, surnommé Dracula. C’est un fantôme, un caméléon, un escroc, un menteur. Il n’a pas d’identité fixe, il change en fonction du pouvoir. Ses alliés (Moishikundi wayi conteneri ya banatacha) Le petit groupuscule qui se réunit devant le conteneur du père de Natacha» (Youssoufa Madi, de Djoiezi)] ne le soutiennent plus, ils le haïssent. Ce Monsieur n’est ni un Mohélien, ni un Grand-Comorien vu ses mentalités (moyenne: 0,5/20. Mention: Traître». Bon courage…

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mardi 9 août 2016.


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One Comment

  • Ali

    août 10, 2016 at 5:01

    Je sais pas si Bolero pratique le scénario du ” coup de fil” venant de l’étranger. Ce qui est sûr c’est le président de la FCC qui a inventé le “numéro” pour se faire valoir devant le président Djohar.
    ————-
    Bonjour, frère,
    Vous oubliez un détail: le premier homme qui a recruté le fugitif international Hamada Madi Boléro est Mohamed Saïd Abdallah Mchangama, le prétendu Président de la prétendue Fédération comorienne des Consommateurs (FCC). Cherchez l’erreur!
    Cordialement,
    ARM

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