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Les «Taliban» des Comores pires que ceux d’Afghanistan

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Les «Taliban» des Comores pires que ceux d’Afghanistan

D’un transfert de caricature, ils ont fait un scandale universel

Par ARM

       Je suis celui qui souhaite le plus le renversement du dictateur Assoumani Azali Boinaheri. Or, même si je répugne à l’admettre, je reconnais que celui-ci vaut mieux que certains de ceux qui disent le combattre. Malgré ses moyens très importants, on ne l’a jamais vu faire faire des captures d’écran des échanges entre ses détracteurs, adversaires et ennemis pour dire qu’Untel a envoyé une caricature, une image ou une vidéo à Untel. Jamais! La dictature de Mitsoudjé assassine, a tué tous les droits et toutes les libertés, fait exiler, emprisonne des innocents, mais n’a jamais chargé Msa Ali Djamal et autres larbins de suivre des fils d’actualité sur les réseaux sociaux pour savoir qui a transféré quoi à qui sur ces réseaux. Faire des captures d’écran pour dire que Maître Fahmi Saïd Ibrahim a transféré une caricature qui fait rire les Comoriens en ceci qu’elle représente en «Taliban» les ministres chassés du «gouvernement» porte un nom: basse police. Ce sont les aigris qui font cela.

Maître Fahmi Saïd Ibrahim a reçu et transféré cette caricature à certaines de ses relations, pour rire. Mais, comme il me l’a envoyée, le chef des «Taliban» d’Ibrahim Ali Mzimba en fait un drame international, un génocide, un crime contre l’humanité. Le but d’Ibrahim Ali Mzimba, qui paie des plumitifs et des scribouillards, est de tenter de salir Maître Fahmi Saïd Ibrahim, pendant que celui-ci l’ignore avec mépris. Je ne m’attarde jamais sur ceux qui, en échange de l’argent sale d’Ibrahim Ali Mzimba, calomnient et essaient de salir autrui.

Le berger Djaé Ahamada Chanfi sait de quoi je parle. Alors qu’il était Vice-président de l’Assemblée, il avait demandé à un ami commun de me dire qu’il allait m’offrir un billet aller-retour entre Paris et Hahaya si j’acceptais de calomnier Youssouf Boina et de me transformer en thuriféraire et griot pour écrire un article dithyrambique, élogieux, panégyrique, aux superlatifs les plus laudatifs à sa gloire. Depuis, je lui voue mon mépris le plus profond.

Les écrivains publics, les crieurs de rues, les aboyeurs et les autres mercenaires d’Ibrahim Ali Mzimba perdent leur crédibilité les uns après les autres parce qu’ils sont payés pour défendre ce filou qui vit avec les photocopies des diplômes de son neveu de mère marocaine, ce filou qui fabrique et vend de faux papiers «français» en volant de femmes qu’il oblige à vendre leurs biens et à s’enfoncer dans le surendettement. Début 2020, le chef des «Taliban» d’Ibrahim Ali Mzimba m’apprenait qu’il était allé aux Comores et y avait vu mon frère aîné Mohamed Nassur, qui le considérait comme un petit frère, qu’ensemble, ils avaient parlé de moi. Mon frère Mohamed Nassur est mort en 2020, des suites d’une longue maladie. Pour m’intimider, le chef des «Taliban», qu’il traitait en petit frère, a l’indécence de m’attribuer le prénom de mon frère mort, et cela, pour l’argent sale de l’escroc Ibrahim Ali Mzimba.

Je reçois des centaines d’images, vidéos, enregistrements audio, documents officiels (…) par jour. Refusant le sectarisme, l’intolérance et le fanatisme, je base mes relations avec mes semblables non pas sur leurs idées et affinités politiques, mais sur leur fond et leur intégrité. J’ai des relations avec des collaborateurs du dictateur Assoumani Azali Boinaheri. Travailler au sein de la dictature n’est pas un label d’infamie. Être dans l’opposition n’est pas un label de respectabilité et d’honorabilité. D’ailleurs, certains «opposants» sont pires que le dictateur qu’ils disent combattre. Votre site préféré dénonce souvent certains «opposants» tout en disant qu’Ahmed Ali Amir, que je n’ai rencontré qu’une seule fois de ma vie, le 9 janvier 2016, bien qu’il travaille à Bête-Salam, est plus honorable que la plupart des «opposants».

Je ne suis jamais le fil de l’actualité sur Internet. Quand il y a quelque chose d’utile, on me le signale. Le chef des «Taliban» d’Ibrahim Ali Mzimba doit savoir que Maître Fahmi Saïd Ibrahim n’est pas mon informateur. C’est moi qui l’informe. Je suis disposé à en étaler les preuves devant un huissier de Justice. En plus, je ne me rabaisse jamais à chercher à savoir qui correspond avec qui sur Internet et à faire des captures d’écran sur les transferts de caricatures. Transférer une caricature n’est pas un échange d’informations stratégiques. En plus, c’est une affaire qui relève de la sphère privée et de l’intime.

Un dernier détail. Je suis en contact avec Maître Fahmi Saïd Ibrahim alors qu’il était ministre entre mai 2016 et juin 2017, dans un gouvernement que je critiquais. Je n’ai pas à solliciter des autorisations pour cela. Je n’ai pas à en avoir honte. Je n’en ai pas honte. Bien au contraire, je suis fier d’échanger des idées avec un frère auprès de qui j’apprends chaque jour, même si cela dérange les fanatiques haineux et zélés payés pour haïr. Le faussaire Ibrahim Ali Mzimba et ses mercenaires ne m’imposeront jamais mes relations et ne vont jamais m’intimider. Ils prouvent qu’ils sont aux abois en se servant du transfert de caricature.

Par ARM

Le copier-coller a définitivement tué la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Lundi 30 août 2021.


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