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Larmes de crocodile et fautes de français de Larifou

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Larmes de crocodile et fautes de français de Larifou

Saïd Larifou tance son maître Azali du bout des lèvres

Par ARM

       «Le style, c’est l’homme», dixit le savant Georges-Louis Leclerc Buffon (1707-1788). Cela est ignoré par Saïd Larifou dit «L’Art-Fou», avocat déchu des 3 continents, 3 océans et 3 mers, «ministre des Tas aux Affaires étrangères de la Seconde République de Kalakuta, de Tonton Moustoifa Saïd Cheikh». Le style de Saïd Larifou en traitement de texte est très reconnaissable. L’homme RIDJA colle le point marquant la fin de la phrase non pas au dernier mot de cette phrase, mais au premier mot de la phrase d’après. L’homme Larifou a aussi la désagréable habitude de coller la virgule non au mot qui la précède, mais à celui qui la suit. C’est un Titanic grammatical. Après avoir écrit un communiqué prétendument pour condamner son maître, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri, et sa famille de voleurs dans le scandale de Pandora Papers, l’homme RIDJA s’est noyé dans un océan de fautes de français, et attribue son torchon à «Me Maître Mzé Mchinda, Secrétaire Général du RIDJA».

Depuis des années, personne ne parlait du RIDJA, parti politique mort-né de connivence politicienne et de mendicité politique. Quand cette chose ridicule réapparut, c’est pour faire un service minimal dans la dénonciation des détournements de l’argent public par son chef dictatorial pour son placement criminel à l’étranger. L’homme RIDJA fit comme d’habitude, en se tuant dans ses fautes de français. Exagération de notre part? Que nenni! Que nenni!

Il écrit «Pandora Papers ,dans la continuité» et non «Pandora Papers, dans la continuité», «Ainsi nous découvrons» et non «Ainsi, découvrons-nous» («Ainsi» et «Aussi» en début de phrase sont suivis d’une inversion de sujet), «Dubaï ,paradis» au lieu de «Dubaï, paradis», «Azali Assoumani , conseiller privé» et non «Azali Assoumani, conseiller privé», «ces pratiques dont tout le monde sait que ces montages» et non «ces pratiques dont tout le monde sait que LES montages», «Aussi ,le RIDJA» et non «Aussi, le RIDJA», «Aussi ,le RIDJA demande» et non «Aussi, le RIDJA demande-t-il», «Cette pratique , aux antipodes» au lieu de «Cette pratique, aux antipodes», «dés intérêts de notre pays» au lieu de «dÈs».

Ce n’est pas bien de la part de l’homme RIDJA. Ce n’est pas bien du tout.

Saïd Larifou et son chef, le dictateur Assoumani Azali

Saïd Larifou est très mal placé pour dire ce qui est convenable et ce qui ne l’est pas quand il s’agit du dictateur Assoumani Azali Boinaheri et sa famille. Il y a encore quelques mois, il reconnaissait de la «légitimité» à tous les maux que ce tyran et usurpateur inflige sans pitié au peuple comorien. Il a dirigé les «Assises “nationalesˮ» dont se servit son maître dictatorial pour détruire l’architecture juridique, constitutionnelle et institutionnelle du pays. Il accorda de la «légitimité» au satrape quand il a tué la Cour constitutionnelle et sa Justice, quand il a imposé dans le sang et dans le deuil sa «non-Constitution de la main coupée et de la mort», quand il destitua anticonstitutionnellement le Gouverneur Salami Abdou Salami d’Anjouan, un élu. Saïd Larifou, pendant des années, s’était acharné haineusement et mensongèrement sur le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, inventant plaintes sur plaintes contre lui, dans l’unique but de briser la vie et le destin d’un innocent. Quand la folle Ambari Darouèche, aux airs d’une droguée insultait le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, Saïd Larifou et le félon ingrat Ahmed Ben Saïd Jaffar riaient comme des grenouilles.

Saïd Larifou avait été «l’avocat du gouvernement comorien» et s’était livré à toutes les vilénies et bassesses, demandant la peine de mort contre deux jeunes Mohéliens qui avaient signalé la présence de clous sur la piste de «l’aéroport» de l’île, accusant les Mohéliens d’«attentat et de terrorisme». Qu’il balaie donc devant sa propre porte avant de parler des saletés devant la porte des autres! Qu’il ne récupère pas le scandale Pandora Papers!

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Vendredi 8 octobre 2021.


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