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Kiki caporalise et humilie la minable Justice comorienne

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Kiki caporalise et humilie la minable Justice comorienne

Avec ses chefs, il a fait de Moussa Mahoma un faire-valoir

Par ARM

     Officiellement, Moussa Mahoma est ministre de la Justice. Officiellement et officiellement seulement, parce que la réalité se situe aux antipodes de ses prétentions gouvernementales. Du coup, celui qui est considéré comme un simple «Caporal mohélien de garde» destiné à amuser le tapis et la galerie broie du noir et a les blues. Le problème de Moussa Mahoma, c’est qu’à force d’entendre les solliciteurs du soir l’appeler «Monsieur le ministre», il a fini par croire qu’il était réellement ministre. Aujourd’hui, il n’est que l’ombre de lui-même. Il se sent isolé. Il est frustré. Il ne s’aime plus. Il a honte devant les gens.

Ce qui se passe est très grave. Le pauvre chéri! Le pauvre doudou! Moussa Mahoma est d’autant plus renfrogné en ce moment qu’il constate avec amertume et désespoir que c’est Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, qui gère directement la Justice de la République, aujourd’hui devenue la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé. Mais, que se passe-t-il encore? Une chose horrible, mais qui correspond parfaitement à la philosophie politique générale de la «Ripoux-blique» de Mistoudjé. En effet, Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, donne directement des ordres au Procureur de la République, qui est un grand militant de la Confrérie des Renégats et des Criminels (CRC), «le parti au pouvoir» par la fraude et le dol.

C’est dans ce contexte que Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, a fait venir dans son bureau, ce mardi 9 janvier 2018, à midi, Mme Maoulida Djoubeire, Directrice des Affaires judiciaires «made in Mitsoudjé», pour lui donner des ordres de poursuite à connotation politicienne. Une liste de personnes à poursuivre a été remise par Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, à la Directrice des Affaires judiciaires que certains magistrats traitent de «petite gamine». Il est, dans cette ambiance, tout à fait normal que Moussa Mahoma se sente humilié. Et, il l’est.

Il faut noter que Mme Maoulida Djoubeire, sûre de son «bon» droit, dans la mesure où elle est de Mitsoudjé, méprise totalement son chef, Moussa Mahoma, supposé être le ministre de la Justice. Le Tout-Moroni sait que le courant ne passe pas entre le ministre de la Justice Moussa Mahoma et sa Directrice des Affaires judiciaires, Mme Maoulida Djoubeire, de Mitsoudjé. Cette dernière traite directement les affaires politico-judiciaires avec le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», le mercenaire Nourdine Abodo dit «le serpent à lunettes», et Kiki, l’ancien docker de Dunkerque. Il va y avoir des arrestations politiques dans les heures et jours à venir. Bien évidemment, le danseur de ventre Saïd Larifou, avocat radié en France, qui se recycle aux Comores, où il compte vainement se refaire une virginité politique en se reconvertissant dans la mendicité politique, va approuver ces arrestations. Il est méprisable, haïssable et détestable. Il a touché le fond.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 10 janvier 2018.


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