Kagamé injurie Azali, le Président de l’Union africaine
Lettre d’injures du dictateur tutsi au dictateur de Mitsoudjé
Par ARM
Alors que le dictateur tutsi Paul Kagamé du Rwanda avait dépêché aux Comores une délégation ministérielle bidon, prétendument pour conclure des accords de coopération (en quoi, s’il-vous-plaît?) avec la dictature familiale de Mitsoudjé, sa vraie motivation était de donner au dictateur Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», l’ordre de ne pas condamner «son» pays, agresseur et pilleur de la République démocratique du Congo (RDC), en devenant le semblant de Président de l’Union africaine. L’esclave fait ce que son maître lui demande de faire, mais l’a déçu. Le dictateur tutsi Paul Kagamé du Rwanda n’est pas content parce que son esclave est trop inexpérimenté, ignorant et inculte. Il a commis des fautes graves qui lui ont valu une lettre d’injures et d’humiliations envoyée par le dictateur tutsi Paul Kagamé du Rwanda à tous les pays membres de l’Union africaine, lettre adressée au chien enragé de Mitsoudjé. C’est une humiliation par l’injure.
C’est très grave. On lit sur cette lettre du 3 mars 2023 des choses que le dictateur tutsi Paul Kagamé du Rwanda, qui n’a rien d’un intellectuel, encore moins d’un dirigeant compétent et efficace, n’aurait jamais osé reprocher à un vrai chef d’État. Il fait au chien enragé de Mitsoudjé le déshonneur d’un cours magistral sur le fonctionnement de l’Union africaine, alors que sa propre présidence de l’organisation panafricaine et de son pays (interdire les sacs en plastique à Kigali ne fait pas de lui le champion de la bonne gouvernance, et on ne voit pas ce que le remplacement du français par l’anglais à apporté au Rwanda!) est une longue suite de désastres maquillés en succès: «Premièrement, la Conférence est un organe des chefs d’État et de gouvernement qui traite des priorités stratégiques. Les dirigeants mandatés pour présenter des rapports d’actualité ne sont pas chronométrés. Pourtant, le Président de la République de Sierra Leone a été empêché à deux reprises de présenter efficacement ses deux rapports, ce qui a suscité une vive consternation. Plus tard, alors qu’il présentait une importante mise ù jour, le Président de la République du Ghana a été interrompu à deux reprises et n’a finalement pas pu terminer sa présentation». Autrement dit, le dictateur de Mitsoudjé est accusé d’être un incompétent fini et irrécupérable.
Le dictateur Paul Kagamé continue ses injures et insultes sur le dictateur de Mitsoudjé: «Deuxièmement, aucun débat n’a été autorisé sur la nomination du Directeur général du CDC Afrique, alors que trois États membres avaient demandé la parole. C’était le seul point à l’ordre du jour sur lequel le débat a été interdit. De plus, le rapport remis par le Conseiller juridique sur les délibérations du Comité des chefs d’État et de gouvernement sur la CDC Afrique n’a donné aucune explication sur les raisons pour lesquelles le candidat classé premier, une femme, n’a pas été sélectionné». L’accuse-t-il de corruption? Qu’il le dise!
Le tyran de Kigali insulte de nouveau le tyran de Mitsoudjé: «Plus troublant encore, à part vous-même, aucun chef d’État ou de gouvernement n’a pris part à la réunion du Comité, et les représentants des chefs d’État étaient pour la plupart de niveau inférieur à celui des ministres». Autrement dit, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri est accusé par le dictateur tutsi Paul Kagamé de s’être caporalisé lui-même auprès de caporaux de ses pairs dictateurs.
Le dictateur tutsi Paul Kagamé poursuit sa litanie d’injures: «Je souhaite également vous informer que le Rwanda a été exclu de la participation au 22ème Sommet ordinaire de la CEEAC, qui s’est tenu le 25 février 2023 à Kinshasa, en RDC, sur instruction du pays hôte. Ceci s’est produit malgré la confirmation écrite de la Commission […] du 14 janvier 2023, que le Rwanda, un État membre à part entière de la CEEAC, serait autorisé à participer virtuellement. Des explications ont été demandées sur cette violation inacceptable du traité de la CEEAC».
La conclusion de la lettre du dictateur tutsi Paul Kagamé au dictateur de Mitsoudjé constitue également une accusation d’incompétence par un cours magistral: «Les institutions africaines ne seront pas prises au sérieux par nos citoyens ou nos partenaires si nous permettons que nos affaires soient traitées de cette manière». En d’autres termes, le dictateur tutsi Paul Kagamé, qui n’est pas connu pour être un chercheur de l’Université, mais un tyran qui ne connaît que la violence et la discrimination ethnique et politique, dit au dictateur Assoumani Azali Boinaheri: «Finalement, on ne peut pas te faire confiance, parce que tu es un inculte, un analphabète et un ignorant inexpérimenté».
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Dimanche 19 mars 2023.
