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L’hérétique politisation de la mosquée à Nkourani Sima

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L’hérétique politisation de la mosquée à Nkourani Sima

Un imam fou y fait la propagande électorale du tyran Azali

Par ARM

      Le corruption par politisation de l’Islam en Grande-Comore va très loin. Comment peut-on expliquer aux Anjouanais et aux Mohéliens que le Mufti des Comores est toujours un Grand-Comorien de la région d’Itsandra Hamanvou et que tous ses collaborateurs sont aussi Grands-Comoriens? Est-ce à dire que les Mohéliens et les Anjouanais sont des mécréants et des ignorants en Islam? Si tel est le cas, que les Grand-Comoriens le disent clairement, haut et fort pour que la chose soit claire dans les esprits. Les écarts de comportement et de langage des hiérarques et apparatchiks du «Politburo de “l’Islam”» de Grande-Comore font chier les Mohéliens et les Anjouanais. Fin janvier 2013, c’est le Grand-Comorien Saïd Abdallah Rifki, secrétaire général du Mufti, qui est pris la main dans le sac dans une affaire de corruption et de trafic d’alcool! Le bandit atterrira en prison pour quelques jours, et, à sa sortie, se passant de toute discrétion, tout son village de Gnadombouéni Hamahamet l’attendait à la sortie de prison dès 4 heures du matin pour orner son cou de voleur de poules de colliers de jasmin de Tunisie, comme s’il revenait du pèlerinage des Lieux Saints de l’Islam. Le bandit! Le fou maudit!

       Aboubacar Saïd Abdillah Djamalillaïl, le Mufti sénile actuel, remplaçant Son Éminence le Cardinal honni Saïd Toihir Saïd Maoulana, ne sachant que faire pour plaire au dictateur Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», s’était mis à calomnier et à injurier sans raison l’innocent Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi dans des accusations faites d’enfantillages et de gamineries. C’est quand même honteux.

       Et voilà que ce vendredi 17 mars 2023, à la grande mosquée de Nkourani Sima, en Grande-Comore, un imam défroqué et soudoyé par Bellou Magochi, le fou maudit chargé de la Défense, se lance dans des approximations hasardeuses et stupides pour dire que l’élection dictatoriale qui n’aura pas lieu d’être en 2024 n’a pas de raison d’être parce que l’Afrique a voté pour les Comoriens, en désignant le chien enragé de Mitsoudjé pour la présider: «Il n’y a pas que le Coran; il y a aussi le pouvoir politique. L’homme qu’il nous faut, c’est toi. Il n’y aura pas d’élections. En 2024, nous n’aurons pas d’élections. Les élections ont eu lieu à Addis-Abeba. Elles ont eu lieu à Addis-Abeba et sont terminées. Il ne faut pas se faire des illusions. Que celui qui a de l’argent pour l’offrir aux gens à des fins électorales vienne me l’offrir car je suis pauvre. Il ne faut pas consacrer cet argent à des élections car les élections ont déjà eu lieu. Nous avons entendu et vu ce que tu as fait. Les élections sont terminées. Nous devrons attendre 2030. Le n°1 m’a dit: “Quelque part peut-être au XXIème siècle”. Un jour, je discutais avec lui, et il me l’a dit. Ambari Darouèche m’a dit: “Quelque part peut-être au XXIème siècle”.

       Monsieur le Président de la République des Comores, Dieu t’a choisi pour devenir le Président des 54 pays d’Afrique». Dès lors, les Mohéliens et les Anjouanais veulent savoir si vraiment la mosquée a pour vocation de se transformer en lieu de propagande, surtout en faveur d’un assassin doublé d’un voleur. Pourquoi salir une mosquée d’une façon aussi dégueulasse? Par cette saleté ignominieuse, la Grande-Comore a nié Dieu et l’Islam. La mosquée, maison de Dieu, est devenue un lieu sale où un tyran fait sa propagande à des fins bassement politiciennes, en sa présence et en celle bien visible et riante de l’idiot de village Mohamed Saïd Fazul, le semblant de Gouverneur de Mohéli. Celui-là finira très mal aussi, comme son chef.

       Grands-Comoriens, le moment venu, les Anjouanais et les Mohéliens vous rappelleront l’acte ignoble et ignominieux que vous avez posé à Nkourani Sima. L’absence de condamnation de cette hérésie correspond à de la complicité de votre part. Vous autres Grands-Comoriens avez l’habitude de dire de la plus belle des façons: «La misère ne tue ni la coutume, ni les belles manières». C’est bien à la Grande-Comore qu’a été consacré un livre sur «Le pouvoir de l’honneur», alors qu’à la mosquée de Nkourani Sima, on a assisté au «Pouvoir du déshonneur et de l’inélégance»: Sultan Chouzour: Le pouvoir de l’honneur. Tradition et contestation en Grande-Comore, L’Harmattan, Collection «Archipel des Comores», Paris, 1994 (284 p.).

       Quand «Le pouvoir de l’honneur» était encore en vigueur en Grande-Comore, les mendiants lâches, sans personnalité, ni dignité de la mosquée de Nkourani Sima auraient été bannis…

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 20 mars 2023.


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