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Jean-Marc Heintz détruit toujours, ne construit jamais

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Jean-Marc Heintz détruit toujours, ne construit jamais

Il est le destructeur en chef de l’aviation civile des Comores

Par ARM

       Le 15 décembre 1989, Robert «Bob» Denard et ses mercenaires quittaient les Comores. Dans la nuit du 26 au 27 novembre 1989, ils avaient torturé, mutilé et assassiné dans une sauvagerie barbare le Président Ahmed Abdallah Abderemane. Entre les 2 dates, ils avaient pris les Comores en otage, comme ils le faisaient d’ailleurs depuis leur coup d’État, d’abord libérateur, du 13 mai 1978. Quand ces assassins ont quitté les Comores, les Comoriens avaient eu la faiblesse de croire à la fin des «Sultans Blancs» portant boubou et coiffure traditionnelle, et se mariant avec des Comoriennes pour mieux dominer les Comoriens. Or, les «Sultans Blancs» allaient continuer à piller les Comores et à affamer les Comoriens. En la matière, le Proconsul qui a le mieux «réussi» est sans nul doute «Jean-Marc», Jean-Marc Heintz, «Jean-Marc» l’incompétent malsain, «Jean-Marc» le corrompu indécent, «Jean-Marc» le corrupteur irascible et impénitent au pays des Bantous, dans Tintin au Congo.

Jean-Marc Heintz, «le bon Jean-Marc», est le cœur palpitant, le cerveau, le bras armé et le Grand Manitou de toutes les magouilles et manipulations touchant l’aviation civile aux Comores. Il «a raison» parce que, lui-même, est le symbole vivant de l’échec en matière d’avions et d’aviation civile. Du fait de son incompétence malsaine, sa compagnie aérienne Comores Aviation a coulé et s’est transformée en un tas de ruines fumantes. Du fait de son incurie indécente, sa compagnie aérienne Air Ylang a coulé et s’est transformée en un tas de ruines fumantes. Du fait de son goût morbide pour les magouilles les plus dégueulasses, il a subtilisé 250.000 euros à des Sud-Africains, qui aimeraient bien récupérer leurs biscuits.

Déjà, en 2008, il vivait de corruption infecte et d’incompétence malséante, se mêlant de tout ce qui ne le regarde pas, se voulant indispensable. Oui, en 2008, à l’aéroport d’Ouani, Anjouan, il était parti avec son Let 410, sans autorisation, ni plan de vol, et des années plus tard, il allait être nommé Garant de la sécurité aérienne aux Comores, sur ordre du dictateur et «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri Ben Tartuffe dit Bakapihi, «Le père qui ne prépare jamais à manger». Un certain 21 mars 2008, à 5 heures 30 heures du matin, quelques jours avant le débarquement militaire du 25 mars 2008 à Anjouan, il était parti récupérer les 2 gendarmes et le pilote qui avaient crashé dans la baie de Sima, avec son hélicoptère venu de Mayotte, mais c’était pour espionner les mouvements militaires avant le débarquement devant déloger la dictature de village du tortionnaire et assassin Mohamed Bacar, le fou furieux.

Le dictateur et «pouvoiriste» Assoumani Azali Boinaheri Ben Tartuffe n’a cessé de récompenser son «ami», qu’il se partage avec sa première épouse, la dictatrice Ambari Darouèche. Les deux crotales lui ont confié la névralgique régulation du transport aérien, et il contrôle, surveille, et met en coupe réglée la dictature familiale de Mitsoudjé.

Vivant dans une «Ripoux-bliquette» bananière, il ne respecte aucune règle. Rien! Rien! Il est toujours «disponible» pour servir «le bon payeur», allant jusqu’à aider à violer l’espace aérien national, avant d’être en mission pour nettoyer le ciel comorien de toute compagnie comorienne afin de créer le vide sur l’espace aérien national, croyant ainsi ressusciter sur le plan financier. Il est un des auteurs du passif de la prétendue indépendance des Comores.

Le 27 août 2017, il était devenu un assassin aux côtés du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri Ben Tartuffe: les deux complices ont, à cette date, causé la mort et le deuil par une interdiction des compagnies aériennes: ils avaient poussé les gens à embarquer dans des cercueils navigants et à mourir entre la Grande-Comore et Mohéli.

Jean-Marc Heintz, qui avait été incapable de gérer sa propre compagnie aérienne, avait été nommé Directeur général de l’Agence nationale de l’Aviation civile et de la Météorologie (ANACM). Insistons: «Jean-Marc» est un incompétent qui avait été incapable de sauver sa propre compagnie, mais avait été nommé par le couple dictatorial de Mitsoudjé à un poste de dictateur colonial. Il nargue et méprise les Comores, où il ne veut pas de compagnie aérienne. Il a même bénéficié d’un poste de super Conseiller auprès de son esclave bantou de Mitsoudjé: il est chargé des Affaires aéronautiques à Bête-Salamalecs pour parachever sa mission criminelle d’élimination des compagnies aériennes comoriennes.

Après son échec sur les airs, il avait été promu sur terre pour la surfacturation criminelle de différents projets d’enrichissement illégal au profit de la dictature de Mitsoudjé. C’est ainsi que les Comoriens, médusés et dégoûtés, l’avaient vu dans l’impossible résurrection de la défunte MAMWÉ, la Compagnie d’Eau et Électricité. En fait de résurrection, il avait touché le jackpot. En effet, en 2017, la prétendue nouvelle centrale thermique de Voidjou, inaugurée en grande pompe par la dictature de Mitsoudjé, avait prétendument coûté 7 milliards de francs comoriens (14 millions d’euros), pour un coût réel de 1,5 million d’euros. Les 9 moteurs d’occasion achetés par «Jean-Marc» avaient été repeints en jaune pour paraître neufs: ils ont tous explosé, pendant que «Jean-Marc» admire encore sur Internet tout l’argent qu’il avait encaissé chez les Bantous, après le partage avec le couple dictatorial, Bellou Magochi, Idaroussi Hamadi dit «Tonton-m’a-dit» et «le Vice-président» Djaffar Ahmed Saïd Hassani.

Aujourd’hui, «Jean-Marc» est plus que jamais le propriétaire des Comores, où, comme il ne veut et ne peut rien construire, détruit tout par incompétence, corruption et sabotage. Décidemment, «l’émergence à l’horizon 2030» passe par d’étranges voies. Aujourd’hui, comme hier, «Jean-Marc» fait passer ses intérêts avant ceux de la communauté nationale.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Samedi 16 juillet 2022.


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