Hamada Madi Boléro médit sur Fahmi Saïd Ibrahim
Il l’accuse de n’avoir pas été élu Député en février 2015
Par ARM
Quelle mouche a encore piqué le fugitif international Hamada Madi Boléro? Il est comme devenu fou à lier depuis qu’il a lu sur ce site la petite information suivante: «Bahassane Blabla avait déjà été candidat en 2015, et ce fut tintin. Oui, il avait fait chou blanc. Fahmi Saïd Ibrahim lui avait fait manger du sable, des cailloux et du gravier». Depuis qu’il a lu ça, il a appelé ses «amis» les plus proches pour médire comme une vieille mégère: «ARM ne connaît pas la vérité sur les élections législatives de 2015. Fahmi Saïd Ibrahim n’avait pas été élu. Il avait été éliminé. Ikililou Dhoinine et son épouse étaient fous de joie. Mais, moi, je ne pouvais me réjouir parce que si mon ancien avocat avait éliminé, la ville et la région d’Itsandra auraient été à feu et à sang. Pour éviter une guerre civile, j’ai dû exercer des pressions sur Loutfi Adinane, Président de la Cour constitutionnelle, pour le faire élire artificiellement, par la fraude, au nom de la raison d’État. Alors, il ne faut pas prendre ARM au sérieux quand il attribue à Fahmi Saïd Ibrahim la victoire lors des élections législatives de 2015. Il écrit n’importe quoi, celui-là, d’ailleurs».
L’amie qui rapporte l’entretien téléphonique ajoute, perfide et coquine: «Il faut le comprendre, le pauvre. Ton fugitif n’aime personne. Au fond de lui-même et par sa misanthropie, il se déteste lui-même mais ne le sait pas. Il haït en particulier deux catégories de personnes: celles qui disent qu’il n’est pas Mohélien ou qu’il est un Mohélien de circonstance, selon ses intérêts du moment, et celles qui rappellent qu’il n’a jamais été élu lors d’un scrutin. Or, Maître Fahmi Saïd Ibrahim est allé se répandre en sarcasmes colériques à Marseille en janvier 2016 sur son statut de pestiféré électoral, et cela devant une foule qui buvait du petit-lait au moment du speech enflammé. Connaissant l’homme comme je le connais, je te garantis qu’à la moindre occasion, il plongera ses deux mains dans sa poitrine et lui arrachera le cœur, mais aurait voulu arracher le tien d’abord avant d’aller verser des larmes de crocodile lors de ton enterrement». Charmant et émouvant! Quelle grandeur d’âme!
Soyons bonnes filles et rappelons les propos qu’avait tenus Fahmi Saïd Ibrahim contre le fugitif international Hamada Madi Boléro lors de son meeting du dimanche 17 janvier 2016 à Marseille: «Honorables personnalités, je vous dirai en conclusion, pour ne pas trop m’étaler, que dans la perspective des élections à venir, il y a des gens qui veulent nous plonger dans la panique. Ils veulent nous plonger dans la panique mais, peut-être, ne nous connaissent-ils pas. Ils ne savent pas que nous ne sommes pas des gens à qui on peut faire peur.
On m’a appelé au téléphone et on m’a dit qu’il y a une certaine personne qui n’a jamais été élue, qui n’a jamais bénéficié de la confiance des Comoriens, mais qui aime régner. Elle a l’appétit du pouvoir, mais elle n’a jamais bénéficié de la confiance des Comoriens. Il paraît qu’elle a fait une réunion avant-hier, en plus, à la Présidence de la République où elle est. Cette personne s’appelle Boléro. Je ne l’ai jamais évoqué, et c’est la première fois que je l’évoque. Il paraît que Boléro a fait une réunion et a rassemblé des gens du pouvoir et des gens qui, paraît-il, ont de la puissance. Il leur a dit: “Faites ce qu’il y a lieu de faire, mais Fahmi ne doit pas être parmi les trois. Fraudez, faites ce qu’il faut faire, mais il ne doit pas être parmi les trois”.
Je veux parler au frère Boléro. Je te parle devant un public. Je n’ai jamais parlé de toi, mais je te dis de faire attention. Fais attention. Fais attention, Boléro. Cette fois-ci, ça va mourir à Sankoulé, mais tu ne vas pas plus régner sur notre pays. Nous te disons: ça va mourir à Sankoulé. Moi, je suis le descendant de Moilim Mchandzé. Moi, je suis le descendant d’Al-Habibi. Moi, je suis le fils de Saïd Ibrahim. Nous te mettons en garde. Nous allons nous bagarrer contre toi, cher Boléro. Boléro, tu as joué avec ce pays pendant de nombreuses années. Boléro, tu as fait des dégâts pendant de nombreuses années. Boléro, tu te fais menaçant depuis de nombreuses années. Mais, nous te prévenons que nous ne sommes pas des lavettes. Nous te prévenons que si tu provoques du désordre, toi, Ikililou Dhoinine et les autres responsables, vous assumerez les conséquences de ce qui se passera dans notre pays».
Voilà les faits. Oui, voilà les faits, et comme nous sommes en plein mois sacré de Ramadan, n’en disons pas plus, même si cet individu n’a jamais jeûné de sa vie, et la chose ne date pas d’hier. En effet, quand nous étions au collège et au lycée, il mangeait à midi les restes de la nourriture de la veille et fumait ses cigarettes Gauloises, dont il couvrait l’odeur très forte par des spirales de lutte contre les moustiques. Un bon Musulman, en définitive. Oui, par respect pour la sacralité du mois du Ramadan, ne daubons pas et ne médisons pas comme lui. Le moment venu, bonne rupture du jeûne à tous et à toutes.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 9 juin 2017.