Anissi baise, cache son zizi et ses testicules, et finasse
«Lèche-bottiste» n°1, ses velléités de rébellion sont nulles
Par ARM
Tatie Ambari Darouèche, première épouse chérie du dictateur Assoumani Azali Boinaheri, s’ennuie comme un rat mort depuis que le coronavirus l’empêche de faire le tour du monde aux frais de la Princesse et au bras de son dictateur infréquentable. Pour tromper l’ennui, elle se promène entre les trois îles, prétendument pour distribuer des fournitures à des enfants, qui n’en ont strictement à foutre. La première étape de «La Croisière s’amuse» a été Mohéli. Elle a été reçue à «l’Aéroport» de l’île par Dame Fatima Hamidi et son vaurien d’époux, Mohamed Saïd Fazul dit Babadi ou «Mtsouzi Poitra» («Sauce gélatineuse»), le semblant de «Gouverneur» de Mohéli. Monsieur et Madame s’étaient mis en quatre pour accueillir Tantine Ambari Ambari. Celle-ci finit son vagabondage touristique à Mohéli, et arriva à Anjouan, se demandant si le larbin Anissi Chamsidine, le «Gouverneur» usurpateur local, allait faire des pompes devant elle à l’Aéroport, pour renouveler son allégeance à la dictature.
Or, à sa grande consternation indignée, le chenapan Anissi Chamsidine, qu’elle a elle-même installé au pouvoir par la force en avril 2019, s’est payé le luxe de rester chez lui, et a juste demandé à son chaouch affublé du titre ronflant de «Secrétaire général du Gouvernorat d’Anjouan» d’accueillir la Tantine Ambari Darouèche. Il s’agit d’un acte de mépris, et s’ils le pouvaient, le Procureur Mohamed Abdou, le juge Omar Ben Ali (sa nomination est très contestée au Tribunal de Moroni), le «Bâton» Ibrahim Ali Mzimba et «l’avocat mondial et arbitre intergalactique» Aïcham Itibar auraient déclaré que le pompiste Anissi Chamsidine est dans la rébellion, prévue et réprimée par le Code pénal des Comores.
Les Comoriens ont bien compris l’attitude perfide d’Anissi Chamsidine, l’enfant de Maraharé. Il sait que s’il ne soutient pas la cause nationale sacrosainte Anjouan-2021, même en se cachant en enfer, il ne pourra pas échapper à la colère des Comoriens en général et des Anjouanais en particulier.
Il lui arrive de penser avec peur au discours patriotique et épique prononcé par Maître Mchindra Abdallah, l’un des meilleurs enfants des Comores, le premier politicien comorien ayant annoncé sa candidature à l’élection présidentielle Anjouan-2021, pour qu’il rejoigne le camp des Comoriens aimant leur pays de manière sincère. Mais, il commet une lourde erreur, en faisant des petites phrases faisant croire qu’il veut se rebeller contre la colonisation de son Maître, le criminel excommunié Assoumani Azali Boinaheri, alors qu’au même moment, il boit l’eau des slips et des chaussettes de ce dernier. Le garçon de courses Anissi Chamsidine veut manger de deux mains, et celles-ci vont être amputées. Soit il continue son «lèche-bottisme» devant son dictateur, soit il le désavoue publiquement. Sa politique d’«un pied dedans, un pied dehors», c’est du pipi de pou. Les Comoriens ont une formule pour parler des Judas comme Anissi Chamsidine: «Il veut baiser en cachant les testicules». Il veut cacher même son zizi.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 3 août 2020.
