Le Mufti aura une mort dans l’injure tel le précédent
Sa haine envers Ahmed Sambi se nourrit de mensonges
Par ARM
La mort, le mercredi 8 avril 2020, par coronavirus, de «Son Éminence» le Mufti Saïd Toihir Saïd Ahmed Maoulana (Ouf! Ouf!), incorrigible complice de l’assassin Assoumani Azali Boinaheri, a été saluée par des injures, huées, malédictions et la joie par les Comoriens. La mort de tout séide du tyran Assoumani Azali Boinaheri est applaudie dans des cérémonies de joie, mais pour Saïd Toihir Saïd Ahmed Maoulana (Au secours! Au secours!), la joie populaire a battu tous les records. On ne peut pas avoir de la pitié pour un Tartuffe qui aide et soutient un dictateur, sans jamais le dénoncer, même quand il tue, emprisonne illégalement et fait exiler des milliers de Comoriens uniquement parce qu’ils refusent de penser comme lui.
Aboubacar Saïd Abdillah, le Mufti actuel, est la copie certifiée conforme de son lugubre prédécesseur. Il mourra comme lui sous les injures. Il obéit au dictateur. C’est ainsi que, le mardi 4 août 2020, assistant à l’installation du Conseil supérieur de la Magistrature de la honte, le mendiant Aboubacar Saïd Abdillah avait cru nécessaire de se déshabiller en public par ses mensonges et sa haine contre l’ancien Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi.
Il l’accuse sans preuves d’être le complice de Bashar Kiwan dans un trafic de drogues: «Sous la présidence de feu Ahmed Abdallah, de Djohar et de ceux qui ont suivi, il y avait un budget et des personnels spécialisés de l’Armée qui luttaient contre la drogue, en surveillant les navires et les vedettes du trafic de la drogue. C’est Sambi qui a mis fin à cela parce qu’il voulait que Bashar fasse introduire la drogue ici. Il est l’ennemi de notre pays. C’est lui qui a permis cela. […]. Vous savez que Bashar est un homme qui prenait l’avion depuis le Liban, tout seul, lui tout seul, chaque semaine, avec la drogue, qu’il faisait venir ici pour, ensuite, la faire expédier en France».
Haïr Ahmed Abdallah Mohamed Sambi jusqu’à le traiter de trafiquant de drogue est une abjection. Aboubacar Saïd Abdillah accuse Ahmed Abdallah Mohamed Sambi parce que son maître, le tyran Assoumani Azali Boinaheri, le lui a demandé. Mais, comme il est un idiot haineux, il n’a même pas pensé que la France pourrait demander à l’interroger sur la prétendue entrée de la drogue sur son sol à partir des Comores. Or, elle n’a jamais saisi de la drogue venant des Comores, et le Liban est à 2 heures d’avion de la France, contre 10 heures pour les Comores. Et si ce trafic existait, il n’aurait jamais échappé à l’extrême vigilance de la France. Et puis, Aboubacar Saïd Abdillah dispose de quel rapport de Police pour accuser?
Pis, si Ahmed Abdallah Mohamed Sambi et Bashar Kiwan avaient trafiqué de la drogue, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri aurait-il jeté l’ancien Président en résidence surveillée pour «troubles à l’ordre public», à la suite de son acclamation par 5.000 personnes devant la Mosquée Al-Qasm de Moroni, ou l’aurait-il détruit définitivement par une accusation assortie de preuves sur un trafic de drogue? On a honte quand applaudissent haineusement les mendiants et pique-assiettes le Mufti débile débitant son discours de mensonges et de haine.
C’est déjà honteux d’emmurer Ahmed Abdallah Mohamed Sambi pour des accusations sans preuves sur la «citoyenneté économique», et aujourd’hui on l’accuse de trafic de stupéfiants. Même quand un théologien fade est jaloux d’un théologien charismatique, il doit faire preuve de retenue et de sang-froid. L’acharnement de la dictature contre Ahmed Abdallah Mohamed Sambi est abject et inhumain. Il y a une volonté de salir son nom et sa dignité. Ahmed Abdallah Mohamed Sambi ne mérite pas d’être ainsi calomnié dans la haine.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mercredi 5 août 2020.
