Dites au méprisable Mouigni Abdou de la fermer!
Mais, qu’est-ce qu’il est parti encore faire à Télésud?
Par ARM
Dégoûtant! Oui, il est dégoûtant. Il s’agit du méprisable Mouigni Abdou de Bangoi, chantre de la mendicité politique, fidèle suiviste de son beau-frère Houmed Msaïdié Mdahoma, dont il a hérité «l’hermaphrodisme politique» et «l’œcuménisme partisan», laudateur pavlovien de son «ami» (j’appuie sur le mot «ami») Mohamed Elamine Souef, riant comme une grenouille quand il le voit faire l’accolade au chef de la diplomatie française. Au fond, il est difficile de respecter le méprisable Mouigni Abdou de Bangoi, toujours prompt à se comporter en serpent, en rampant et en déployant sa langue fourchue. Il est tellement lâche que, quand il se cachait en Belgique pour insulter les gens, il n’osait jamais s’assumer. Il est resté dans ses méthodes de lâche même à l’Ambassade des Comores à Paris, où il est officiellement Conseiller politique, mais où il est surtout «membre de la Mouvance présidentielle» comme il l’indique aux médias, et numéro 2 de cette mission diplomatique, même si juridiquement et statutairement, il n’en a pas le droit. Aux Comores, on ne retrouve ce comportement méprisable que chez les petits pédés au petit pied. Allez comprendre.
Le méprisable Mouigni Abdou de Bangoi était sur le plateau de «L’Invité du jour», sur la chaîne de télévision panafricaine Télésud, face au journaliste Hamed Paraiso, dont je connais et salue le professionnalisme, avant même notre rencontre en décembre 2016 à Paris. Le passage du méprisable Mouigni Abdou de Bangoi sur Télésud fut un désastre, un vrai désastre, dans lequel il a entraîné celui qu’il était censé défendre: le «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger».
Le voici tutoyant Hamed Paraiso. Le voilà lui donnant du «mon ami», le voici croyant que Télésud était le salon de son appartement à la Courneuve, le voilà se permettant des familiarités infantiles et stupides avec le journaliste, le voici jouant au «juriste» jusqu’à ce qu’on lui pose de gênantes questions de procédure pénale, le voilà qualifiant de «démocrate» le criminel Bakapihi, l’un des pires et abjects dictateurs du monde actuel, le voici faisant tout pour ne pas reconnaître la stupidité du montage grossier qu’est «l’insurrection» de la médina de Mutsamudu, le voilà parlant un «français manioc et mabawa» (ailes de poulets destinées à la grillade), le voici piégé par la pertinence des observations d’un journaliste qui maîtrise très bien la vie politique comorienne et qui n’a pas l’habitude d’être complaisant envers des rastaquouères et maquignons confondant plateau de télévision et amourettes de pédés sur une plage des Comores.
Comment peut-on accorder une crédibilité quelconque à un «membre de la Mouvance présidentielle» aussi nullissime? Est-ce que le méprisable Mouigni Abdou de Bangoi peut expliquer aux Comoriens sa stratégie de communication? Pour quel but était-il sur le plateau de Télésud? Il voulait dire quoi et à qui? Il est vrai que certains Comoriens vivant en France adorent être vus sur les plateaux de télévision, l’un d’entre eux n’hésitant pas à réinventer la langue française et à faire breveter sa très belle expression «plus mieux». «Plus mieux». Oui, «plus mieux». Cette merveille linguistique est sortie de la bouche d’un Comorien sur le plateau d’une chaîne de télévision française il y a moins d’une semaine.
On l’aura compris: au lieu d’aller se faire ridiculiser sur Télésud, le méprisable Mouigni Abdou de Bangoi aurait mieux fait de se casser une jambe. Verbeux, il parle trop, mais pour dire quoi? Il est content quand il voit un micro et une caméra, mais ne connaît pas les pièges mortels des médias modernes. Bon courage…
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Samedi 27 octobre 2018.