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Boléro occupe un emploi fictif: «Con seyait» d’Azali

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Boléro occupe un emploi fictif: «Con seyait» d’Azali

Il en perçoit un salaire illégal et clandestin pour le Mal

Par ARM

     Le Grand Docteur et talentueux dramaturge Ibrahim Barwane a forgé l’expression «Con à essayer» pour désigner le «Conseiller» incapable du moindre conseil à son chef, qu’il est censé conseiller. Eh bien, l’«apatrîle» et fugitif international Hamada Madi Boléro dit Ébola, dit «Makridine», «Le Religieux de la Magouille», dit Dracula, a dépassé ce stade. Il est nommé sans décret «Con seyait» du dictateur fou Assoumani Azali Boinaheri, et a demandé au tyran qu’il a trahi et poignardé dans la chair et par la chair dans une suite d’hôtel de Dubaï que sa nomination devait rester secrète, alors qu’il est payé. Malgré la haine et le mépris que lui vouent les Comoriens dans leur ensemble, il croit qu’il peut encore les tromper en se faisant passer pour «une personnalité “neutreˮ» face à sa propre dictature.

Le fugitif international Hamada Madi Boléro se dit «juriste», mais un «juriste» qui nie la sacralité du Droit, de la démocratie, de l’État de Droit, du suffrage universel, du choix populaire exprimé par la majorité d’une nation, donc des élections libres, transparentes et démocratiques. Il nie le fait que «dans une société moderne, les élections jouent un rôle capital pour que l’on ne puisse pas s’y intéresser. La constatation suffit pour induire qu’à l’instar d’une fondation pour un immeuble, les élections sont indispensables à la mise en place des régimes démocratiques. Comparativement à un immeuble bâti sur une fondation peu solide, un régime politique aurait des difficultés à se consolider s’il est assis sur un hold-up électoral. Il s’écroulerait au moindre contact des intempéries produites par des conditions météorologiques moins clémentes»: Jean-Louis Ésambo Kangashé: Élections en Afrique, un modèle d’importation étrangère ou une voie originale de démocratie, in Frédéric Joël Aïvo et autres: La Constitution béninoise du 11 décembre 1990: un modèle pour l’Afrique? Mélanges en l’honneur de Maurice Ahanhanzo-Glélé, L’Harmattan, Collection «Études africaines», Paris, 2014, p. 441.

Il nie le fait que c’est le peuple qui, par son vote, attribue la légitimité au dirigeant: «Le peuple est titulaire du pouvoir souverain au sein de l’État»: Michel Verpeaux: Droit constitutionnel français, 2ème édition, PUF, Collection «Droit fondamental», Paris, 2015, p. 36. Il nie le fait qu’«en Droit, la légitimité s’apprécie à la façon dont le pouvoir a été transmis. Sera considéré comme illégitime le gouvernement qui tiendra son pouvoir d’une investiture irrégulière»: Philippe Ardant et Bertrand Mathieu: Droit constitutionnel et institutions politiques, 27ème édition, LGDJ et Lextenso Éditions, Issy-les-Moulineaux, 2015, p. 161.

Il fit «élire» le putschiste Assoumani Azali Boinaheri à «100%» en 2002 dans des conditions d’une médiocrité de sous-préfecture et d’un infantilisme de garderie. Il le fit «élire» à «104%» en 2016. Comment peut-on être juriste et s’associer à un assassin doublé d’un voleur? Comment peut-on être juriste et vivre d’argent sale, volé à un peuple en détresse? Mais, le fugitif international Hamada Madi Boléro n’a-t-il volé l’argent du peuple comorien destiné par l’Arabie Saoudite à la création de la télévision comorienne, pour le distribuer à des gamines, dont celles qui étaient ses élèves et ses maîtresses au Lycée de Moroni et qui ont des photos de lui nu comme un ver? N’a-t-il pas volé une partie de l’argent que le Sultanat d’Oman destinait à la création d’une unité de garde-côtes aux Comores?

Pourquoi est-il «Con seyait»? Parce que «con» signifie «imbécile», et sied est le verbe seoir conjugué à la 3ème personne du singulier, à l’imparfait, et signifie «convenir». Donc, le fugitif international Hamada Madi Boléro est «le con qui convient» auprès d’un dictateur abonné au Mal absolu comme lui, de surcroît son compatriote de Mitsoudjé, dans le Hambou en Grande-Comore, comme lui-même est de Chouani, dans le Hambou. Une fois de plus, on remarque l’intelligence sublime, savoureuse et délicieuse des jeunes contestataires de Poteau-central, haut lieu des intrigues sociales et politiques à Djoiezi, qui, dans leur tract anthologique, historique et patriotique «Kala Wa Dala» du 1er mai 2014, avaient écrit ces mots remarquables et mielleux: «Boléro, Directeur de Cabinet à la Défense, surnommé Dracula. C’est un fantôme, un caméléon, un escroc, un menteur. Il n’a pas d’identité fixe, il change en fonction du pouvoir. Ses alliés (Moishikundi wayi conteneri ya banatacha)Le petit groupuscule qui se réunit devant le conteneur du père de Natacha» (Youssoufa Madi, de Djoiezi)] ne le soutiennent plus, ils le haïssent. Ce Monsieur n’est ni un Mohélien, ni un Grand-Comorien vu ses mentalités (moyenne: 0,5/20). Mention: Traître». Merci beaucoup, au nom du peuple… Merci.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 9 février 2022.


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