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Azali Baba et les 40 voleurs, dont 3 voleurs principaux

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Azali Baba et les 40 voleurs, dont 3 voleurs principaux

Sittou Raghadat Mohamed, Mohamed Sagaf et Saïd Larifou

Par ARM

     Par ses «Assises nationales» du vol, de la haine, de la division et du mépris de février 2018, le tyran Assoumani Azali Boinaheri dit Azali Baba ou Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», a enrichi tous les voyous qui avaient soutenu son projet criminel de la mort des institutions qu’il voulait supprimer et qu’il a supprimées, et la caporalisation de celles qu’il voulait plonger dans un coma artificiel, à son profit. Dans cette débauche de la rapacité, du vol, de l’inélégance et de l’indignité, trois voleurs se distinguent à titre principal:

     1.- Saïd Larifou, l’organisateur et porte-parole des «Assises nationales» du vol, de la haine, de la division et du mépris, qu’il avait nommé «Avocat du gouvernement» jusqu’à son interdiction, en 2019, d’exercer le métier d’Avocat en France pour indélicatesses financières et fiscales, qu’il avait chargé de chanter dans les hameaux et villages «L’émergence à l’horizon 2030» sans savoir ce qu’est une émergence économique, l’homme qui passait son temps à menacer et à insulter l’opposition, le mauvais juriste qui avait réclamé la mort de la Cour constitutionnelle, de la Constitution, et celle de jeunes Mohéliens innocents qui avaient été accusés injustement d’avoir jeté des clous inoffensifs sur «la piste» de «l’Aéroport» de Mohéli contre l’avion transportant le chien enragé de Mitsoudjé, le faux opposant qui sabote la vraie opposition. Il est resté dans les petits soins et sous les ordres du dictateur Assoumani Azali Boinaheri, qui l’a fait trop enrichir sur le dos du peuple comorien lors des «Assises nationales» du vol, de la haine, de la division et du mépris, et qui s’en sert pour le «fidéliser» davantage, en réalité, en prêchant un convaincu bien convaincu. L’argent public que Saïd Larifou a volé au peuple comorien est tellement important qu’il pourrait servir à organiser 36 coups d’État contre son propre maître «à panser et à penser». Il est mauvais et teigneux…

     2.- Mme Sittou Raghadat Mohamed, surnommée «La Lionne» par ses propres enfants, qui se surnomment eux-mêmes «Les Lionceaux». Première Comorienne nommée ministre et dont le bilan est pour le moins médiocre et inexistant, première Comorienne Députée (même si elle n’a jamais siégé à l’Assemblée), elle a soutenu les «Assises nationales» de la haine, de la division et du mépris par fidélité au tyran fou de Mitsoudjé, et au prix de l’argent qu’elle a volé au peuple comorien, notamment pour acheter en liquide son bel appartement en région parisienne. Les initiés parlent encore de sa fameuse valise dans laquelle elle transportait 90.000 euros en liquide pour l’achat de cet appartement, sa fille vivant en France ayant fait un prêt bancaire pour la forme et la frime. Blanchiment d’argent sale par la Grande Lessiveuse. Merci. Le dictateur Assoumani Azali Boinaheri l’a aidée à voler le peuple comorien, l’a vue voler et sait combien elle a volé. Il a poussé la folie furieuse et la complaisance démagogique jusqu’à lui attribuer le titre de prétendue Présidente de la prétendue Commission nationale des Droits de l’Homme et des Libertés (CNDHL). S’il-vous-plaît, il s’agit de quels droits de l’Homme et de quelles libertés? Par ce vol d’argent public, le chien enragé de Mitsoudjé la tient par l’élastique de son slip. Madame la Présidente de la CNDHL n’a dit «non» au dictateur de Mitsoudjé que le jour où il lui a demandé si elle avait arrêté de prendre ses pilules jaunes. Elle n’a jamais constaté une seule violation d’un droit de l’Homme, ni d’une liberté sous la dictature de son maître. Elle a pour antienne: «En matière de droits de l’Homme et de libertés, tout va très bien aux Comores, leur patrie la plus sûre». Mais, attention! Parler d’elle relève du crime de lèse-majesté, et ses enfants insultent sur Internet tout Comorien ou Comorienne ayant osé parler de leur Vierge Marie et de son Immaculée Conception.

     3.- Saïd Mohamed Sagaf est le doyen en titre et attitré des 40 voleurs du dictateur Azali Baba. C’est un rescapé de la «gendrocratie» de Saïd Mohamed Djohar, dont il était le gendre. Il a trop volé sous la «gendrocratie», ayant été le Conseiller de son beau-père et son «ministre des Affaires qui lui sont étrangères». Lors des «Assises nationales» du vol, de la haine, de la division et du mépris, il a touché l’argent qui a servi à le corrompre, l’argent qu’il a volé au peuple comorien, et l’argent qu’il a volé en offrant à des membres de sa famille des millions de francs comoriens pour la commande, en Chine Populaire, d’un matériel qui devait servir aux «Assises nationales» du vol, de la haine, de la division et du mépris, mais qui est arrivé aux Comores plus d’une année après cette immense bouffonnerie entre voyous. Les décennies sont passées, mais ce voleur de poules est resté un voleur de poules. Mais, il ne vole que les poules aux œufs d’or. Il totalise presque 50 ans de vol d’argent public.

     Voilà où en sont les Comores, renforcées dans leur statut de patrie de filous par les méfaits des filous.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Jeudi 16 mars 2023.


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