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Azali Assoumani, détruit mentalement par le diabète

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Azali Assoumani, détruit mentalement par le diabète

Ahmed Sambi et Hamidou Karihila ont rompu avec lui

Par ARM

  «On ne se moque pas de la maladie de Mohéli», disent les Mohéliens. Pourquoi? Parce que celui qui se moque d’un malade est toujours rattrapé par la maladie dont il souffre. Dès lors, personne ne se moquera du diabète dont souffre gravement le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani parce qu’on ne se moque jamais d’un malade. Il est malade, et même ses milliers d’ennemis compatissent. Que Dieu le guérisse et guérisse les femmes constituant son intimité et qui, à force de dépenser follement, immoralement et illégalement l’argent des Comoriens pendant que le peuple souffre, ont toutes été détruites par des problèmes de sciatique, certaines ayant même renoncé à toute velléité sexuelle et ayant du mal à faire le moindre mouvement sans geindre. Les plus pieux parlent de punition divine.

Soit! Tout ceci pose un grand problème. Quand on écoute les discours du «ventriote» Azali Assoumani, on comprend tout de suite qu’ils ne sont pas ceux d’un homme qui a toute sa tête. Pour tout dire, le chien enragé de Beït-Salam n’a pas toute sa tête. Le diabète dont il souffre gravement l’a détruit sur le plan mental, et c’est la raison pour laquelle il a aboli les frontières de la honte. Que personne ne soit étonné le jour où il le verra pisser en pleine rue. Quand il va sur le plateau d’une chaîne de télévision panafricaine pour se vanter d’avoir licencié 2.800 Comoriens et de continuer à licencier, il a étalé sa pathologie devant le monde entier. Tel journaliste étranger m’en a parlé, la larme à l’œil pour les Comoriens.

Le «ventriote» Azali Assoumani a le droit d’être malade, qu’il soit malade, et qu’il en meure la bouche ouverte. On s’en moque. Seulement, il est installé à Beït-Salam, et de façon tout à fait anticonstitutionnelle, en plus. Il détruit la vie des Comoriens, et les Comoriens ont le droit d’exiger de lui un bilan de santé. Si ce bilan de santé est fait, il ne fait pas de doute qu’il va révéler que les gravissimes maladies dont il souffre l’empêchent de réfléchir de manière cohérente et donc de diriger un État, même quand il s’agit d’une «Républiquette» bananière. Oui, Mesdames et Messieurs, le «concubinocrate» Azali Assoumani n’a pas toute sa tête, et il faudra constituer un collège de médecins étrangers (et non les Sounhadj Attoumane) pour le constater, avant de demander sa destitution pure et simple. Il a fait un test bidon sur le sida (Photo), et il faudra qu’il fasse un véritable bilan de santé pour qu’on en sache plus sur sa santé physique et mentale.

La semaine dernière, le «concubinocrate» Azali Assoumani était à Anjouan, où il a prononcé des discours absolument décousus notamment sur son prétendu statut d’«Imam» fornicateur et voleur, et ces discours ont fait sursauter plus d’un. On l’a vu à l’aéroport d’Anjouan battre du tambourin et frotter ses fesses contre celles des femmes. Son éternel «Bumping» de rue. Au cours de ce déplacement à Anjouan, il a eu des échanges très virils avec Ahmed Sambi, son allié «circonstanciel de temps». Pourquoi? Parce que sa stratégie est simple: faire retourner aux Comores son copain Mohamed Bacar (il était temps, après les promesses mafieuses et non tenues d’Ikililou Dhoinine et du fugitif international Hamada Madi Boléro) et pousser celui-ci à réinstaller Anjouan dans le séparatisme, pour qu’il soit lui-même le Président à vie et à mort de la Grande-Comore. Ennemi juré du Colonel Mohamed Bacar, Ahmed Sambi, déjà frustré à mort par les goujateries et ingratitudes du «concubinocrate» Azali Assoumani envers l’Iran, vient de rompre avec lui. Désormais, le divorce est consommé entre les deux concubins incestueux.

Et, ce n’est pas fini parce que le bon Hamidou Karihila Hamadi, en homme élevé à Mbéni et ayant le sens de l’honneur et de la dignité, ne supporte plus d’être un garçon de couloirs chez son chef. Il a quitté les Comores pour une mission à l’étranger sans même en référer au chien enragé de Beït-Salam. Il n’en peut plus, Hamidou Karihila Hamadi. C’est l’homme qui a fait preuve de plus de fidélité envers le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani, qui le traite pourtant comme s’il était un Mohélien. Faire cela à un Mbénien est une injure, et le secrétaire d’État Hamidou Karihila Hamadi bourdonne comme un volcan en éruption.

Et s’il n’y avait que ça! En effet, quand le dictateur de Moroni était parti se fourvoyer à Paris en octobre 2016, Ambari, sa première épouse, avait reçu sa cour parisienne et lui avait lancé des promesses mirobolantes. À cette Comorienne en situation de clandestinité en France depuis des éternités, Ambari dit ceci: «Bon, écoute. Il faudra que tu viennes à Moroni. Je vais te charger de me faire mes courses à l’étranger». Tout ceci est très bien dit, mais comme Satan n’est jamais loin, voilà le couple constitué d’Ambari et de sa clandestine arrivée à une autre idée marrante: faire nommer la clandestine secrétaire général du gouvernement à la place de l’imbécile répondant au nom de Daroussi Hamadi, le neveu du «ventriote» Azali Assoumani, le garçon maudit surnommé «Tonton-m’a-dit», l’homme qui est en train de détruire toute l’administration comorienne, pan par pan, sans la moindre retenue. Face à la concurrence, Ambari a quelque peu perdu la main, mais elle a conservé une certaine capacité de nuisance, et la nuisance est la seule chose qui marche aux Comores.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mardi 20 décembre 2016.


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