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Assoumani Azali, entre ses délires et divagations à Alger

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Assoumani Azali, entre ses délires et divagations à Alger

Mais, pourquoi ne peut-il simplement pas fermer sa bouche?

Par ARM

       Quelle horreur! Quelle plaie! Le dictateur Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», a donc été vu à Alger, capitale de l’Algérie, lors de la 31ème conférence des chefs d’État et de gouvernement de la Ligue des États arabes (LÉA). Comme les vrais dirigeants arabes et les masses populaires comoriennes s’en moquent, tant ce déplacement coûteux est improductif et inutile! Fait particulièrement honteux et sur lequel le fugitif international Hamada Madi Boléro, son prétendu «Conseiller diplomatique», est personnellement responsable et impardonnable, il ose inviter à Moroni les pays arabes à du suivi sans suite du gnangnan et blablas qui avaient eu lieu à Paris les 2 et 3 décembre 2019 au cours desquels on lui avait promis presque 5 milliards d’euros, dont il n’a pas vu le premier centime: «Permettez-moi de vous inviter à participer au symposium qui se tiendra aux Comores le 3 décembre de cette année, dans le but de donner suite aux résultats de la conférence des donateurs qui s’est tenue en décembre 2019 à Paris, et ce colloque vise à accélérer la mise en œuvre des annonces émises lors de cette conférence». Tu parles…

       Le lieu et le cadre sont très mal choisis parce que les promesses non tenues de Paris sont une aberration qui ne concerne en rien la LÉA. C’était chez les Blancs. Et puis, il faut être complètement fou pour organiser un symposium à Moroni pour constater en décembre 2022 que la conférence des «broyeurs des fonds» de Paris des 2 et 3 décembre 2019 est un échec monumental. Même si la dictature organise 10 «symposiums» à Mitsoudjé par jour, elle ne verra pas un centime des folles promesses faites à Paris. Il y a eu des conférences de «broyeurs des fonds» prétendument en faveur des Comores, mais, à ce jour, ce pays n’a pas reçu un centime de ces mascarades enfarinées.

       Cela étant, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri gagnerait à se taire lors des conférences internationales. Il se ridiculise partout où il prend la parole.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Vendredi 4 novembre 2022.


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