Aïcham Itibar, lèche-cul obséquieux, «lèche-bottiste», faux-cul
Le maquereau du Tribunal de Moroni incarne toutes les bassesses
Par ARM
J’en ris encore en me donnant des tapes sur les cuisses. Au lendemain du «mariage d’État» de février 2013 qui, sous la présidence des Mohéliens de Bête-Salam, avait fait converger à Fomboni tous les mendiants de riz et d’argent, pique-assiettes, mangeurs à tous les râteliers, bêtes cornues et moustachues, bipèdes de la mendicité politicienne, hermaphrodites idéologiques et œcuménistes de la politique politicienne des 3 îles, Houmed Msaïdié Mdahoma, actuel aboyeur public et insulteur officiel, alors engagé dans une lutte à mort contre le «pouvoiriste» polygame Assoumani Azali Boinaheri pour le contrôle de la Confrérie des Renégats et des Criminels (CRC), m’avait appelé au téléphone dans la précipitation: «Ici, Azali est devenu la bonniche du couple Ikililou Dhoinine lors du mariage de la petite sœur de la Première Dame à Mohéli. C’est lui qui étend les nattes, nappes, draps et bâches, qui fait introduire les visiteurs et visiteuses auprès de la mariée, qui joue le rôle de videur cérémonial… Le spectacle est d’autant plus désolant que, lors de la danse du bœuf, l’animal a jeté à terre Azali, lui déchirant tous ses vêtements, et blessé Razida au bras. Dans un soupir à fendre l’âme, Kiki a lancé ce mot de mépris: “Je ne savais pas qu’Azali était aussi ‘lèche-bottiste’”».
Mariage d’État à Fomboni, février 2013:
Le jour où un bœuf de Mohéli voulait tuer Assoumani Azali Boinaheri
Si Houmed Msaïdié Mdahoma, aboyeur public et insulteur officiel, tente une seconde de démentir cette information, un petit tour dans mes archives permettra de publier son numéro, l’heure et le jour d’appel, sans faire dans les basses œuvres policières de flicage.
Cruelle ironie du sort, depuis 2016, Kiki et l’aboyeur public et insulteur officiel Houmed Msaïdié Mdahoma dégoulinent d’obséquiosité servile devant le dictateur Assoumani Azali Boinaheri. Aujourd’hui, ils sont battus à leur propre jeu par le sale, vil, mauvais, teigneux, immoral et bestial Aïcham Itibar, l’Empereur du conflit d’intérêts, le maquereau du Tribunal de Moroni, où il «gagne» tous les procès, en inondant les «Magistrats» véreux, incompétents et corrompus de filles de joie, donc de prostituées, d’alcool et d’argent sale.
Maintenant, le sale Aïcham Itibar, toute honte bue, prétend crânement qu’il peut offrir au dictateur fou Assoumani Azali Boinaheri 100% de l’électorat de Mbachilé, où Kiki avait été ramassé sur l’herbe en train de montrer sa collection de bouteilles d’eau minérale à une fille de joie. Tout ça est bien dit, et même très bien dit, mais, pour que la chose soit claire dans les esprits, Aïcham Itibar doit expliquer aux masses populaires comment il peut offrir les suffrages de toute une population au dictateur psychotique de Mitsoudjé. Il fait tout pour plaire à Monsieur Fils, Nour El-Fatah, fils de son père, le dictateur fou Assoumani Azali Boinaheri et de sa mère, la dictatrice insatiable Ambari Darouèche, mais il va très loin dans sa mendicité. Il est mauvais. Il n’est pas humain. Il n’a pas de cœur. Il n’a ni fierté, ni dignité.
Un jour, son business de maquereau public finira très mal. En tout cas, son affiche sur Mbachilé lui a enlevé les quelques grammes de crédibilité qu’il avait encore auprès des gogos, des gagas de la tête, des gnangnans, des beaufs et charlatans de son niveau de caniveau.
Par ARM
Le copier-coller tue la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.
© www.lemohelien.com – Lundi 15 janvier 2024.
