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Abdallah Saïd Sarouma et Djaafar Ahmed Saïd Hassani

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Abdallah Saïd Sarouma et Djaafar Ahmed Saïd Hassani

Ils dénoncent la stratégie mafieuse de leur gangster de chef

Par ARM

      Tout le monde connaît le gangstérisme qui règne dans l’entourage du «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Cet individu est entouré de truands, de brigands, de voleurs, de trafiquants et de trabendistes. Parmi eux, on peut citer sans risque de se tromper l’obsédé sexuel et bandit du Tribunal de Moroni, Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Au secours! Au secours!), le «beau-frère de son beau-frère», le «ventriote» Azali Assoumani Boinaheri. En privé, il ne manque pas une occasion pour fustiger sous le manteau la politique folle menée par son propre beauf pour continuer à jeter dans la misère et dans le dénuement des milliers de Comoriens. Face au Gouverneur Salami Abdou Salami d’Anjouan, le beauf Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Ouf! Ouf!) se lâche contre le «ventriote» Azali Assoumani Boinaheri, lui qui prend au sérieux son projet fou et débile de Parti Blanc. En réalité, une seule chose l’obsède depuis le jeudi 26 mai 2016: les 900 premier jours du mandat anticonstitutionnel et ignominieux de son beauf, auquel il veut succéder par dévergondage et manipulation de la Constitution.

Au même moment, un autre brigand ne se cache même pas pour dire tout le mal qu’il pense du régime politique actuel: Abdallah Saïd Sarouma dit Chabouhane, dit Baguiri, dit Gris-gris, dit Coach, dit Lionel Messi. Cet individu a même été malmené physiquement à Anjouan, où on lui a carrément rappelé les origines anjouanaises de son père et à qui il a été demandé d’aller dire au demi-sel Mohamed Saïd Fazul dit Babadi de ne plus aller tenir des discours abscons à Anjouan. Baguiri est très éloigné des problèmes des Comoriens, et ne veut qu’une seule chose: aller jouer au loto, en procédant à toutes les hontes: trafics de visas avec son ami et compagnon en crapuleries, le fugitif international Hamada Madi Boléro, abus de confiance, trafic d’influence, escroquerie, etc. Mais, aujourd’hui, il reconnaît même sur les places publiques que son chef, le «concubinocrate» Azali Assoumani Boinaheri, est dans le trou et conduit les Comores dans un trou encore plus profond. Le temps des illusions est bel et bien révolu.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mardi 26 décembre 2017.


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