Ibrahim Ali Mzimba chargé d’assassiner le cadavre du ministre mort des Finances
Son indignité à l’Assemblée contre le cadavre du ministre des Finances est sponsorisée
Par ARM
Drôle de pays, tout de même… Comment des Comoriens considérés comme sains de corps et d’esprit peuvent se rabaisser à un niveau tellement vil jusqu’à considérer qu’Ibrahim Ali Mzimba, «Député» «de l’opposition», a commis un acte historique de courage, de bravoure et de patriotisme parce qu’il a parlé de manière très insolente et barbare à Ibrahim Mohamed Abdourazak, ministre des Finances, du Budget et du Secteur bancaire? En réalité, son acte d’indignité est demandé et financé par le dictateur Assoumani Azali Boinaheri, qui s’apprête à limoger son ministre des Finances. Ce dernier est accusé d’avoir financé via un Cadi (juge de Droit musulman classique) Abdou Salam Ibrahim Mpingo dit Bachar qui, lors de son vécu en Tanzanie, déversait des flots d’insultes sur le dictateur Assoumani Azali Boinaheri et sa famille.
Ibrahim Mohamed Abdourazak est devenu un cadavre politique depuis la découverte de sa culpabilité dans cette lugubre affaire. Ibrahim Ali Mzimba est juste payé pour sonner l’hallali. Il n’oserait jamais s’attaquer ainsi à un ministre sans les ordres de son chef, le dictateur Assoumani Azali Boinaheri. Son exercice d’insolence honteuse à l’Assemblée n’est pas un acte de courage, mais un acte de lâcheté commis par un mercenaire sans foi, ni loi, qui croit que, comme Ibrahim Mohamed Abdourazak est du Sud de la Grande-Comore comme lui, son limogeage lui permettra de s’installer sur son fauteuil de ministre. Bon courage…
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Vendredi 24 octobre 2025.



