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Du fourmi-lion, naquit le Mufti-cardinal défroqué et avili

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Du fourmi-lion, naquit le Mufti-cardinal défroqué et avili

Jamais humain n’a été tué par des choix aussi contradictoires

Par ARM

       De nouveau, Saïd Toihir Ben Saïd Maoulana, le Mufti-cardinal criminalisé, crée la polémique et dégoûte les Comoriens par le soutien ostensible qu’il apporte à la dictature villageoise de Mitsoudjé.

Pour comprendre les dérives criminelles, malsaines et indécentes dans lesquelles patauge Saïd Toihir Ben Saïd Maoulana, le Mufti-cardinal corrompu et incompétent, caution amorale et immorale du poète électoral divin Assoumani Azali Boinaheri, il faut connaître la légende du fourmi-lion. C’est l’Allemande Sigrid Hunke (1913-1999) qui va raconter cette légende:

«Un animal est né du lion et de la fourmi, qu’on appelle le fourmi-lion. Mais à peine est-il né qu’il succombe parce qu’incapable de se procurer sa nourriture. Il meurt de faim. Et c’est la pure vérité; l’Écriture sainte le prouve, qui dit: “Le fourmi-lion succombe par manque de nourritureˮ. Car cet animal est le produit de deux natures, et quand il veut manger de la viande, la nature de la fourmi, amateur de graines, refuse la viande; mais, veut-il se nourrir de graines, c’est alors la nature du lion qui y répugne. Ne pouvant manger ni viande ni graines, l’animal périt. Il en va de même pour ceux qui veulent servir deux maîtres, Dieu et Satan, Dieu leur enseignant à être purs et le diable les persuadant de se livrer à la débauche…»: Sigrid Hunke: Le Soleil d’Allah brille sur l’Occident. Notre héritage arabe, 2ème édition, Albin Michel, Collection «Espaces libres», Paris, 1997, p. 299.

       Depuis qu’il est mis au service exclusif de la dictature de Mitsoudjé pour l’argent noir de la corruption volé au peuple comorien, le Mufti-cardinal Saïd Toihir Ben Saïd Maoulana, censé être la plus haute autorité religieuse et donc morale des Comores, a abandonné les enseignements de Dieu et a sombré dans la débauche de Satan. Ceci incite les Anjouanais et les Mohéliens à réclamer deux choses: d’une part, que le Mufti ne soit pas nommé à mort et jusqu’à ce que mort s’ensuive, et d’autre part, que la fonction de Mufti soit tournante entre les îles, chaque Mufti venant de la même île que le chef de l’État en étant nommé par lui, son mandat coïncidant avec celui de 5 ans de tout Président de la République, quand les Comoriens auront jeté la dictature de Mitsoudjé aux chiens enragés et aux rats d’égout. Ce moment béni va venir, et plus tôt qu’on ne puisse le croire.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 19 février 2020.


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