Mensonges chiffrés de la conférence des «broyeurs»
Et Saïd Ali Saïd Chayhane, qui vend la Banque postale!
Par ARM
Le scandale est énorme. Il se situe à deux niveaux.
Tout d’abord, il y a la nouvelle utopie du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Le monde entier a entendu ce fou furieux maudit chiffrer sa folie de conférence de «broyeurs des fonds» à Paris, les 2 et 3 décembre 2019, à 6 milliards d’euros, soit 90 ans de budget de l’État comorien. Pour lui, il suffit de demander la tenue d’une conférence internationale et d’exiger cette somme faramineuse pour l’obtenir. Or, pendant qu’il divague, ravagé par la folie héréditaire, la Planète entière se rend compte que le récapitulatif fait par ses prétendus technocrates à la sauce tomate fait état d’une annonce, pour les besoins de sa mendicité internationale, d’une demande totale de 3 milliards d’euros, soit le budget des Comores pendant 45 ans! Ce qui est en soi une somme astronomique, que n’ont pas encore dépensée les Comores en 44 ans d’indépendance sans État.
Ensuite, ce dimanche 24 novembre 2019, les Comoriens ont découvert une nouvelle horreur due à la dictature clanique de Mitsoudjé: malgré l’immense scandale provoqué par la fuite internationale de l’escroc international Islam Ally Saleh Balhabou, qui a gagné aux Comores 10 millions d’euros sans construire de centrale électrique, le baby-sitter et gigolo Saïd Ali Saïd Chayhane veut vendre la Banque postale des Comores à un autre groupe d’Afrique de l’Est qui ne comprend rien en français et qui traduit ses courriers de l’anglais au français par les logiciels de traduction qui pullulent sur Internet. Les Comoriens ne comprennent pas la vente de la Banque postale des Comores, surtout à un moment où la dictature de Mitsoudjé claironne partout qu’elle va obtenir à Paris entre 3 à 6 milliards d’euros, soit 1.500 à 3.000 milliards de francs comoriens. Naturellement, de tels rêves ne peuvent naître que du cerveau d’un fou. En tout cas, la dictature de Mitsoudjé n’a tiré aucune leçon de la donation malheureuse de l’entreprise publique Air Comores à l’escroc international mauricien Moonlem Simsamy, le faux Rowland Ashley, avant l’incendie criminel qui la fit disparaître à jamais.
Les Comoriens attendent la construction des beaux immeubles en photo ici que le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri promet à la communauté internationale.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Lundi 25 novembre 2019.
