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Tueries électorales, fraudes sauvages et deuil national

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Tueries électorales, fraudes sauvages et deuil national

Le premier scrutin meurtrier de l’Histoire des Comores

Par ARM

     Alors que le peuple comorien est plongé dans le deuil à la suite d’une journée de tueries électorales et de blessures par balles réelles, toute honte bue et sans la moindre compassion pour un pays plongé dans les malheurs et pour les familles endeuillées, la seule chose qui intéresse Msa Ali Djamal est son maintien dans la bêtise inhumaine. Msa Ali Djamal, détestable individu sans dignité, ni personnalité, n’est obsédé que par une chose: faire des déclarations honteuses et infondées tendant à placer en tête des candidats son «maître à penser et à panser». Nullement préoccupé par le deuil qui frappe tout un peuple, il est dans son obsession à proclamer la «victoire» «dès le premier tour» du mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger».

À Anjouan, on compte déjà quatre morts et des dizaines de blessés. Il va y en avoir d’autres parce que le pouvoir anticonstitutionnel et illégitime va tout faire pour tenter d’intimider le peuple alors que celui-ci use de son droit d’indignation et d’insurrection. L’Observatoire des Élections a tiré des conclusions très graves et absolument fondées sur le caractère antidémocratique, catastrophique et mafieux de la mascarade de ce dimanche 24 mars 2019, qui a tourné à la tuerie et à la vengeance par balles réelles.

     Les Comoriens n’ont jamais vécu les malheurs constatés ce dimanche 24 mars 2019. C’est la première fois dans l’Histoire des Comores qu’une fraude électorale a été organisée d’une manière aussi infantile et meurtrière, finissant dans le sang des martyrs.

Bien évidemment, le pays est devenu une bombe qui va exploser à tout moment. Ceci est d’autant plus vrai que le «concubinocrate» Assoumani Azali va se faire proclamer «élu» «dès le premier tour», et ça sera le début de la fin pour lui. Cette proclamation sera suivie d’une guerre civile, qui finira par la mort du dictateur fou de Mitsoudjé. C’est le peuple qui le tuera. Le chien enragé de Mitsoudjé ne sortira pas vivant de la catastrophe qu’il a lui-même provoquée.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 25 mars 2019.


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