Houmed Msaïdié sort des emplois fictifs et clandestins
Directeur de campagne, il renforce son statut de portefaix
Par ARM
Houmed Msaïdié Mdahoma, hélas! Un Judas. Le Judas des temps modernes. Il est devenu le bateau ivre de la classe politique comorienne, loin devant Saïd Larifou. Chaouch et grande gueule du dictateur fou de Mitsoudjé lors de sa première kleptocratie (1999-2006), il devient son ennemi juré en 2013-2014 et après. En 2014, il fonde son RADHI contre le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Dès lors, il passe son temps à injurier le chien enragé de Mitsoudjé. En 2016, il est le colistier pour la Grande-Comore de Mohamed Ali Soilihi. Mais, comme dans son langage, le mot «honte» n’existe pas, depuis 2018, il répète partout que c’est lui qui a fait perdre l’élection au candidat qui voulait faire de lui un Vice-président de la République. Autrement dit, il préfère des emplois fictifs au statut de Vice-président. Voire!
Aujourd’hui, son statut de portefaix et de porteur de valises des délégations se rendant à l’étranger a été renforcé: il est nommé Directeur de la campagne électorale de la mouvance présidentielle minoritaire. Il est à espérer pour la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé que si demain, il y a supervision internationale des élections truquées à venir, ce qui entraînera la défaite du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri, il ne dira pas que c’est lui qui a fait perdre le scrutin au «Petit Bokassa». Comme on dit à Mohéli, «Les fesses qui ont l’habitude de faire caca ne savent jamais s’arrêter».
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mercredi 20 février 2019.
