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Le strabisme divergent de Msa Ali Djamal sur Ambari

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Le strabisme divergent de Msa Ali Djamal sur Ambari

Il défend l’indéfendable: ses excès et indécences vestimentaires

Par ARM

     Quelqu’un est-il capable de dire aux Comoriens pourquoi Msa Ali Djamal n’a jamais été capable de défendre une bonne cause, de dire une chose intelligente et pourquoi il s’acharne à se faire haïr par des propos stupides chaque fois qu’il s’exprime sur l’espace public? C’est sa marque de fabrique: sortir des billevesées, insanités, incongruités et propos malheureux. Sa dernière sortie médiatique est du pire effet: il ne veut pas que les Comoriens parlent des saletés et indécences vestimentaires d’Ambari Darouèche dite Makapihi, «La Mère qui ne prépare jamais à manger». Il refuse d’admettre que cette dernière est comme son mari: méprisante, méprisable et méprisée, haineuse, haïssable et haïe, détestable et détestée.

Msa Ali Djamal, resté un mendiant obséquieux, a écrit les fadaises suivantes: «Un communicant du parti Juwa s’en est pris à la première dame en manipulant des images à l’aide de Photoshop. Le but étant de mettre à mal son honneur et de ternir son image. Nous condamnons avec la plus grande fermeté ces procédés indignes, irrespectueux et de surcroît insultant [Sic: «Insultants»]. En République, nous ne pouvons pas tolérer que l’on délie la parole dans des ouvrages d’humiliation

Elle est la première dame, avant tout une mère, une femme, une musulmane. Elle mérite le respect au-delà des divergences d’opinions. Nous demandons des excuses de la part du Parti Juwa à moins qu’il cautionne cet acte abominable». «Qu’on délie la parole»? Qu’est-ce que ça vient faire dans ce texte, produisant l’effet d’un cheveu sur la soupe? Et puis, «le bourdieusien tropical» n’aurait pas dû écrire «à moins qu’il cautionne cet acte abominable», mais «à moins qu’il ne cautionne cet acte abominable». Ce n’est pas bien.

     Msa Ali Djamal oublie des vérités fondamentales: Ambari Darouèche est peut-être «une mère et une femme», mais surtout Dalila et Messaline réunies, une usurpatrice, une impie, une voleuse d’argent public, celui du peuple comorien, une des premières personnes à jeter en prison en cas de changement de régime politique. Chaque fois qu’elle prend la parole en public, on a l’impression qu’un centre de traitement de déchets venant des toilettes a explosé. Ses paroles puent comme des égouts débordés. Elle parle mal. Elle n’a pas d’éducation. Elle ne connaît pas les bonnes manières.

De surcroît, Ambari Darouèche ne sait pas que son corps difforme et ingrat n’est pas fait pour les tenues des midinettes. Or, elle en raffole, étalant ses «Mabélé ya Mboudjou» («Mamelles de poisson corne»), ses rondeurs excentriques et obscènes et sa grossesse post-ménopause. Ce n’est pas bien. Ambari Darouèche choque les Comoriens par l’exhibition permanente de son corps. Sa forme ne lui interdit pas la coquetterie, mais comme elle est très vulgaire, elle s’habille comme la femme d’un moujik dans le flot de la neige fondante dans la taïga russe lors de la raspoutitsa.

Msa Ali Djamal prétend qu’il y a trucage de la photo. Il ment. Sur la photo, il n’y a aucune anomalie. En plus, les photos montrant Ambari Darouèche dans des tenues obscènes sont légion. Cela étant, on aurait voulu voir Msa Ali Djamal s’indigner quand le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», tue le Droit et la politique aux Comores, emprisonne sans le moindre motif légal ses adversaires politiques et vole l’argent du peuple comorien. Au fond, le véritable problème de Msa Ali Djamal réside dans son manque de personnalité, dignité et envergure. Il est resté un simple écailleur de poissons du métro parisien. Il n’y a rien de positif à tirer de lui.

Enfin, Msa Ali Djamal fait semblant d’oublier que ce n’est pas seulement «un communicant du parti Juwa» qui parle des vulgarités corporelles et vestimentaires d’Ambari Darouèche…

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Dimanche 20 janvier 2019.


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