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Pour en faire trop, Assoumani Azali en fait trop, trop!

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Pour en faire trop, Assoumani Azali en fait trop, trop!

Toute une gesticulation dramatique pour cacher la vérité

Par ARM

     Le pauvre chéri! Même quand il était supposé être «en bonne santé», il ne faisait pas tout ce cinéma. Il tombe comme un fruit mûr en pleine cérémonie à l’Université des Comores, le samedi 1er décembre 2018. La vidéo montrant sa chute de face est tout simplement mortelle pour lui. Pourtant, quelques secondes à peine après cette chute historique, ses hommes de main et de bouche pondent un communiqué bidon prétendant qu’il «se porte bien». On leur a demandé quoi pour qu’ils crânent en ces termes malheureux? Le même jour, on le voit prendre un bébé entre ses mains, se faire photographier sous toutes les coutures, même quand il pose ses pieds sur l’hurluberlu shakespearien Saïd Ahmed Saïd Ali, dont on découvre la forme monstrueuse de la tête. Dans la soirée de ce même samedi 1er décembre 2018, le voilà assistant à une Maoulid à Mvouni, affichant un visage de cadavre de trois jours qu’on vient de déterrer, comme il sait le faire.

Il était à Mvouni pour tenter de dire qu’il «se porte bien». Or, le dimanche 2 décembre 2018, alors qu’il prenait son petit déjeuner, il fait une nouvelle chute, mais, cette fois-ci, loin des caméras et des regards indiscrets.

Nous voici le mardi 4 décembre 2018. Un communiqué bidon de Bête-Salam signale bêtement qu’il partait ce jour-là à «Dakar (Sénégal), sur invitation de son homologue SEM Macky Sall, Président de la République du Sénégal, pour participer à l’inauguration du Musée des Civilisations Noires prévue le 6 décembre 2018» et que, par la suite, il «se rendra à Marrakech (Maroc) pour prendre part à la Conférence Internationale sur les migrations qui se tiendra les 10 et 11 décembre 2018. Ce rendez-vous verra l’adoption du Pacte Mondial pour des Migrations Sûres, Ordonnées et Régulières, premier document onusien sur la question de la migration dans sa globalité».

Le «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», puisqu’il s’agit de lui, en fait trop, trop. En quoi l’inauguration d’un musée bidon et une conférence bidon sur les migrations sont importantes au point de pousser un mourant à vouloir montrer au monde entier qu’il peut voyager à l’étranger quelques heures seulement après une chute presque mortelle baptisée «malaise vagal», malaise devenu un «malaise vaginal», derrière lequel se cache un méchant accident vasculaire cérébral sur un diabétique devenu enceinte et dont le cerveau est ravagé par une tumeur, une tumeur dont le traitement dépasse les compétences des médecins mauriciens le traitant? Communication bancale…

On est sidéré quand on regarde les images du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri le mardi 4 décembre 2018 à l’Aéroport de Hahaya. Il court pratiquement, et fait tout ce cinéma pour prouver qu’il «se porte bien». C’est indécent. Qu’on se le dise! Le monde ne va pas se limiter à regarder ses pas, mais son visage. Sur son visage, se lisent toutes les pathologies dont il souffre. En même temps, derrière ses histoires d’inauguration d’un musée inutile et de participation à une conférence également inutile (aucune conférence n’arrêtera les migrants), se cache une volonté d’aller essayer se faire traiter à l’étranger. Justement, le Président du Gabon, dont l’état de santé fait jaser, est actuellement «en convalescence» au Maroc. Comme le proverbe comorien prétend de manière morbide que «mourir ensemble est un mariage», ça sera toujours ça de pris… Qu’ils se retrouvent donc tous au Maroc.

Le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri en fait trop, mais doit arrêter son char. D’ailleurs, il y a quelqu’un qui semble douter et qui, depuis le fameux samedi 1er décembre 2018, se montre moins bavard: Kiki. Il semble comprendre que son chef n’est pas immortel et que «l’émergence à l’horizon 2030» et la présidence à mort et jusqu’à ce que mort s’ensuive sont devenues des rêves irréalisables, tout comme le budget de 120 milliards de francs comoriens dans un pays incapable de financer un budget de 30 milliards de francs comoriens.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Jeudi 6 décembre 2018.


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