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Madame Cheikh Salim haït à mort Harimia Ahmed

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Madame Cheikh Salim haït à mort Harimia Ahmed

Les nominations à la Cour suprême de Papa l’assassinent

Par ARM

     Tel blogueur reçoit par jour des appels téléphoniques, des messages, des vidéos, des images et des pleurs. Oui, même des pleurs. Pas des pleurnicheries larmoyantes, mais de vrais pleurs, avec larmes et tout et tout. Il est une sorte d’assistant social, mais fait en sorte d’éviter de s’impliquer dans des querelles personnelles que certains voudraient vider sur la place publique.

Toutefois, l’entretien que ce blogueur a eu ce mercredi 9 mai 2018 avec une cousine très courtoise de l’épouse de Cheikh Salim, Président de la Cour suprême de Papa, vaut d’être connu: «Harimia Ahmed vient d’être nommée membre de la Cour suprême, qui va être utilisée contre l’État, son Droit et ses institutions. Je suis scandalisée en constatant que personne ne relève en public le fait qu’avant qu’elle ne soit nommée à la Cour suprême, elle aurait dû suivre la procédure préalable, qui consiste à se faire radier du Barreau de Moroni. ARM, tu es avocat, et tu sais que je n’exagère pas. Pourtant, sur les places publiques et dans les salons, tout le monde est unanime sur cette radiation préalable.

     Malheureusement, ce n’est pas Ibrahim Ali Mzimba, qui a été pendant des années ton protégé, qui a été regardant sur des règles de procédure, qu’il ignore lui-même, bien que Bâtonnier de Moroni. D’ailleurs, complaisant et cupide qu’il est, il n’aurait rien fait même s’il savait que Harimia Ahmed aurait dû être radiée au préalable. Il veut plaire et est prêt à toutes les bassesses. Mais, nous devons avoir à l’esprit le fait que Harimia Ahmed a un atout majeur: elle a toujours eu une relation coupable et immorale avec Cheikh Salim. La femme Cheikh Salim, descendante d’une lignée de Chorfa [pluriel de Chérif, descendant du Prophète Mohamed] de Salimani, n’a jamais supporté Harimia Ahmed, qu’elle déteste du plus profond de son être et qu’elle a toujours qualifiée de “porteuse de malheurs dans les ménages des autresˮ.

     Une fois, ma cousine, la femme de Cheikh Salim, a fait une descente au Tribunal de Moroni et a demandé à Harimia Ahmed de laisser en paix son mari. Ce fut un scandale retentissant. Quand Cheikh Salim et ma cousine ont célébré leur grand mariage, Harimia Ahmed leur avait envoyé un cadeau. Ma cousine l’avait cassé dans une colère indescriptible. J’étais présente. J’avais tout vu.

     Ma cousine, l’épouse de Cheikh Salim, est à l’agonie depuis la nomination de Harimia Ahmed à la Cour suprême. Elle est d’autant à l’agonie que Harimia Ahmed a été renvoyée en trois répudiations par son ex-mari. De retour du travail, son mari d’alors lui a demandé de prendre ses valises et de s’en aller. Elle est donc célibataire. Que Dieu vienne en aide à ma pauvre cousine». Une petite voix de Foumbouni dit que le fugitif international Hamada Madi Boléro est intervenu dans la nomination de Harimia Ahmed, «pour des raisons personnelles».

Vous l’aurez compris: en même temps qu’il détruit les Comores, le fou de Mitsoudjé et «pouvoiriste» polygame Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», détruit les ménages et apporte le deuil dans les foyers.

Justement, parlons des nominations à cette Cour suprême de Papa, cette succursale des enfers par laquelle le «concubinocrate» Assoumani Azali veut brûler les Comores. De ce côté, tout est verrouillé. Le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri a recruté trois personnes sur recommandation du lubrique et libidineux Cheikh Salim et de l’abject et ignoble mercenaire Nourdine Abodo, surnommé Satan par les magistrats, l’Intrigant par les avocats, l’Infâme par le peuple, le Serpent à lunettes à Bête-Salam et le Vénérable Aîné par le couillon notoire Saïd Ahmed Saïd Ali, descendant direct de l’écrivain anglais William Shakespeare, qui a rédigé Othello et Roméo et Juliette sous l’arbre à pain et le cocotier jouxtant la case de ses ancêtres à Ntsoudjini.

     Les trois personnes qui ont prêté serment au diable et à Satan à la Cour suprême le mardi 8 mai 2018 sont: la belle et très innocente Harimia Ahmed, le saligaud Saïd Idrissa et l’immoral Nidhoim Athoumane, le frère de l’autre, à savoir: le Grandissime Docteur Sounhadj Attoumane, le Docteur des Docteurs, le gynécologue des gynécologues et l’assassin par empoisonnement de ses propres patients, dont une fille de 18 ans, morte à Madagascar à la suite de son charlatanisme prétendument médical. Nidhoim Attoumane est l’égal de son frère: tous les deux ont une grave altération génétique qui rend toute la famille folle et furieuse. N’est-ce pas le Grandissime Docteur Sounhadj Attoumane qui défendait auprès d’Ikililou Dhoinine une supposée nièce avec qui il baise partout dans un désordre indescriptible?

La troisième personne est Idriss Abdou Moustakim, de Mohéli. Or, le mercenaire Nourdine Abodo avait soutenu la fripouille Saïd Idrissa. Pour lui, Saïd Idrissa devait être récompensé par le Saigneur Saignant Assoumani Azali Boinaheri pour le rôle nocif qu’il a joué dans la rédaction du rapport fallacieux, frauduleux et crapuleux sur la «citoyenneté économique». Alors, comment un petit pédé comme Saïd Idrissa, qui n’a jamais eu de carrière judiciaire, qui n’a aucune expérience judiciaire, aurait-il pu être nommé membre de la plus haute juridiction du pays? Un petit pédé! Il n’a d’atouts que son implication dans les magouilles de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé, sa pédérastie de petit pédé et le fait qu’il soit natif de Singani, Hambou, la région d’origine du dictateur de Mitsoudjé.

Cheikh Salim lui-même est une arsouille de taille. Sa délinquance est ancienne. Il avait été le Conseiller juridique de la société d’assurances de Jacques Grimaldi, alors qu’il était le Président du Tribunal de Moroni. Il avait reçu un téléviseur comme cadeau de la part du comptable de Jacques Grimaldi, qui le dénoncera par la suite, plus précisément en mai 1993, sur les colonnes du journal gouvernemental Al-Watwan dit Al-WawaCelui qui pique», «fait gratter» ou «fait démanger»), le qualifiant de corrompu. Le voleur immoral Cheikh Salim n’avait pas réagi. Coupable!

C’est un véritable scandale. Ces trois personnes sont nommées à la Chambre administrative de la Cour suprême pour donner raison au bambochard Assoumani Azali Boinaheri sur tous le contentieux constitutionnels et référendaires à venir, mais le référendum constitutionnel n’aura pas lieu: le putschiste Assoumani Azali Boinaheri sera renversé avant. L’heure est grave et même certains membres du Cabinet du fou furieux Assoumani Azali Boinaheri sont scandalisés.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 9 mai 2018.


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