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Tous les politiciens Kleenex emportés par la mort subite

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Tous les «politiciens Kleenex» emportés par la mort subite

Salim Saandi, Mouigni Baraka, Ibrahim Mzimba et consorts

Par ARM

       Une bien étrange mort ravage les rangs des «politiciens Kleenex», ceux que jette après usage la dictature de Mitsoudjé. En effet, chaque fois qu’un politicard comorien croit vivre par le droit de cuissage et la politique de la cuisse légère face au dictateur Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», il est frappé de mort politique subite. La liste est longue.

En 2018, dans une inconstitutionnalité à faire mourir de honte les cancrelats, les furoncles, les hyènes, les putois et les chacals, quand le dictateur Assoumani Azali Boinaheri avait destitué le Gouverneur Salami Abdou Salami d’Anjouan, un élu, donc impossible en Droit à sanctionner par un limogeage, c’est le raciste aigri, haineux et irascible Abdallah Mohamed qu’il avait nommé «Administrateur provisoire de l’île d’Anjouan». Depuis les élections gubernatoriales qui n’ont pas eu lieu en 2019, personne n’a entendu parler du bandit. Il est mort et enterré politiquement. Que la terre lui soit légère…

Salim Saandi s’est prostitué jusqu’à la lie, au slip et protège-slips auprès du dictateur de Mitsoudjé, étant payé pour insulter les vrais opposants et s’autoproclamer «le seul et vrai opposant». Depuis son spectacle à Bête-Salamalecs, il a coulé politiquement comme le Titanic et le Joola réunis. Il est mort politiquement.

En allemand classique, on dit: «Es muss schrecklich sein, wenn Sängerin merkt, dass sie ihre Stimme verliert! Noch, schrecklicher aber, wenn sie nicht merkt!», «Ce doit être terrible quand une chanteuse s’aperçoit qu’elle perd sa voix. Mais encore plus terrible quand elle ne s’en aperçoit pas». Le faussaire, bordelier et proxénète Ibrahim Ali Mzimba, spécialisé dans le recrutement des mercenaires de l’injure et de l’insulte, a soutenu tous les excès et dérives de la dictature de Mitsoudjé, à un moment où les Comoriens ont besoin d’unir leurs forces pour lutter contre une dictature atroce et inhumaine. Aujourd’hui, plongé dans les affres de l’abandon par répudiation, il fait penser à une vieille prostituée reniée par son maquereau et proxénète. En Relations internationales, il avait été dit: «En rechignant à fournir des “aides à la coopération” qui soutiennent le train de vie de l’État, les anciens colonisateurs traitent l’Afrique comme une vieille maîtresse abandonnée à qui ils auraient pris tous ses bijoux et ses biens et à laquelle ils marchanderaient une chiche pension toujours jugée mal employée»: Monique Chemillier-Gendreau: Humanité et souverainetés. Essai sur la fonction nouvelle du Droit international, La Découverte, Collection «Textes à l’appui», Série «Histoire contemporaine», Paris, 1995, p. 151.

Saïd Larifou, l’homme RIDJA, est un autre «politicien Kleenex», un prostitué prêt à tout pour s’enfoncer dans le Mal si cela peut lui rapporter de l’argent. Il est mauvais. Il n’a pas de cœur. Il n’est pas humain. En décembre 2013, nous voici à une invitation chez Kamal Abdallah Salim, à Villejuif, en région parisienne. RIDJA me demanda d’entrer dans son parti politique, le RIDJA, alors que mon ami fraternel le Grand Docteur Ali Abdou Mdahoma expliquait doctement à un autre chef de parti politique: «Connaissant ma relation fraternelle avec ARM, tu me demandes de lui dire de devenir membre de ton parti politique. Comment peux-tu demander à ARM d’entrer dans ton parti politique alors qu’à lui seul, il est un parti politique?». Moi, j’avais regardé Saïd Larifou dans le blanc des yeux et lui avais dit d’un ton très ferme: «Si tu veux que je te rejoigne dans ton parti politique, prouve-moi d’abord ton sérieux ainsi que celui de ta formation partisane». Depuis, il ne m’a prouvé que le contraire de ce que j’attendais d’un homme sérieux dirigeant un parti politique sérieux. Il se ridiculisait dans les villages et hameaux en chantant «l’émergence à l’horizon 2030», sans connaître les conditions d’une émergence économique. «Avocat du gouvernement», il avait requis la peine de mort contre deux jeunes Mohéliens innocents dans l’affaire des clous sur la piste de «l’aéroport» de Mohéli, avait dirigé les «Assises nationales» de la honte et du mépris qui allaient servir à casser les Comores. Il avait soutenu l’emmurement du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, «l’assassinat» de la Cour constitutionnelle et de la Constitution du 23 décembre 2001 révisée le 17 mai 2009, et les autres excès et dérives de la dictature de Mitsoudjé. Aujourd’hui, il est un sous-marin de la dictature de Mitsoudjé au sein de l’Opposition nationale. Il est dépouillé de toute forme d’humanité et de dignité. Bien fait!

Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, est un autre filou et «politicien Kleenex». Depuis 2017, votre site préféré vous répète qu’il trahit l’Opposition nationale, mange dans la gamelle de la dictature de Mitsoudjé. Il a fallu qu’il soit reçu officiellement et publiquement par le dictateur Assoumani Azali Boinaheri en septembre 2022 pour que les hypocrites admettent enfin que votre site préféré avait raison, comme d’habitude. Depuis sa danse du ventre à Bête-Salamalecs, il est jeté dans les poubelles de l’Histoire, allant rejoindre les Abodo Soefo, Ibrahima Hissani Mfoihaya, Mohamed Abdou Mbechezi, Mohamed Issimaïla, Mohamed Abdouloihabi, Kiki, Ahmed Hassane El Barwane (dont l’excuse de sa trahison est: «Azali m’avait emprisonné, Azali m’a libéré»). Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, a deux buts dans sa vie: d’une part, voir mourir le Vice-président Mohamed Ali Soilihi, devenir chef de l’Opposition nationale, d’autre part, entrer dans le gouvernement à titre «d’opposition» pour disposer d’une voiture avec sirène hurlante et tout et tout… Il a vu officiellement le dictateur de Mitsoudjé, mais pour sombrer après dans l’oubli et dans le mépris des Comoriens, puisque chassé de l’Opposition nationale et ne représentant que sa médiocre et insignifiante personne. Il est mort politiquement, dans sa solitude.

Pour sa part, Djaffar Ahmed Saïd Hassani est bel et bien rentré aux Comores, après ses années d’exil, mais il a été happé par l’insignifiance, la médiocrité, l’anonymat, l’indifférence et le mépris de la population. Sa fin politique a été très lugubre.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Samedi 1er octobre 2022.


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