Voici le connaissement sur le rapatriement du corps!

Voici le connaissement sur le rapatriement du corps!

Le Consulat des Comores en Inde prouve le crime d’État

Par ARM

       Voici le connaissement sur le rapatriement du corps d’Attoumani Ali Hamidi, dit Foundi Attoumani, de New Delhi, en Inde, à Hahaya. Il est une nouvelle preuve de l’assassinat d’Attoumani Ali Hamidi par la dictature de Mitsoudjé pour que des organes soient prélevés sur lui pour être transplantés sur le corps cancéreux d’Idaroussi Hamadi dit «Tonton-m’a-dit», neveu du dictateur fou de Mitsoudjé et Régent des Comores, le prétendu «secrétaire général du gouvernement». Tous les documents présentés sur la mort d’Attoumani Ali Hamidi sont un tissu de mensonges, de contradictions et de manipulations d’amateurs.

       1.- Selon ces documents accusateurs, Attoumani Ali Hamidi est mort le 2 décembre 2019.

2.- Son corps a été rapatrié le 3 décembre et est arrivé aux Comores le 4 décembre 2019.

Des questions se posent.

A.- Une fois de plus, comment expliquer la rapidité avec laquelle Idaroussi Hamadi a réussi en moins de 24 heures à faire les rituels des morts et trouver un vol pour Hahaya, aux Comores, au départ de New Dehli, en Inde, le 3 décembre, via Addis-Abeba, en Éthiopie?

Donc, il s’agit d’un décès programmé et attendu. La rapidité supersonique avec laquelle cette affaire a été traitée intrigue les Comoriens. Elle est source d’interrogations légitimes. Le corps d’Attoumani Ali Hamidi a été traité et soigné selon un rituel musulman de rite sunnite d’obédience chaféite et rapatrié en un temps record, mais par qui? C’est surprenant, non?

B.- Que vient faire le Consulat général des Comores à New Delhi dans les démarches liées à la mort d’Attoumani Ali Hamidi? Depuis qu’existent les Comores, aucun Comorien décédé à l’étranger n’a bénéficié d’une telle rapidité et disponibilité d’un Consul comorien. Même si un ministre comorien en exercice meurt dans un hôpital étranger, son corps n’aurait jamais été rapatrié aux Comores en 24 heures. Impossible. Aucun corps de Comorien mort dans un hôpital de France, pays dont les Comoriens maîtrisent les arcanes et subtilités administratives, n’a été rapatrié aux Comores en 24 heures. Jamais! Qu’on se le dise!

Sur le connaissement, vous voyez la mention relative au Consulat général des Comores à New Delhi. Par cette mention, le crime est signé par la famille dictatoriale de Mitsoudjé.

C.- Le décès, dû à une prétendue «attaque cardiaque», justifie-t-elle l’interdiction faite à la famille d’ouvrir le cercueil et d’examiner le corps de l’assassiné Attoumani Ali Hamidi?

D.- Des témoins proches de la Confrérie des Renégats et des Criminels (CRC), l’association des malfaiteurs du dictateur fou de Mitsoudjé, déclarent n’avoir relevé aucune trace d’intervention sur le corps d’Attoumani Ali Hamidi, mais ont donné un détail très, très important: la trace d’une perfusion ou d’une injection est relevée sur l’avant-bras d’Attoumani Ali Hamidi. Est-ce ainsi qu’on guérit les «attaques cardiaques»?

E.- Les médecins pourraient nous dire si l’évolution de la médecine, avec l’utilisation du laser, nécessite l’ouverture du corps. Jusqu’à la preuve du contraire, les mensonges des tartuffes proches de la CRC n’évacuent pas les interrogations rationnelles soulevées.

F.- Idaroussi Hamadi n’a pas accompagné aux Comores le corps de son accompagnateur, a rapatrié et fait enterrer le corps d’Attoumani Ali Hamidi quand l’attention du peuple était braquée sur la conférence des «broyeurs des fonds», mais, en vain pour les assassins. L’enquête en Inde permettra de découvrir les saletés liées à cet assassinat. Naturellement, la dictature de Mitsoudjé a tort d’accuser votre site préféré de semer des troubles et de la zizanie.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Dimanche 8 décembre 2019.