• Home
  • /
  • actualite
  • /
  • Ton site s’est trompé sur Kamal Abdallah dans le Juwa

Ton site s’est trompé sur Kamal Abdallah dans le Juwa

Partagez sur

Ton site s’est trompé sur Kamal Abdallah dans le Juwa

Il n’a jamais été «l’homme de confiance» d’Ahmed Sambi

Par Mme Bahati Azihari

       Je suis une fidèle lectrice du site www.lemohelien.com depuis sa création en 2010. Cette fois-ci, je suis obligée de lui exprimer publiquement mon désaccord sur un sujet très sensible puisque touchant le Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, mon leader politique. Le vendredi 3 avril 2020, ARM, tu publiais un article intitulé «La disparition de Kamal Abdallah des réseaux sociaux – Cette disparition est inopportune, inexpliquée et inacceptable». ARM, dans ton article, tu as écrit imprudemment, et cela ne te ressemble pas: «Kamal Abdallah Salim, homme de confiance de l’ancien Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi», «Pour lui, en cette période de lutte, ce qui compte en plus de la sincérité de l’engagement politique, c’est la confiance d’Ahmed Abdallah Mohamed Sambi». Mais, ARM, où es-tu parti chercher tous ces mensonges? Ce sont des mensonges, sans queue, ni tête. Ton ami Kamal Abdallah Salim est tombé au Juwa comme un cheveu sur la soupe, pour des intérêts personnels, sans la moindre relation avec notre parti. Il n’a jamais été «l’homme de confiance de l’ancien Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi». Son engagement au Juwa n’a jamais été sincère.

Il passe son temps à faire des coups d’État dans les organisations politiques et à s’y faire chasser. Il a été chassé de leurs rangs par les Soilihistes pour son putschisme permanent. Il s’était attribué abusivement la fonction de «Directeur du Cabinet» de Soilih Mohamed Soilihi au Comité national de Transition (CNT) sans mandat, ni autorisation, et Soilih Mohamed Soilihi était obligé de se séparer de lui. Aujourd’hui, sa fameuse «disparition» n’est ni anodine, ni innocente. Elle est le fruit d’une démarche machiavélique et du double langage.

Au sein du Parti Juwa, sa trajectoire relève du n’importe quoi. Notre Parti Juwa est fondé sur des principes démocratiques, des règles et un mode de fonctionnement clairs, tous précisés dans les Statuts et complétés par le Règlement intérieur. Pour ne pas m’éterniser sur un sujet que nous devrions tous maîtriser, je souhaite juste rappeler qu’au sein du Parti Juwa, il n’existe qu’un seul Secrétaire général, élu par les militants. Et si, dès le départ, le nom de «Coordinateurs» a été choisi pour désigner les représentants du Parti dans les îles de l’Archipel des Comores, en France et ailleurs, c’est bien pour éviter les amalgames qui auraient pu en découler avec la fonction de Secrétaire général du Parti Juwa.

J’étais donc désagréablement surprise d’apprendre qu’un adhérent du Parti en France, Kamal Abdallah Salim, en l’occurrence, se faisait appeler «Secrétaire général du Parti Juwa en France», s’attribuant ainsi et de manière arbitraire et illégale au regard des textes du Parti Juwa, une fonction qui n’existe pas et qui, pis, était une tentative d’antagonisme destructeur avec le Secrétaire général du Parti Juwa, M. Ahmed Hassane El-Barwane. En s’autoproclamant «Secrétaire général du Parti Juwa en France», cet adhérent tentait de se mettre sur un pied d’égalité avec notre Secrétaire général incontesté et élu démocratiquement, sous nos yeux. Cet abus était dangereux pour la cohésion du Parti Juwa. Il était donc important de revenir aux Statuts du Parti et de faire élire un Coordinateur du Parti Juwa en France, en toute transparence. Nous étions obligés de mettre fin aux désignations de complaisance de nos représentants en groupe restreint et par voie téléphonique.

Je finirais mon coup de gueule et de sang en fustigeant l’hostilité récente et l’animosité injustifiée de Kamal Abdallah Salim envers Maître Fahmi Saïd Ibrahim à la suite d’une interview pourtant claire que ce dernier avait accordée à Daoud Halifa sur les fausses et mensongères élections présidentielles meurtrières du 24 mars 2019 et sur les prochains scrutins. Je veux juste rappeler que Maître Fahmi Saïd Ibrahim était arrivé au troisième rang lors de l’élection présidentielle de 2016, mais avait été spolié par l’ennemi mortel Hamada Madi Boléro, qui n’a jamais été élu, et qui préparait une fraude dégueulasse en faveur de son Dieu Azali Assoumani. Il est triste de constater qu’aujourd’hui, Maître Ahamada Mahmoud, que personne ne connaissait avant la mascarade criminelle du 24 mars 2019, se sert du Parti Juwa et du nom du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, sans avoir la légitimité électorale et politique de Maître Fahmi Saïd Ibrahim. Ce dernier est détesté par certains parce qu’ayant l’oreille et la confiance du Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi.

Par Mme Bahati Azihari

Le copier-coller tue la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com– Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Jeudi 9 avril 2020.


Partagez sur

Laisser un commentaire

Time limit is exhausted. Please reload CAPTCHA.