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Saïd Larifou, tombé de Charybde en Scylla, est en enfer

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Saïd Larifou, tombé de Charybde en Scylla, est en enfer

Le mendiant du RIDJA, chaque jour isolé, maudit et vomi

Par ARM

      Saïd Larifou a décidé de rester dans le déshonneur et la médiocrité. Il a choisi de rester dans le statut infâme et infâmant du politicard maudit et damné. Entré en politique en 2000, il est resté l’égal de lui-même, incapable de se faire élire, de faire élire autrui et d’être un acteur politique digne de ce nom. Or, quand au début des années 2000, il entra en opposition contre le régime politique anticonstitutionnel et illégitime du «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger», il avait suscité l’espoir. Mais, l’homme qui représentait l’espoir pour l’État de Droit et la démocratie aux Comores est devenu un vulgaire «Oumou Choukara» («l’homme au sac»), un épicier, dans le darija du Maroc. Ce qui est encore plus désolant, c’est que «Oumou Choukara» est devenu «Oumou Zbal», «le propriétaire ou l’homme aux ordures», un ramasseur d’ordures.

Comme il opère en bande organisée, il a pour complice, comparse, lascar, copain et larron en foires, l’inégalable et inimitable Grandissime Docteur Sounhadj Attoumane, le Docteur des Docteurs, le cardiologue des cardiologues. Saïd Larifou a ses origines à Foumbouni, et son complice en mendicité est marié à une femme de Foumbouni. Cherchez l’erreur… Créateur de la «citoyennetologie» contre l’insularité, le Grandissime Docteur Sounhadj Attoumane a rendu à son île natale d’Anjouan l’immense service de ne pas être enterré dans son village d’origine, mais d’être incinéré à Foumbouni. Il a trouvé en Saïd Larifou l’homme qui allumera son bûcher s’il meurt avant lui. Autrement, il faudra qu’il désigne un deuxième exécuteur testamentaire en crémation.

Les 2 lascars sont partis à Anjouan avec la ferme intention de faire désigner par la fraude, la rapine et dans l’illégalité un représentant de l’île au Comité de Pilotage des Assises de la haine et du mépris envers Mohéli et Anjouan, et cela, non pas par le Conseil de l’île mais par un prétendu «collectif des élus». La magouille illégale de ces 2 voyous a «réussi».

Après, les deux voyous du testament crématoire sont partis à Bambao, où ils ont défoncé la porte chez autrui pour aller organiser un meeting sur leurs assises. L’affaire est désormais entre les mains de la Justice, mais n’ira pas loin puisque le mendiant Saïd Larifou boit l’eau des slips du «concubinocrate» Azali Assoumani Boinaheri, tandis que le mendiant Sounhadj Attoumane a un droit de propriété sur l’eau de ses chaussettes. Cette triste équipée de Bambao fait dire à la femme de la Réunion qui était militante du RIDJA, le parti mort-né de Saïd Larifou, et qui en a rendu la carte par dégoût envers ce «lèche-bottiste» spécialisé dans le «lèche-bottisme» le plus obséquieux: «J’ai appris cette affaire de Bambao. Elle n’est pas étonnante de la part de Sounhadj Attoumane, le faux cardiologue qui ne peut même pas soigner son propre cœur et qui tue ses malades sans qu’il ne soit dénoncé.

      Mais, de Saïd Larifou, malgré le dégoût qu’il suscite en moi, j’avoue que je m’attendais encore à un peu de retenue, non pas dans les objectifs mais au moins dans la manière de les réaliser. L’élégance est une chose qui sied à un gentleman, quel que soit le contexte, même devant l’échafaud ou le peloton d’exécution. Alors, l’abus de pouvoir ou d’une position dominante ne saurait s’expliquer du point de vue d’un juriste. Mais, est-il un vrai juriste? Non! En me bouchant le nez, j’ai pris la peine d’écouter Saïd Larifou dans une émission en direct sur Facebook. Il est dans la dénégation et les injures devant ses contradicteurs, et arbore une certaine “intellectualité” hautaine et injurieuse, en guise de réponse».

Oui, maintenant, Saïd Larifou injurie, insulte, dénigre et bouscule par des mots méprisants ceux qui ne pensent pas comme lui. Mais, sur Internet, la vidéo a reçu plus de 7.000 visites en 3 heures, et 500 commentaires de colère contre l’homme qui n’a pas été capable de gérer son cabinet d’avocat mais qui prétend que les Comores, l’un des pays les pauvres de l’univers, vont devenir «un pays émergent à l’horizon 2030» dans la corruption et l’incompétence. Saïd Larifou doit savoir que la principale île de Singapour a une superficie de 584 km² pour une population totale de 5.535.000 habitants. Singapour a un PIB nominal par habitant de 55.182 dollars (8ème rang mondial). Son PIB (PPA) par habitant est de 78.762 dollars (3ème rang mondial). Singapour a un PIB nominal de 177,13 milliards de dollars et un PIB (PPA) de 239,97 milliards de dollars. Or, le PIB nominal des Comores est de 557 millions de dollars, et le PIB (PPA) de 753 millions de dollars. Singapour est un pays émergent, et le non-bachelier Saïd Larifou voit les Comores arriver à son niveau «à l’horizon 2030». Allons bon…

Au Maroc, l’homme d’affaires Mohamed Karim Lamrani a été Premier ministre dans 6 gouvernements, sous Roi Hassan II (années 1970, 1980 et 1990). Il avait été le Directeur de l’Office chérifien des Phosphates (OCP), la plus grande entreprise publique du pays. Le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale connaissent sa compétence et l’appréciaient. On prétend qu’il n’avait pas préparé son Baccalauréat. Ce n’est pas une injure. Saïd Larifou aussi n’a pas préparé son Baccalauréat, mais se signale sur le champ public comorien comme un cancre pathologique doublé d’un vaurien. Il se dit juriste, mais viole la Loi chaque jour et se fait le complice d’un violeur de la Loi. Un juriste ne viole jamais la Loi.

Plus grave encore, alors que les Comores ont l’une des gestions publiques les plus calamiteuses du monde, ce Saïd Larifou ose prétendre dans les hameaux, villages et villes que le «ventriote» Azali Assoumani Boinaheri, dirigeant nullissime, incompétent et corrompu, va faire des Comores «un pays émergent à l’horizon 2030» par la prévarication, la concussion, le droit de cuissage et l’incurie. Dès lors, les Comoriens comprennent pourquoi il a conduit son cabinet d’avocat au fond du trou et doit 2 millions d’euros (1 milliard de francs comoriens) au Fisc à la Réunion. En 2015, il était devenu le porteur de stylos de l’ancien Président Ahmed Sambi, et cela non pas par conviction, mais par mendicité. L’ayant bien compris, Ahmed Sambi avait été littéralement scandalisé par un comportement aussi méprisable. De fait, le Comorien plaçant un gramme d’espoir en cet individu finira par verser des larmes de sang.

Il est mauvais. Comment comprendre qu’un Grand-Comorien, en Grande-Comore, se fait loger à l’Hôtel Itsandra par Mohamed Ali Soilihi de février à mai 2016, alors que le Mohélien en mission à Moroni refuse de passer plus d’une nuit à l’hôtel, restant auprès des membres de sa famille vivant dans la capitale comorienne? Qui est ce Grand-Comorien qui veut paraître crédible et qui se fait loger à l’hôtel sur sa propre île, se fait attribuer de l’argent de poche? Comment peut-on prendre au sérieux un Saïd Larifou qui disait soutenir Mohamed Ali Soilihi lors du second tour de l’élection présidentielle de 2016, mais qui demande des millions de francs comoriens pour participer à la rédaction du recours de «son» candidat, dont il attendait un poste ministériel, de préférence, le ministère des Affaires étrangères? Saïd Larifou est tombé tellement bas qu’on est obligé d’avoir honte à sa place. Il est foncièrement mauvais. Il est le seul Foumbounien du monde qui ne connaît pas le sens des valeurs et de l’honneur.

Quant au Grandissime Docteur Sounhadj Attoumane, il est une hyène du Ferlo pataugeant dans l’ingratitude. C’est Ahmed Sambi qui l’avait tiré du ruisseau. Avant qu’Ahmed Sambi n’en fasse un homme, il était un simple maquignon. Aujourd’hui, il a des costumes, même de mauvais goût, coupés dans la mauvaise étoffe, et se croit arrivé. Quand il voulait défendre sa «nièce» que les mauvaises langues désignent comme sa maîtresse, il faisait des pleurnicheries larmoyantes, disant à Ikililou Dhoinine qu’avant, la fille aînée du maître des Mohéliens de Bête-Salam l’appelait Tonton. Les Comores sont devenues la «Ripoux-blique» des Tontons.

Un jour Saïd Larifou et le Grandissime Docteur Sounhadj Attoumane tomberont ensemble. «Le crime pédérastique aujourd’hui ne paie plus», chantait Georges Brassens.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mardi 2 décembre 2018.


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