Riche mère maquerelle Soilahdine Saïd Ahmed Cheikh
Il a volé les millions d’un projet de gaz financé par la COI
Par ARM
Le pays de «l’émergence verbale et dansante», chère au danseur du ventre Saïd Larifou, va de scandale en scandale. Le dernier scandale en date, non encore connu des Comoriens, en est un spécimen digne de la plus bananière des «Ripoux-bliques» et des «Républiquettes». Pour comprendre la nature et l’étendue du nouveau désastre, commençons par le commencement. Le projet d’une microcentrale électrique à base de biogaz est financé par la Commission de l’océan Indien (COI), à hauteur de 70.000.000 de francs comoriens, soit 140.000 euros. Une première tranche, de 23 millions de francs comoriens, est déjà débloquée par la COI.
Le projet en question devrait être financé par différents partenaires. Le principal bénéficiaire du Projet Biogaz est la Marie de Moroni, propriété personnelle de Kiki, l’ancien docker de Dunkerque. Ne trouvez-vous pas que tous les projets d’électricité destinés à la Mairie de Moroni tournent en eau de boudin?
Continuons…
Le Bureau géologique des Comores (BGC) est chargé d’assurer le suivi technique dudit projet. Malheureusement, l’ivrogne Soilahdine Saïd Ahmed Cheikh, Directeur général du BGC, a volé plus de la moitié des fonds à d’autres fins, notamment pour la location d’une voiture, à hauteur de 25.000 francs comoriens par jour, et cela fait déjà plus de trois mois. Faites les calculs. D’un rare narcissisme arrogant et sûr de son bon «droit», dans la mesure où il est la mère maquerelle de Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Assez! Assez!), qui l’a nommé à un poste où il n’a aucune espèce de compétence, il refuse la voiture de fonctions, pourtant en bon état. Monsieur a des goûts.
Mystérieusement, le véhicule loué appartient à la famille de la Directrice administrative et financière du BCG. Cherchez l’erreur… Un audit est déjà diligenté par la COI. Un rapport sera remis aux autorités d’ici peu. Les travaux d’installation de la microcentrale de biogaz sont arrêtés à cause de l’indifférence et du sabotage de l’ivrogne Soilahdine Saïd Ahmed Cheikh, car il n’en est pas l’initiateur. Ce mégalomane incompétent remet en cause tous les projets initiés par Naoildine Houmadi, l’ancien Directeur général du BGC. Tant qu’il reste la mère maquerelle de Djaafar Ahmed Saïd Hassani (Ouf! Ouf!) et de son frère Bahassane Blablas, il sait qu’il ne court aucun risque. Le rapport d’audit le concernant finira dans les chiottes…
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Dimanche 14 janvier 2018.
