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Saïd Larifou est devenu le phacochère de Birago Diop

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Saïd Larifou est devenu le phacochère de Birago Diop

Tombé du tomatier, il porte des boubous et des chapelets

Par ARM

     «C’est aujourd’hui que je me rends compte que ce rigolo de Saïd Larifou est vraiment détesté et méprisé par les Comoriens». Ce mot est d’Ibrahim Ali Mzimba, son frère en mendicité et en obséquiosité servile auprès de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé. Il date du 7 juin 2013.

De nouveau, on découvre que ce serpent est l’un des êtres vils les plus détestés et méprisés des Comores. L’arrestation de Saïd Larifou à La Réunion a déchaîné les Comoriens, et l’affaire va au-delà des Comores. On en parle partout. La presse de La Réunion fait ses choux gras des malheurs de «l’avocat du gouvernement comorien», «porte-parole de la Mouvance présidentielle» et mère porteuse de «l’émergence à l’horizon 2030». Elle est même arrivée à filmer l’escroc du RIDJA et de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé dans ses malheurs actuels. Sur ces images historiques, on voit le prisonnier de La Réunion portant un boubou blanc et une coiffure traditionnelle de marabout, lui qui a toujours porté des costumes d’un bleu douteux, de mauvaise coupe, cousus dans la mauvaise étoffe rassemblant à du placenta de chienne, puant la naphtaline et confectionnés dans des bouis-bouis de quartiers mal famés.

Le prisonnier avait eu un court moment de répit, sa sœur étant morte à La Réunion. Sur les images, on voit le mendiant du RIDJA portant un boubou blanc. C’est de la tartufferie pure, surtout de la part de ce Chrétien par intérêt, membre de la secte chrétienne Les Témoins de Jéhovah. Cet œcuménisme vestimentaire a scandalisé et dégoûté les Comoriens. La grande gueule du RIDJA est tombée du tomatier, poursuivie du mépris et des sarcasmes des Comoriens.

Cet individu est devenu le phacochère que l’écrivain sénégalais Birago Diop présente sous les traits d’un marabout arborant un chapelet de gigantesques dimensions, un bonnet de taille monstrueuse et un boubou très voyant afin de donner les apparences de la religiosité et de la piété: «Tel est le roi sans trône. Le roi déchu se fait marabout. Confit en dévotion, il recherche dans la religion sa supériorité perdue. Son gros chapelet, son grand bonnet, son boubou voyant en imposent au commun. Sa splendeur passée, croit-il, ne meurt pas ainsi entièrement, puisque l’on parle encore de lui et qu’on le vénère. Sa dévotion n’est qu’extérieure. Rendez-lui son trône, il oublie ses prières. Un roi ne peut être religieux»: Birago Diop: Les Contes d’Amadou Koumba, Présence africaine, Paris, 1961, p. 163.

On ne sait pas si le bandit du RIDJA sera maintenu dans ses fonctions de mendicité par le «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». En tout cas, même s’il ne sait pas ce que signifie le mot «honte», il doit savoir que les documents que s’envoient le plus les Comoriens sur les réseaux sociaux en ce moment sont ceux concernant sa disgrâce. J’en reçois des dizaines sur chaque document. D’autres criminels gravitant autour de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé vont tomber aussi.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Jeudi 13 septembre 2018.


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