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Saïd Hassane Saïd Hachim énerve Mouzaoir Abdallah

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Saïd Hassane Saïd Hachim énerve Mouzaoir Abdallah

Le changement de régime politique avant toute transition

Par ARM

       L’opposition nationale comorienne a besoin de son unité et de sa combativité pour bouter hors de Bête-Salam le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Or, certains membres de l’opposition sont abonnés aux petits calculs de rats. Cachés du côté de la Canebière, restés dans l’immobilisme pendant que les autres travaillent à la chute de la dictature de Mitsoudjé, les faiseurs de petits calculs de rats croient savoir qu’ils sont en mesure de chasser du pouvoir le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri par la pensée, les mots de salon et d’Internet, et les combines de derrière le fagot. Sans se soucier d’abord de chasser le dictateur fou de Mitsoudjé, ils ont déjà planifié leur transition, qu’ils voudraient faire diriger par l’homme d’État Saïd Hassane Saïd Hachim. Cependant, le Doyen Mouzaoir Abdallah a eu vent de cette affaire et a dit deux mots: «Non! Moi!». On voudrait sonder le Sultan Hachim Saïd-Hassane Ben Saïd Hachim Ben Sultan Mouigni Mkou. Mais, ce dernier est injoignable au téléphone.

Mouzaoir Abdallah

La transition est une très bonne chose. Tous les Comoriens la souhaitent. Mais, comment pouvoir la mettre en place si on laisse en place le dictateur fou de Mitsoudjé? Ce qui suppose que, au lieu de se lancer dans des comptes d’apothicaire, toutes les forces vives du pays doivent se focaliser sur un seul et unique objectif: la chute de la dictature. Même par magie noire, «maraboutage», sorcellerie, chamanisme et autres pratiques occultes, aucune transition politique n’aura lieu tant que le dictateur fou de Mitsoudjé ne sera pas combattu à mort, et tant que l’opposition n’aura retrouvé son unité sous la houlette d’un leader crédible et capable de faire cohabiter loups et agneaux: Mohamed Ali Soilihi. Mais, les comploteurs de la Canebière mettent la charrue avant le bœuf, et se plantent en beauté. Les Comoriens veulent se savoir entre les mains d’une opposition sérieuse et non de prétendus opposants qui se cachent pour aller mendier chez le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri. Qu’on se le dise!

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Mercredi 1er janvier 2020.


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