Faux-monnayeur, faux cardiologue et vrai pédéraste
Daoud Halifa, Sounhadj Attoumane et Mahmoud S. Hafi
Par ARM
Dans les rangs des «lèche-bottistes» de la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé, les pique-assiettes font tout ce qu’ils peuvent pour se sentir «utiles». C’est ainsi que, toute honte bue, le «Docteur» et «cardiologue» Sounhadj Attoumani, qui envoie régulièrement ses patients à une mort prématurée, a traité son bienfaiteur, l’ancien Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, de «grand voyou». Il l’a fait uniquement pour plaire au voyou international et faux-monnayeur mondial Daoud Halifa dit «Daoud faux dollars», comme on l’appelle communément à Moroni, lorsqu’il s’agit de parler de ce Daoud-là. Les plus gentils l’appellent désormais «Daoud Viagra», à cause de l’usage immodéré qu’il fait de ce produit.
Sounhadj Attoumane oublie un peu trop facilement qu’il n’était rien et que c’est Ahmed Abdallah Mohamed Sambi qui l’a tiré de la médiocrité, de l’anonymat, du ruisseau, de la fange, du néant et du caniveau. Le même Sounhadj Attoumane était un mendiant professionnel auprès d’Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Il s’est enrichi en exerçant comme faux médecin et comme faux cardiologue. Sounhadj Attoumane est un faux médecin, un faux cardiologue, mais un vrai tueur professionnel. Il tue ses patients par son incompétence. Il mord la main qui l’a nourri, celle d’Ahmed Abdallah Mohamed Sambi.
Pour ce qui est du faux-monnayeur international Daoud Halifa dit «Daoud Viagra», il a réalisé les finitions de son château sur les hauteurs entre Mdé et Mkazi en s’appropriant le budget, en tant que Trésorier de la campagne du référendum constitutionnel du 17 mai 2009, sous la présidence d’Ahmed Abdallah Mohamed Sambi. Aujourd’hui, il insulte bêtement et inutilement Ahmed Abdallah Mohamed Sambi.
Pour sa part, Sounhadj Attoumane vient d’avouer qu’il avait toujours menti par omission, en laissant croire qu’il était originaire de Bimbini, Anjouan, comme d’ailleurs Mahmoud Salim Hafi, surnommé «Madame B.», le «B.» étant employé perfidement en référence à ce séparatiste qui sera candidat à l’élection du Gouverneur d’Anjouan en 2016, et qui est son mari de longue date. La chose se sait partout à Anjouan, et le Tout-Mutsamudu en parle en ricanant. D’ailleurs, ce Mahmoud Salim Hafi-là, qui aime insulter ceux qu’il appelle «les campagnards inintelligents», ne dira jamais exactement où il est né, et pour cause! À Anjouan, on l’attend au virage.
Mais, voilà encore Mahmoud Salim Hafi qui vocifère et grogne comme un porc, et ce, pour accuser le mouvement patriotique Ndzouani en Marche (NEM) de «séparatisme». Ce Mahmoud Salim Hafi-là avait été dépêché à Moroni en compagnie de Moustadrane Abdou «Mafitsi» («Foutaises») comme représentants de la République séparatiste d’Anjouan par le Lieutenant-colonel Saïd Abeid Abderemane, Président de l’île, pour négocier avec l’équipe du putschiste, mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Déjà, à l’époque, Mahmoud Salim Hafi dit «Madame B.» avait pour mission de jouer aux aboyeurs de service pour impressionner Bête-Salam. Lui et sa petite bande de pédés se firent remarquer et corrompre par le futur fugitif international Hamada Madi Boléro, qui les enrôla depuis dans la caravane du «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri.
Au fait, que devient le séparatiste Boicho, le chouchou du «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri à Anjouan et grand «ami» de Mahmoud Salim Hafi? Il avait bien été candidat à l’élection gubernatoriale d’Anjouan en 2016? Conclusion…
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Jeudi 3 janvier 2020.
