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Hamada Madi Boléro, meilleur Comorien pour la COI

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Hamada Madi Boléro, meilleur Comorien pour la COI

L’éternel premier de la classe, l’homme qu’il faut à la COI

Par ARM

     Les crypto-sambistes détestent Hamada Madi Boléro. C’est un fait. Ils n’existent que pour le haïr bêtement, pour le dénigrer par simple méchanceté et le calomnier de façon pavlovienne par jalousie. Pourtant, au sein du Parti Bidoche d’Ahmed Sambi, bastion des faussaires des diplômes, il n’y a personne qui serait digne d’essuyer la poussière des chaussures de Hamada Madi Boléro, qui a plus marqué la politique comorienne que tous les crypto-sambistes réunis. D’ailleurs, la rupture entre les crypto-sambistes et le Président Ikililou Dhoinine est due pour l’essentiel à la nomination, le 12 octobre 2012, de Hamada Madi Boléro à la fonction de Directeur du Cabinet du Président chargé de la Défense, une nomination qu’il a largement méritée, du fait de son profil intellectuel et professionnel. Ce profil, on ne le dira jamais assez, allie des vrais diplômes, un capital culturel de bonne facture à une expérience étatique très riche et dense. Pourtant, par réflexe pavlovien, dès qu’ils apprirent la marche du Mohélien vers le secrétariat général de la Commission de l’océan Indien (COI), les crypto-sambistes, emportés par leur haine légendaire, perdirent toute forme de sang-froid et de dignité, et choisirent de contester bêtement sa capacité pourtant absolument réelle à diriger cette organisation sous-régionale. Naturellement, ils ont de nouveau tort en se vautrant dans la bêtise crasse et dans la jalousie.

     C’est ainsi que le mercredi 27 janvier 2016, les crypto-sambistes écrivaient haineusement sur leurs blogs haineux spécialisés dans la propagation de la haine: «Comores/Secrétaire général COI. Boléro a-t-il le bon profil?». Il ne fut donné aucune explication à ce titre, mais on voit une vidéo sur laquelle apparaît Hamada Madi Boléro au sujet de la participation de Mayotte aux Jeux des Îles de l’océan Indien, alors que l’éternel premier de la classe n’a jamais défendu des intérêts autres sur ce dossier que ceux des Comores. Et, le samedi 13 février 2016, les crypto-sambistes sont bêtement revenus sur leur sujet de prédilection, Hamada Madi Boléro, et ont écrit: «Boléro s’en va. Beït-Salam: Le laborantin s’en va. Comme nous l’avons annoncé il y a quelques semaines, le chef de laboratoire de Beït-Salam, M. Boléro, vient de quitter son poste de Directeur de Cabinet chargé de la Défense pour partir sous d’autres cieux. Tout le monde sait qu’il est pressenti depuis longtemps au secrétariat général de l’océan Indien. Le chef laborantin du Docteur Ikililou vient d’être récompensé pour services rendus. Il a sacrifié son pays et le voilà récompensé». Tout ça est un tissu de mensonges haineux. D’abord, ce ne sont pas les crypto-sambistes qui ont annoncé le départ de Hamada Madi Boléro vers la COI, mais le site www.lemohelien.com, et cela depuis 2015, et le fait est de notoriété publique. Ensuite, il aurait fallu que les crypto-sambistes, le cœur ravagé par la haine et la haine baignant dans la détestation, expliquent aux Comoriens en quoi Hamada Madi Boléro «a sacrifié son pays», en citant des faits précités.

     Les allégations mensongères des crypto-sambistes manquent totalement d’intelligence et de pertinence parce que Hamada Madi Boléro est aujourd’hui le Comorien le mieux outillé sur les plans intellectuel et professionnel pour diriger la COI, et cela a été attesté par le fait que les manœuvres souterraines et perfides d’Ahamada Ahamadi, secrétaire général du ministère comorien des Relations extérieures, pour se faire nommer lui-même à la tête de la COI après avoir fait chou blanc quand il voulait le poste de patron de la Brigade Est-africaine, ont lamentablement échoué et ont eu pour effet de faire ridiculiser le petit épicier aigri de Mohoro. Parallèlement, les magouilles clandestines et sournoises du même Ahamada Ahamadi pour faire coopter Abdou Souefou à la tête de la COI, via le Docteur Abdoulkarim Mohamed, «ministre de la diplomatie», ont également fait pschitt. Lamentablement. Et cette tentative de remplacer le dossier de candidature de Hamada Madi Boléro par celui d’autres personnes n’avait plu ni à Beït-Salam, ni aux instances de la COI. Échec et mat donc. À l’opposé, la candidature de Hamada Madi Boléro ne pose aucun problème, bien au contraire. Pourquoi?

     La chose a son explication logique. D’abord, sur le plan intellectuel, Hamada Madi Boléro est reconnu pour ses talents de juriste et pour l’authenticité de ses diplômes, pendant que ses détracteurs sont précédés de leur réputation infâme de faussaires de diplômes universitaires, et cette mauvaise réputation a dépassé les frontières de la Terre pour atteindre celles de tout l’univers, même au fin fond de l’espace et des galaxies les plus éloignées. Hamada Madi Boléro a été formé en Ukraine, à l’époque soviétique, par les meilleurs spécialistes en Relations internationales, et a obtenu l’équivalent d’un Master 2. Par la suite, il partit se perfectionner à Bordeaux en matière de techniques et procédures constitutionnelles et parlementaires, réalisant une très belle jonction entre deux domaines de base du Droit public. Qu’on se le dise! Les crypto-sambistes n’ont personne ayant ce profil, sinon qu’ils présentent leur perle rare aux Comoriens.

     Ensuite, sur le plan professionnel, Hamada Madi Boléro est l’homme du grand chelem. Son premier poste aux Comores? Conseiller juridique à l’Assemblée fédérale. Par la suite, il connut une ascension politique et professionnelle tout simplement fulgurante: Directeur du Cabinet du Président chargé de la Défense, ministre de la Défense, Premier ministre, Président de la République par intérim, premier Directeur général de la Télévision nationale des Comores, Professeur à l’Université des Comores, consultant attitré de nombreux Députés comoriens, et de nouveau, Directeur du Cabinet du Président chargé de la Défense. Le Colonel Abderrahmane M’Zali, Docteur en Science politique, expert marocain en matière de Défense et de Diplomatie et ancien diplomate à Londres, a écrit sur l’éternel premier de la classe des Comores: «Les Comores, sous Azali Assoumani (1999-2006), collaboraient avec les États-Unis en matière de “lutte contre le terrorisme”. Mais, quand le ministre de la Défense, Hamada Madi Boléro, leur interlocuteur privilégié, démissionna du gouvernement en 2005, ils arrêtèrent le programme, faute d’interlocuteur sérieux et crédible. Hamada Madi Boléro connaît mieux que quiconque aux Comores les enjeux de la “lutte contre le terrorisme”»: Abderrahmane M’Zali: La coopération franco-africaine en matière de Défense, L’Harmattan, Collection «Études africaines», Paris, 2012, p. 416. Alors, quand, sur la base de documents diplomatiques authentiques, un vrai expert écrit de telles choses, et quand, par la suite, on apprend de ceux qui n’ont même pas un DEUG des bêtises, on n’a aucune envie d’aller plus loin. Soyons sérieux! Seul un expert peut juger un expert. Le reste relève des blablas de gnangnans.

     On l’aura compris: à lui seul, Hamada Madi Boléro a plus d’expérience étatique que les 20 premiers dirigeants crypto-sambistes. Alors, il faudra que ces gens haineux, narcissiques, pompeux et prétentieux expliquent sérieusement aux Comoriens pour quelles raisons ils osent s’interroger (par réel objectif de dénigrement et de mépris) sur un homme à la fois très instruit et très expérimenté, plus instruit et plus expérimenté qu’eux tous réunis. Si les crypto-sambistes devaient répondre à la question, ils ne pourraient expliquer leur comportement que par le fait qu’ils ne savent s’exprimer que par le mépris envers les autres. Hier, quand ils étaient à la tête des Comores, ils ont lamentablement échoué, et aujourd’hui, toute honte bue, ils jouent aux donneurs de leçons tellement complexés par leur infériorité qu’ils essaient de faire passer celle-ci pour un complexe de supériorité de décomplexés.

     Au surplus, Hamada Madi Boléro est un interlocuteur dont l’engagement sur tout dossier diplomatique rassure les partenaires des Comores. Quand les chancelleries voient arriver Hamada Madi Boléro à une négociation diplomatique, elles savent par avance qu’elles vont dialoguer avec un interlocuteur redoutable et maîtrisant ses dossiers et non un péteux saisi de tremblement comme une feuille morte sous l’effet du vent et tout juste bon à quémander des tapis de prière pour les mosquées. Les chancelleries n’aiment pas qu’on dépêche auprès d’elles des fantoches et des incompétents. Donc, les autorités comoriennes ont fait un choix raisonnable en optant pour Hamada Madi Boléro pour diriger la COI.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Lundi 15 février 2016.


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