Nous vous l’avions dit: n’enterrez pas vite Boléro!
Assoumani Azali le haït mais ne peut se passer de lui
Par ARM
Maintenant, vous comprenez? Le vendredi 21 août 2020, votre site préféré publiait un article intitulé «“Ce mort aura la vie dure, ce mort aura le dernier motˮ. Enterrer prématurément Hamada M. Boléro est une faute». Il était absolument nécessaire d’attirer l’attention de ceux qui s’étaient autoproclamés croquemorts du fugitif international de Hamada Madi Boléro et qui l’avaient enterré politiquement avant sa mort politique. Ces gens-là avaient interprété des petits gestes anodins et avaient tiré la conclusion selon laquelle l’ancien secrétaire général de la Commission de l’océan Indien (COI) était politiquement fini. Certes, l’entourage du dictateur Assoumani Azali Boinaheri a déjà creusé sa tombe. Certes, c’est le tyran Assoumani Azali Boinaheri lui-même qui a fourni les pelles pour creuser cette tombe, après y avoir installé une bombe devant déchiqueter le cadavre et des braises devant brûler le reste. Mais, dans le jeu politique du dictateur aux abois, sans gouvernement, son voyou insubmersible en Mal absolu et inoxydable en Misanthropie, le fugitif international Hamada Madi Boléro, a toute sa place. Il dit pouvoir appeler le secrétaire général de l’ONU et les dirigeants des grandes puissances pour régler tous les problèmes du dictateur fou.
Exhibition du Diplôme du Mal
Nous avons tous vu la vidéo dans laquelle le dictateur Assoumani Azali, petit-fils du défunt Boinaheri, disait qu’il croyait que le fugitif international Hamada Madi Boléro était un homme de confiance avant de découvrir qu’il ne l’était pas. Eh bien, aujourd’hui, il décore «cet homme brillant, qui a servi son pays avec dévouement, et a contribué au rayonnement des Comores dans le monde». «Brillant», le fugitif international Hamada Madi Boléro? «Brillant» en quoi? En fraudes électorales, méchancetés gratuites, haines inutiles, détestations stupides, incompétence camouflée dans l’autocélébration et l’autoglorification, oui. «Servi son pays avec dévouement», non! Servi le dictateur Assoumani Azali Boinaheri avec aveuglement, zèle et fanatisme, au point de violer 1.000 fois la Constitution, la morale et l’éthique, oui. «Contribué au rayonnement des Comores dans le monde» par son incompétence notoire à la COI? Voilà une façon très singulière de faire passer l’incurie pour de la compétence de haut niveau. Le fugitif international Hamada Madi Boléro est un incompétent notoire qui choisit un public de gens qui ne comprennent rien aux affaires publiques pour vanter ses «mérites» imaginaires.
Ce mercredi 26 août 2020, le fugitif international Hamada Madi Boléro a prouvé qu’il n’a rien compris. Il recevait la décoration faisant de lui Chevalier (comment appelle-t-on déjà celui qui monte non sur un cheval mais sur un âne, un âne rouge?) de l’Ordre du Croissant Vert des Comores. Il aurait dû écouter le mot de circonstance prononcé par son satrape personnel Assoumani Azali Boinaheri, et dire à la fin «Merci, Monsieur le Président», surtout que le tyran dit ne pas supporter sa tendance à se présenter en lui en «Tyran bis». Hélas! Il n’a rien compris. Il a répondu au mot de circonstance du dictateur par un discours décousu et inutile de 3 pages! Mais, qu’est-ce qui l’a poussé à une telle nouvelle bêtise? Pourquoi ne veut-il pas comprendre que ses blablas sont improductifs? J’ai vu des quantités de personnalités recevoir des décorations des mains de chefs d’État, et je ne me souviens pas de l’une d’entre elles répondant à la remise d’une décoration par un discours fleuve. Dès lors, la nouvelle fanfaronnade du fugitif international est un acte d’ignorance et d’inculture. En plus, dans son discours infâme, il s’enterre sous des tonnes de fleurs. S’il avait pu se taire!
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Jeudi 27 août 2020.
