Mohamed Elamine Souef, secrétaire général de l’ONU?
Il en a vendu la folle idée à ses roquets de Paris et du Hambou
Par ARM
La photo ci-après est un concours d’inélégance pour faux-culs. Elle a été faite à Mohéli, lors d’un inutile et démagogique «conseil des ministres décentralisé», une expression qui ne peut réjouir que les faux-culs, les bien-pensants, les chantres de la bien-pensance et les «Comoricains». Regardez ces gens-là comment ils sont très mal habillés. C’est un scandale.
Regardez Kiki, l’ancien docker de Dunkerque, dans ce costume méprisable aux couleurs douteuses et méprisables. Regardez le «pouvoiriste» polygame Azali Assoumani Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Regardez le haineux et ignominieux Mohamed Elamine Souef, «ministre des Affaires étranges qui lui sont étrangères». Quant à Bellou Magochi (portant la chaussure gauche au pied droit et vice-versa), Directeur de Cabinet chargé de la Défense à Bête-Salam pour son faux témoignage en faveur de Monsieur Neveu, Idaroussi Hamadi dit «Tonton-m’a-dit»: dans un pays normal, il aurait été fusillé pour atteinte à l’ordre public vestimentaire. On dirait un pou. Et cette cravate qui s’arrête au nombril du baby-sitter Saïd-Ali Saïd-Chayhane? C’est inadmissible.
Mais, qui a dit à ces gens qu’ils pouvaient s’habiller de la sorte, en défiant les Mohéliens sur leur île, croyant que ces derniers seraient contents de voir des paltoquets et des rastaquouères débraillés à Mohéli? Et, il y a en particulier le cas Mohamed Elamine Souef. Personnellement, j’ai détesté sa tenue bogolan qu’il a arborée le lundi 18 décembre devant une délégation officielle française. Cette tenue est d’un goût douteux. Si elle peut passer ailleurs, en Afrique continentale, aux Comores, elle fait mauvais genre. Elle fait honte. Toutes ces couleurs criardes… Il pouvait se livrer à ses excentricités vestimentaires quand il était sur les sables du Darfour ou de Gao, mais pas aux Comores. Qu’on le lui dise!
Mesdames et Messieurs, connaissez-vous la dernière facétie criminelle de cet individu? Il a mis dans la tête de ses aboyeurs de Paris et du Hambou qu’il va devenir le prochain secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies. Nous parlons de l’ONU. Oui, oui, Monsieur a faire admettre à ses roquets de Paris et du Hambou qu’il serait le prochain «Président du monde». Or, non seulement ces avaleurs de feu ont gobé une telle idiotie, mais en plus, s’en gargarisent, répétant cette ineptie criminelle partout. Sa Seigneurie leur parle de son prétendu «carnet d’adresses à l’international».
Il faudra juste poser une question: qui va parrainer et soutenir cette folie furieuse, compte tenu de la nullité intellectuelle et professionnelle du grassouillet personnage de Mitsoudjé?
Pourtant, cela ne doit étonner personne parce qu’en fin de première kleptocratie, le kleptocrate de Mitsoudjé avait précipité une délégation au Maroc, où, il fallait aller préparer la visite du Sultan du Hambou sur invitation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI du Maroc. C’est Mohamed Elamine Soeuf qui avait dit à son frère qu’il était attendu au Maroc par le Roi. Arrivée à la capitale marocaine, Rabat, la délégation comorienne apprit que le Roi Mohammed VI n’avait jamais invité l’ancien élève comorien en pâtisserie militaire à l’Académie Royale militaire de Meknès. Quelques jours plus tard, le farceur Mohamed Elamine Souef était chassé de la direction de l’appareil diplomatique comorien.
Comment Mohamed Elamine Souef peut-il dire qu’il sera le prochain secrétaire général de l’ONU alors que l’Organisation mondiale serait alors obligée d’enquêter sur lui. Une enquête de ce genre permettrait de découvrir que:
– Mohamed Elamine Soeuf n’a pas fait les études supérieures qu’il prétend avoir faites, et que sa biographie est truffée de faux diplômes. Elle n’a que des faux diplômes.
– Mohamed Elamine Souef était en Égypte la couverture diplomatique et douanière de trafiquants égyptiens de voitures volées en Europe et États-Unis,
– Mohamed Elamine Soeuf était impliqué dans des trafics douteux en Libye,
– Mohamed Elamine Soeuf est un trabendiste de passeports comoriens avant même que les Comores n’instaurent la «citoyenneté économique»,
– Mohamed Elamine Soeuf est très copain avec la secte Aum, auteur de nombreux actes terroristes entre 1989 et 1995 et n’hésitant pas à utiliser du gaz sarin (très mortel). Cette secte a financé la campagne électorale du «ventriote» Azali Assoumani Boinaheri en 2016, et ses chefs ont été reçus à Moroni par Mohamed Elamine Soeuf et sa sœur sous couvert d’une délégation de Taiwan, causant le limogeage injuste et inélégant du pauvre Msa Ali Djamal à l’Office de Radiotélévision des Comores (ORTC), «l’odieux-visuel» public comorien. Msa Ali Djamal a servi de victime expiatoire.
La liste est très longue. Oui, la liste des turpitudes criminelles du haineux Mohamed Elamine Soeuf est très longue.
Par ailleurs, en janvier 2002, le «concubinocrate» Azali Assoumani Boinaheri, en plein isolement international pour cause de putsch, devait démissionner de la Présidence de la République pour tenter de se faire «élire». Tu parles… Mohamed Elamine Soeuf s’y voyait déjà. Il se voyait Président de la République par intérim. Or, tapi à l’ombre, un sombre comparse ourdissait complot sur complot: le fugitif international Hamada Madi Boléro. Matin, midi et soir, il était chez Abdou Soeufou, buvant l’eau de ses chaussettes et slips, avant de lui tourner le dos après la réussite de son coup et de son immonde fraude électorale en faveur de l’homme malade du Hambou. En 2016, dans la perspective de l’élection d’un Comorien au secrétariat général de la Commission de l’océan Indien (COI), le fugitif international Hamada Madi Boléro n’est pas à court d’insultes et injures envers Abdou Soeufou, qui avait tout fait pour lui en janvier 2002. C’est la vie.
Et voilà qu’aujourd’hui, Mohamed Elamine Soeuf prétend être le prochain secrétaire général de l’ONU. Bon courage… Il faudra juste qu’il dise aux Comoriens et à la communauté internationale s’il va laisser António Guterres finir son mandat actuel et tenter son élection pour un second mandat ou s’il va prendre sa place dans les jours à venir. De la sorte, c’est toute la communauté internationale qui va affluer à Mitsoudjé pour une cérémonie «religieuse» de Maoulid se transformant en meeting politique pour les assises du mépris et de la haine et «l’émergence verbale et dansante», les deux mamelles de Saïd Larifou dit RIDJA, du nom du parti politique mort-né et enterré dont il est le seul membre et le décideur unique.
Par ARM
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© www.lemohelien.com – Mardi 19 décembre 2017.
