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Mayotte: Pipi de chat et gloubi-boulga d’Azali à l’ONU. Vains radotages, arriérés à l’ONU et violation de la Charte

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Mayotte: Pipi de chat et gloubi-boulga d’Azali à l’ONU

Vains radotages, arriérés à l’ONU et violation de la Charte

Par ARM

     Le dictateur antisémite Assoumani Azali Boinaheri «génocide de rire» la Planète entière. En ce moment même il crâne, pontifie, philosophe, radote et ergote à l’ONU, et refuse obstinément de lire l’article 19 de la Charte des Nations Unies: «Un Membre des Nations Unies en retard dans le paiement de sa contribution aux dépenses de l’Organisation ne peut participer au vote à l’Assemblée générale si le montant de ses arriérés est égal ou supérieur à la contribution due par lui pour les deux années complètes écoulées. L’Assemblée générale peut néanmoins autoriser ce Membre à participer au vote si elle constate que le manquement est dû à des circonstances indépendantes de sa volonté». Or, perfidement, mais de bon droit, le 31 août 2023, l’ONU a publié la liste des mauvais payeurs, à la tête desquels, on retrouve la dictature de Mitsoudjé, qui lui doit la bagatelle de 347.285 dollars des États-Unis (et non du Zimbabwe), soit 160.289.391,75 de francs comoriens (160 millions de francs et des bananes).

     Mais, cela n’a pas empêché le dictateur antisémite Assoumani Azali Boinaheri d’étaler une série d’incongruités à l’ONU: «La paix et le développement passeront aussi par la résolution des problèmes politiques et territoriaux, liés à la souveraineté des États et à la dignité des nations. Ce sont ces préoccupations qui nous ont poussés, certains de mes Pairs africains et moi-même, à aller à la rencontre du Président Volodymyr Zelensky et du Président Vladimir Poutine, dans le cadre d’une Mission de Paix Africaine, en juin dernier, respectivement à Kiev et à Saint-Pétersbourg». Or, cette mission a été un échec, et en plus une humiliation personnelle pour lui, l’Union africaine, dont il est le Président putatif, l’ayant désavoué.

     Le dictateur antisémite de Mitsoudjé s’enfonce dans le ridicule en parlant de Mayotte: «Je rappelle, aussi solennellement, en tant que Président de l’Union africaine et de l’Union des Comores, la comorianité de l’île de Mayotte. Je rappelle, que pour avancer, dans la gestion de ce dossier, nous avons opté pour un dialogue, avec la partie française, afin de trouver une issue à ce contentieux désagréable, dans l’intérêt de nos deux pays». Où a-t-il vu que «la partie française» lui a promis un bradage, un jour, de son département de Mayotte? Où a-t-il vu que Mayotte veut devenir comorienne, et les Mahorais des Comoriens?

     Il a pour «Conseiller diplomatique» le fugitif international Hamada Madi Boléro dit Ebola, dit Makridine, «Le Religieux de la Magouille», qui, on le sait, n’a jamais été formé en Droit mais prétend le contraire. Si le fugitif international Hamada Madi Boléro avait une formation en Droit, il lui aurait appris l’existence du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, un droit qui a permis en toute légalité à Mayotte, le 22 décembre 1974, de choisir la France et non les Comores. La Cour internationale de Justice (CIJ), «l’organe judiciaire principal des Nations Unies» (article 92 de la Charte), exige la prise en compte systématique et obligatoire de l’opinion de la population du territoire concerné. Le fugitif international Hamada Madi Boléro doit savoir et expliquer à son chef antisémite que sur le Sahara occidental, par exemple, la CIJ note: «Bref, le processus de décolonisation qui doit être accéléré et que l’Assemblée générale envisage dans cette disposition est un processus qui respectera le droit des populations du Sahara occidental de déterminer librement leur statut politique futur par la libre expression de leur volonté. Ce droit n’est modifié ni par la présente requête pour avis consultatif ni par la résolution 3292 (XXIX) qui le réaffirme expressément au contraire. Le droit de ces population à l’autodétermination constitue donc un élément de base des questions adressées à la Cour»: CIJ: Sahara occidental. Avis consultatif du 16 octobre 1975, Recueil des arrêts, avis consultatifs et ordonnances 1975, La Haye, 1975, p. 36.

     Le fugitif international Hamada Madi Boléro doit savoir et expliquer à son chef antisémite que dans l’affaire de l’archipel des Chagos, à deux heures d’avion des Comores, «la Cour rappelle que, si l’exercice de l’autodétermination peut se réaliser au travers de l’une des options prévues par la résolution 1541 (XV), il doit être l’expression de la volonté libre et authentique du peuple concerné. […]. Le droit à l’autodétermination, en droit international coutumier, n’impose pas un mécanisme particulier pour sa mise en œuvre dans tous les cas, ainsi que la Cour l’a souligné […]», étant noté que «le respect du droit à l’autodétermination étant une obligation erga omnes, tous les États ont un intérêt juridique à ce que ce droit soit protégé»: CIJ: Effets juridiques de la séparation de l’archipel des Chagos de Maurice en 1965, Avis consultatif du 25 février 2019, Recueil des arrêts, avis consultatifs et ordonnances 2019, La Haye, 2019, pp. 134 et 139.

     Toujours sur le registre du rire, et toute honte bue, le dictateur antisémite Assoumani Azali Boinaheri frime en apothéose, au grand bonheur de ses faux opposants que sont Mohamed Jaffar Abbas, prêté par Madagascar aux Comores, Ibrahim Ali Mzimba, Ahmed Hassane El Barwane, Mouigni Baraka, fils de Saïd Soilihi, Ahamada Mahamoud et Mohamed Soilihi dit Campagnard: «Je souhaite rappeler également que l’Union des Comores, a pu mettre fin au cycle des instabilités politiques, qui caractérisait la vie politique comorienne, depuis l’indépendance de 1975, grâce à la politique de réconciliation nationale que j’ai menée depuis 2000. Cette politique de réconciliation, soutenue par l’Union Africaine, les Nations Unies et tous nos autres partenaires, a apporté la stabilité dans le pays, et nous avons le devoir de la consolider et la pérenniser. Depuis 2002, en effet, la date du 26 mai est devenue une référence symbolique de l’alternance aux Comores, puisque à cette date, s’opère la passation des pouvoirs, issue d’élections présidentielles libres et transparentes. C’est, animé de ce souci constant, de préserver la paix et la stabilité en Union des Comores, que je sollicite à nouveau, votre appui et votre accompagnement, afin que les prochaines élections présidentielles et des Gouverneurs, prévues pour les mois de décembre et de janvier prochains, puissent se tenir dans de très bonnes conditions.

     Pour conclure, je reste confiant que le 26 mai 2024, marquera, une fois encore, la maturité politique des Comoriennes et des Comoriens, et que la cérémonie d’investiture du prochain Président de l’Union des Comores, symbolisera l’ancrage et la force de la démocratie comorienne».

     Il s’agit de quelle «réconciliation nationale»? Qui s’est réconcilié avec qui? Où a-t-il vu «la stabilité dans le pays»? Peut-on parler d’une «référence symbolique de l’alternance» à la suite d’élections totalisant «104%» d’électeurs, quand aucun standard international d’élection démocratique n’est respecté, quand le dictateur antisémite de Mitsoudjé se succède à lui-même à la suite d’élections qui n’ont pas eu lieu? Où a-t-il vu des «élections présidentielles libres et transparentes»? Où sont «la paix et la stabilité en Union des Comores»? En quoi «les prochaines élections présidentielles et des Gouverneurs, prévues pour les mois de décembre et de janvier prochains, puissent se tenir dans de très bonnes conditions» alors qu’elles n’auront pas lieu mais sont déjà «remportées» par le dictateur antisémite Assoumani Azali Boinaheri et ses hommes? Comment «la cérémonie d’investiture du prochain Président de l’Union des Comores symbolisera l’ancrage et la force de la démocratie comorienne» alors que, par la fraude électorale éhontée, le dictateur antisémite Assoumani Azali Boinaheri se succédera à lui-même et installera au pouvoir des pique-assiettes suivistes et obséquieux issus de ses propres paillassons?

Par ARM

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