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Mais, quelle mouche a encore piqué Ibrahim Mzimba?

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Mais, quelle mouche a encore piqué Ibrahim Mzimba?

Les pires mensonges, contrevérités, fanfaronnades, ignorances

Par ARM

       Mais, qu’est-ce qui va arrêter Ibrahim Ali Mzimba dans le mensonge, la pourriture de la vérité, la vantardise et l’évocation de sujets sur lesquels il n’a ni compétence, ni expertise, ni maîtrise? Pourquoi ne peut-il pas se taire pour faire honneur à son incompétence et à son ignorance? Depuis qu’il s’est mis en tête la folle idée d’être parmi les organisateurs du «monologue des sourds» censé réhabiliter le dictateur Assoumani Azali Boinaheri, il ne ferme plus sa bouche. Comme opposants, il ne voit que lui, avant sa «pause politique», et les traîtres Saïd Larifou et Mouigni Baraka Saïd Soilihi. Le «juriste» faussaire qui a applaudi et soutenu la mort de la Cour constitutionnelle et de la Justice constitutionnelle, et qui a félicité le dictateur Assoumani Azali Boinaheri pour avoir imposé dans le sang et la mort sa «non-Constitution de la main coupée et de la mort», en entraînant à Bête-Salam les avocats de son obédience pour les félicitations, ose crâner en prétendant qu’il est contre la dictature. Voire…

Il reconnaît une légitimité populaire et électorale à la CRC et au Parti Orange, suite aux forfaitures électorales de 2016, 2019 et 2020, alors que, lors de la législature de 2015-2020, la CRC n’avait qu’un seul Député, contre 33 sur 33 aujourd’hui! Mais, où a-t-il vu que les Comoriens ont accepté les fausses élections de la dictature, alors que dans leur totalité, ils les rejettent et en maudissent les fraudeurs? Il prétend avoir été 6ème lors de l’élection du Président de la Grande-Comore en 2007, alors qu’il était 8ème, la 6ème place ayant été occupée par Houmed Msaïdié Mdahoma. Il s’attribue une légitimité des urnes en 2016, alors que celle-ci doit être revendiquée par Mouigni Baraka Saïd Soilihi, dont il était le sous-fifre. Oublie-t-il que, lors des élections législatives de 2015, il avait été éliminé dès le premier tour dans sa propre case? Comment un individu détesté et rejeté dans sa case d’origine peut avoir une légitimité électorale et apporter des voix à un candidat au niveau insulaire et national? Il ment.

Il se tue quand il prétend qu’il faut avoir une légitimité populaire pour prendre part à un débat national sur son pays. Comme il ne connaît pas le Droit constitutionnel, il ne comprend rien sur la «légitimité». Lors du référendum sur le traité établissant la Constitution européenne en 2005, les grands partis politiques représentés au Parlement français soutenaient le texte, et Olivier Besancenot, dont le parti politique n’a aucun Parlementaire, était contre lui. Or, les partis politiques ayant des élus au Parlement n’ont pu empêcher la Constitution européenne d’être rejetée par 54,68% des électeurs. Le pauvre chéri… Comme le mot «légitimité» vient juste d’arriver à ses oreilles, il en fait tellement de tartines qu’il ignore que la doctrine, c’est-à-dire les travaux contenant les opinions exprimées par des juristes (les vrais, pas lui), est une source de Droit, alors que les juristes n’ont aucune «légitimité» car personne ne les a élus!

Il incite les Comoriens au collaborationnisme et à la mendicité car Mzé Abdou Mohamed Chafioun s’est dénudé et s’est renié pour être nommé ministre. Pis, il dit que «les Comores ont la chance d’avoir à leur tête» le dictateur Assoumani Azali Boinaheri parce qu’il a passé 13 ans au pouvoir. Donc, pour lui, plus un dictateur passe des décennies au pouvoir, mieux il est: Mouammar Kadhafi (1969-2011), Teodoro Obiang Nguema Mbasogo depuis 1979, Idriss Deby Itno (1990-2021), Yoweri Museveni depuis 1986, Paul Kagamé depuis 1994, Paul Biya depuis 1982… Il prétend que le crime électoral du dictateur Assoumani Azali Boinaheri est accepté, admis et validé par la communauté internationale, alors que les missions africaines d’observation électorale avaient déclaré, le lundi 25 mars 2019: «Ces dysfonctionnements ainsi que l’interruption des opérations de dépouillement, de la collecte, et le transfert des urnes par des éléments des forces de l’ordre ont de ce fait affecté le bon déroulement des opérations de vote et du dépouillement, et par conséquent, l’ensemble du scrutin. Cette situation empêche les Missions d’Observation électorale de se prononcer de façon objective sur la transparence et la crédibilité du scrutin du 24 mars 2019». Cela fut repris mot à mot par les organisations internationales et les grandes puissances (communauté internationale).

Ibrahim Ali Mzimba est tellement malhonnête et nullissime qu’il exige des Comoriens de faire «confiance aux institutions chargées de la fraude électorale», le dictateur Assoumani Azali Boinaheri, leur chef, en tête. Malgré la fraude électorale de 2016, il ose prétendre que ce dernier a été élu démocratiquement. Il est tellement dans la mendicité qu’il voit des politiciens candidats hors de leur île d’origine. C’est malhonnête. Il se noie sur le naufrage de la Justice, en reconnaissant une formation aux juges corrompus, alors que la source principale de leur incompétence et corruption est leur manque de formation: on est juge par une Licence ou une Maîtrise en Droit, en Relations internationales ou en Science politique. Il fait l’apologie de la Justice politisée et aux ordres criminels de Paul Kagamé au Rwanda. A-t-il vu un jour un opposant notoirement innocent gagner un procès contre le dictateur Paul Kagamé?

Sur le scandale de Pandora Papers, il légitime l’évasion fiscale et prétend que les acteurs du secteur privé ont une légitimité pour en faire. Il légitime les paradis fiscaux et accuse les États de pressions fiscales. Pourquoi se vante-t-il d’honnêteté alors qu’il est un faussaire et vit de conflits d’intérêts? Pourquoi se vante-t-il d’être l’avocat des Comores ayant le plus grand nombre de clients étrangers, quand il sait que la plupart de ces derniers se méfient de lui pour son industrie de fabrication du faux, d’usage du faux et de vente du faux? Il ne sait même pas que le Roi Hassan II est mort le 23 juillet 1999 et que son fils Sidi Mohammed a pris sa succession sous le titre de Mohammed VI. Il confond diplomatie et politique étrangère. Il ne sait même pas qu’il n’existe pas de relations diplomatiques entre l’Arabie Saoudite et Israël. Par quel miracle dit-il qu’il y a eu une politique de protection des Comores contre le coronavirus? Depuis quand est-il devenu un médecin spécialisé en épidémiologie?

Il aurait mieux fait de se casser une jambe que d’organiser cette conférence de presse bidon. Il devra d’ailleurs s’expliquer sur son mouvement de yoyo l’ayant conduit à se retirer de la politique pour venir dire par la suite qu’il y retournait. On sait que ce qui le turlupine, c’est servir la dictature dans son «monologue des sourds», dont ne veulent pas les Comoriens. Le peuple des Comores se sent insulté par ses propos nocifs, toxiques et injurieux quand il dit qu’il faut compter sur le tyran Assoumani Azali Boinaheri pour organiser un vrai «dialogue national» quand il sait que ce tyran violent ne dialogue avec personne, et quand il dit compter sur lui pour organiser des élections démocratiques quand les 5 élections dans lesquelles il était impliqué sont une injure criminelle faite à la démocratie et à l’État de Droit. C’est honteux!

Par ARM

Le copier-coller a définitivement tué la blogosphère comorienne. Cela étant, il est demandé amicalement aux administrateurs des sites Internet et blogs de ne pas reproduire sur leurs médias l’intégralité des articles du site www.lemohelien.com – Il s’agit d’une propriété intellectuelle.

© www.lemohelien.com – Dimanche 24 octobre 2021.


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