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Assoumani Azali sodomise le lèche-cul Mouigni Baraka

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Assoumani Azali sodomise le lèche-cul Mouigni Baraka

Membre de la «mouvance présidentielle», celui-ci agit en solo

Par ARM

     Mais, que faisait le lèche-cul Mouigni Baraka Saïd Soilihi dans une rencontre de la seule «mouvance présidentielle» minoritaire? Il se prostituait tout seul devant son partenaire en sodomie politicienne et en partouzes politiques, le mort-vivant et «pouvoiriste» polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, «Le Père qui ne prépare jamais à manger». Cette infamie infamante a eu lieu ce samedi 22 décembre 2018 à Bête-Salam. Le «concubinocrate» Assoumani Azali Boinaheri recevait les membres de sa «mouvance présidentielle» minoritaire, une minorité constatée lors de l’échec de sa tentative de caporalisation de l’Assemblée de l’Union des Comores par la «Ripoux-blique» de Mitsoudjé. Tous les leaders de l’opposition ont dit qu’il ne fallait pas cautionner les crimes du mort-vivant de Mitsoudjé. L’opposition devait donc boycotter cette réunion de la honte.

     C’est alors que Mouigni Baraka Saïd Soilihi, sans la moindre gêne, ni compassion pour les valeureux opposants illégalement jetés en prison à vie ou condamnés arbitrairement à d’autres lourdes peines, placés illégalement en résidence surveillée, dépouillés anticonstitutionnellement de leurs immunités parlementaires (une première dans les annales parlementaires), s’est rendu à une invitation qui ne concernait pas l’opposition. Sur la photo de groupe, il est comme un cheveu sur la soupe, une mouche nageant sur un bol de lait. Par sa malheureuse aventure en solo, Mouigni Baraka Saïd Soilihi a affirmé sa singularité, mais sans engager l’opposition. Mouigni Baraka Saïd Soilihi a agi à titre personnel. Il n’engage que lui-même.

     Les fous maudits Saïd Ahmed Saïd Ali et Mohamed Abdou Mbechezi ont pris prétexte de la participation de Mouigni Baraka Saïd Soilihi à cette réunion de la minorité pour claironner que «l’opposition» approuvait les dérives monarchiques et dictatoriales du dictateur fou de Mitsoudjé: «Le Président de la République a reçu ce samedi 22 décembre 2018, les partis politiques de l’opposition et de la mouvance présidentielle. Dans son intervention, le Chef de l’État a annoncé sa décision de convoquer le collège électoral ce lundi 24 décembre 2018, en vue des élections présidentielles anticipées, conformément aux dispositions de la constitution du 30 Juillet 2018. Tout en saluant l’élégance politique du Président de la République qui les a convié afin de les tenir informés de sa décision, les partis politiques de l’opposition ont souhaité que toutes les dispositions soient prises pour que les élections prochaines se déroulent dans la transparence et l’apaisement. Le chef de l’État s’est engagé à veiller à ce que toutes les dispositions démocratiques relatives au bon déroulement des élections soient effectives en invitant notamment la communauté internationale à être les témoins et les arbitres de ce rendez-vous de notre jeune démocratie».

«L’élégance politique»? Quelle «élégance politique» de la part d’un fou qui a détruit toute l’architecte juridique du pays, emprisonné sans le moindre motif légal ses opposants absolument et tous innocents et d’autres innocents, condamné à la prison à vie des innocents, et mû par une folle volonté d’organiser pour truquer une élection dont il n’a aucune chance d’accéder au second si le scrutin est organisé selon les normes démocratiques?

«Notre jeune démocratie»? Mais, où ces bandits Saïd Ahmed Saïd Ali et Mohamed Abdou Mbechezi ont-ils vu une «jeune démocratie» aux Comores? Où?

La manœuvre solitaire du mendiant Mouigni Baraka Saïd Soilihi énerve toute l’opposition, et ce cadre mohélien du Mouvement du 17-Février ne décolère pas: «Mouigni Baraka trahit l’opposition, mais à ses risques et périls. Il assumera tout seul sa démarche solitaire et unilatérale. Mohéli en a pris acte et se demande en quoi sa démarche est différente de celle adoptée par Azali Assoumani avant les assises et jusqu’à ce jour. Le virage nous attend, pas si loin. Mohéli n’entend absolument pas s’engager dans une machination vers un processus sans réel intérêt pour l’île et le pays. Engagera Mohéli, une démarche qui vise le rétablissement de l’ordre constitutionnel, le maintien et le respect de l’Accord-cadre de Fomboni, et le respect du calendrier électoral ainsi que de la durée des mandats définis par la Constitution du 23 décembre 2001, née de l’Accord-cadre de Fomboni du 27 février 2001».

Que veut, en fait, Mouigni Baraka Saïd Soilihi? Le plus grand boxeur-catcheur comorien de tous les temps veut deux choses: d’une part, ravir à Mohamed Ali Soilihi le statut de chef de l’opposition comorienne, alors qu’il n’en a ni la carrure, ni le charisme, ni le leadership, ni les convictions. D’autre part, il veut être le chef d’une «opposition» de café de commerce, foire et bazar, étant entendu que depuis quelques mois, il a engagé un dialogue avec le shakespearien Saïd Ahmed Saïd Ali en vue de son adoubement par le «ventriote» Assoumani Azali Boinaheri.

Pour rappel, le dimanche 21 octobre 2018, ce site publiait un article intitulé «Dans la honte, Saïd Ahmed Saïd Ali retire ses gardes – Il accusait Aboubacar Abdou Msa d’informer lemohelien.com». Sur cet article, on retrouve les deux paragraphes suivants: «Depuis, le beau gosse [Saïd Ahmed Saïd Ali] fait des cauchemars, fanfaronnant et prétendant que sa sécurité n’est pas assurée parce que ses faits et gestes sont connus par un ennemi mortel [ARM]. Pourtant, il est très fier de lui ces derniers temps. Et pourquoi ne le serait-il pas quand les initiés savent que c’est lui qui est chargé du rapprochement entre Mouigni Baraka Saïd Soilihi, ancien Gouverneur de la Grande-Comore, et lepouvoiristeˮ polygame fou Assoumani Azali Boinaheri dit Bakapihi, Le Père qui ne prépare jamais à mangerˮ? Mouigni Baraka Saïd Soilihi lui a versé une forte somme d’argent, en cours d’évaluation. C’est que Monsieur, en plus du pouvoir et de ses artifices, aime également les femmes et l’argent. Mouigni Baraka Saïd Soilihi a rempli ses poches d’argent, et le paon de Ntsoudjini se comporte en paon.

     Une affaire de famille, dans l’esprit de famille. En effet, ne perdons pas de vue le fait que Saïd Ahmed Saïd Ali est le cousin direct de Mme Sitti Abdou Chakour, l’épouse de Mouigni Baraka Saïd Soilihi. Monsieur Abdou Chakour, le père de l’épouse de Madame Mouigni Baraka Saïd Soilihi, est le tonton bien-aimé de son neveu bien-aimé Saïd Ahmed Saïd Ali. En mendiant professionnel, le Tartuffe Mouigni Baraka Saïd Soilihi ne fait à Saïd Ahmed Saïd Ali ses demandes de rapprochement avec laRipoux-bliqueˮ de Mitsoudjé qu’à la grande mosquée de Ntsoudjini, prenant Dieu à témoin».

Des investigations très poussées ont permis de constater que c’est Mouigni Baraka Saïd Soilihi qui a béni le copinage et les fiançailles entre «sa» Députée Hadjira Oumouri dite «Madame 20 millions» (elle avait reçu 20 millions de francs comoriens, soit 40.000 euros, pour offrir en cadeau l’Assemblée au dictateur fou de Mitsoudjé, son fiancé et copain). Bonne fille, quand Hadjira Oumouri avait reçu ses 20 millions de francs comoriens pour voter la loi d’habilitation, elle avait donné une part de cet argent sale à Mouigni Baraka Saïd Soilihi.

Parlons vrai: Mouigni Baraka Saïd Soilihi ne fait pas partie de l’opposition, mais de la «mouvance présidentielle» minoritaire.

Par ARM

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© www.lemohelien.com – Dimanche 23 décembre 2018.


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